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Parti Niçois/Partit Nissart - site officiel

6 mai 2012

Le départ de Sarkosy sonne le glas du pouvoir municipal Niçois

Parti_nicois_2_16 mai 2012 - Communiqué du Parti Niçois/Partit Nissart :

« La défaite électorale prévisible de M. Sarkozy est ce soir consommée, après une campagne électorale-spectacle indigne d’une démocratie. Ce changement de président n’effacera pas les 1700 milliards de dette de la France, pas plus que les terribles difficultés économiques qui seront les nôtres. La gauche et la droite qui depuis longtemps confisquent le pouvoir ne sont que  deux têtes de l’hydre jacobine qui a tant nui à Nice, dans le passé comme  aujourd’hui, avec une constance perverse soutenue.

« Nous nous devons d’analyser la nouvelle situation politique à travers un prisme  niçois. Le pouvoir municipal à Nice, qui a tant porté atteinte à l’identité niçoise,  se trouve fort affaibli, par les événements de ce jour. De cela nous devons nous réjouir, mais le combat continue. Il convient de préparer les prochaines élections municipales afin d’installer la société civile niçoise à la Mairie.

«  Nous avons assisté ces dernières semaines à une théâtrale offensive du maire actuel pour récupérer le Palais communal, dont le seul but est de laisser penser qu’il se préoccupe de notre culture ;  cette initiative vient bien tard, et juste au moment ou il perd ses appuis parisiens : Tout l’art de se raccrocher aux branches de l’identité niçoise quand on n’a plus de parachute élyséen.... De plus il ne fait que mettre en chantier des mesures prévues  aux  articles III et VI de  l’accord électoral officiel signé  par la LRLN avec l’ex-maire le 8 février 2008, mesures programmes qui auraient été immédiatement réalisées en cas de victoire aux élections municipales de 2008.

« Il faudra donc beaucoup plus que cette misérable gesticulation de fin de règne, pour faire oublier aux Niçoises et aux Niçois la falsification historique à laquelle s’est livré le maire actuel en célébrant le 150e anniversaire de l’annexion, en installant à grand frais les ferrailles de la honte et toutes ses atteintes à notre identité particulière. Avec Monsieur Estrosi l’aigle de Nice, coupé en deux  est devenu bleu sur les logos et des drapeaux provençaux flottent sur nos lycées. Et ces signes symboliques ne sont que la partie visible de l’iceberg, car les Niçois ne sont plus chez eux et ne peuvent même plus entrer dans la maison commune sans montrer patte blanche.

« Personne n’aura oublié la farce incongrue  du  « mariage » de Nice avec Marseille, et l’écharpe du club de Monaco portée ostensiblement en public. Monsieur Estrosi, pour assurer sa carrière personnelle à choisi Paris, et  il ne trouvera pas de bouée de sauvetage à Nice qu’il a négligé durant tout son mandat. La multitude de photographies de son auguste personne étalée indécemment et presque journellement sur les pages du monopole de presse niçois, ne font que souligner le vide abyssal en ce qui concerne les réalisations municipales, qui pour la plupart d’entre elles ont consisté à inaugurer ce qu’avait réalisé la municipalité précédente.

« En France rien n’a changé, car  la droite et la gauche sont sœurs jumelles. En revanche, le départ de Sarkosy sonne le glas du pouvoir municipal niçois, ce dont nous devons nous réjouir. Nous devons rendre plus dure encore la chute des relais de la droite parisienne à Nice en prenant soin de ne pas favoriser les relais de la gauche dans notre ville car seul le rejet des partis parisiens et  l’installation de la société civile à la Mairie permettra à Nice d’échapper au triste sort qu’elle connaît actuellement. Nous demandons à nos nombreux adhérents, amis et soutiens, de nous contacter afin de forger ensemble les armes qui donneront la victoire du peuple Niçois en 2014. Issa Nissa ! »  

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12 avril 2012

Election présidentielle : à Nice, votons Niçois !

12 Avril 2012 - Communiqué  du Parti Niçois/Partit Nissart

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« Le Parti Niçois/Partit Nissart n’avait pas souhaité jusque là, communiquer à propos du grand Barnum organisé par la classe politique française à l’occasion de l’élection présidentielle car cette campagne n’a été que mauvaise foi, contre-vérités,  poudre aux yeux et tumultes inutiles. Lors de cette foire d’empoigne indigne et insultante pour le corps électoral, les bateleurs et marchands de rêve patentés ont monté leurs tréteaux, et proposé les habituelles potions magiques, et soupes réchauffées en se gardant bien  d’aborder concrètement  et en détail les problèmes essentiels qui intéressent le public ; quand à l’effort financier que devront supporter toutes les catégories de contribuables après les élections, aucun des candidats ne l’a chiffré avec certitude. Et pour cause ! L’honnêteté a été la grande absente des débats

« La situation exige prudence, sérieux, union, effacement de soi devant l’intérêt général, et nous n’avons vu que querelles de thénardiers, égoïsme, coups-bas et partialité. Alors que le pays est en pleine déliquescence morale, économique  et sociale, que la dette abyssale hypothèque la  vie du plus grand nombre et l’avenir de la jeunesse, la droite et la gauche, co-responsables de la situation actuelle, n’ont été préoccupées que de gaspiller allégrement, leur part des  230 millions que paierons au total les contribuables pour financer cette campagne. Ces deux têtes jumelles de l’hydre jacobine rivalisant de démagogie et de mensonges, ont surenchéri jusqu’au ridicule, jetant aux citoyens des brassées de promesses  irréalisables,  comme on jette quelques sacs de riz à des populations affamées.

« Les seconds couteaux qui donnent l’illusion de la pluralité démocratique mais ne sont que les faire-valoir des deux partis qui ont confisqué le pouvoir, on fait de même ; certains  s’appuyant ou se réclamant d’idéologies râpées jusqu’à la corde, qui ont fait la preuve de leur totale inefficacité.

« En ce début du troisiéme millénaire, alors que la situation est gravissime, nous avons vu et entendu des personnages sortis tout droit de la fin du XIXéme siècle, nous expliquer comment résoudre nos problèmes : bourgeois trotskiste, cabotin et imbu de lui-même, se gargarisant de formules grandiloquentes ; pétroleuses aigries et venimeuses évoquant les tricoteuses hurlant jadis aux pieds des échafauds ; réactionnaire engoncée dans les principes rigides et réducteurs d’un monde disparu ; révolutionnaire niais ignorant superbement les réalités économiques et prétendant imposer les avis du Café du Commerce en mémoire de la défunte Internationale ; intellectuel sentencieux aux troubles accointances s’offrant pour la dernière fois une chaire nationale...

« Plus grave encore, alors que le bateau est en train de couler, la plupart de ces démagogues se sont disputés comme des chiffonniers une clientèle crédule déboussolée par la crise, en excitant la jalousie sociale par les méthodes dont usaient les promoteurs des sanglantes dictatures du soi-disant « du prolétariat »,  lesquelles se sont effondrées naguère dans une lamentable faillite économique.  Ceux qui, à tout prix, veulent croire aux contes de fées devraient se souvenir  que ces régimes sont responsables de  cent millions de morts et ont plongé des nations entières dans la misère durant deux générations.

« Cette campagne a été un scandale, tant par la pauvreté de la pensée et du débat, le manque de réalisme et de perspectives, que par la malhonnêteté intellectuelle et la démagogie.  Les médias, et les instituts de sondage, outrepassant largement leur rôle d’information ont joué un rôle véritablement anti-démocratique, s’investissant du pouvoir de guider le choix des populations par le biais d’analyses douteuses ressassées sans fin et sur tous les modes ; les journaleux au service de lobbies politiques, pontifiant sur les plateaux de télévision et brassant du vent à défaut d’avoir eu le courage de résister au système, ont été les chevilles ouvrières de cette parodie de campagne. Rien n’aura été épargné aux électeurs qui désiraient seulement connaître la vérité sur l’état des finances publiques et  les solutions concrètes que chaque candidat proposait pour  résorber la crise et résoudre au mieux et au plutôt les problèmes récurrents qui empoisonnent la société.  La grande redistribution des plus hauts postes de l’Etat, organisée tous les cinq ans, à savoir l’élection présidentielle, dans sa dernière version, ne mérite que l’indignation des citoyens.

« Le système des partis nous a conduit à la totale déstabilisation de la société ; ce système est  moribond, mais ceux qui en profitent et ont fait tant de mal, ne veulent pas s'effacer et persistent à nuire à la collectivité. Notre époque a grand besoin de compétences, d’union et d’altruisme,  alors que la politique actuelle ne génère que des factions, des divisions, et des intérêts carriéristes particuliers. La notion de droite et de gauche non adaptée à notre temps et confiscatoire de la démocratie, doit s’effacer devant l’intérêt général, dans les esprits et la réalité. 

« Nous, Niçois devons avant tout nous préoccuper de notre ville. Nous savons que Nice est, et demeurera l’éternelle oubliée, car le monde politique parisien nous méprise ; il ne s’intéresse qu’à nos suffrages en période électorale, non à notre prospérité et encore moins à notre identité qui est niée purement et simplement. Ceux qui, en pensant éviter le pire, se risqueraient à choisir un candidat par défaut dans ce cloaque jacobin, trouble marigot où pataugent les vieux crocodiles à l’appétit insatiable,  sont assurés, quel que soit leur choix, de le regretter une fois l’élection passée.

« En conséquence, le Parti Niçois/Partit Nissart demande à ses adhérents et sympathisant, de  rappeler, par un vote protestataire massif, à toutes les têtes de liste des partis nationaux,  que les Niçois en ont a assez de leur incompétence, de leur mauvaise foi, de leurs échecs répétés ; qu’ils en ont assez des poisons multiples qu’ils insufflent dans notre ville, qu’ils en ont assez de leur mépris hautain et condescendant.  De leur rappeler également que Nice a des droits inaliénables et que la mascarade du plébiscite d’annexion de 1860 n’a pu légalement les éteindre comme l’a officiellement déclaré Garibaldi, au parlement de Turin. Plus ce vote protestataire sera massif,  plus le monde politique sera contraint de prendre en compte que les Niçois existent encore en tant que tels, et qu’il en coûte de les ignorer.

« En outre, la question des droits de Nice, dans cette situation déliquescente, prend une importance capitale, car ils nous permettraient un autre avenir, que celui qui, inexorablement, attend l'hexagone.

« Le bulletin de vote étant la seule chose que craignent les politicards carriéristes parisiens, il convient donc de voter. Non pour eux, mais pour Nice. Un modèle de bulletin à découper est joint à ce communiqué ; il est clair et net : Nice d’abord et pas de compromission avec la nomenclature jacobine qui n’a jamais cessé de nous nuire. Les aigreurs que ces bulletins provoqueront immanquablement au soir des élections dans la classe  politique française, seront douces à tous les vrais Niçois  qui en ont assez de subir en silence et de voir impuissants le déclin de Nice qui subit depuis trop longtemps la déliquescence française.  Issa Nissa ! »  Fin de communiqué

bulletin nice libre

 

Version planche de six bulletins (cliquez pour agrandir et imprimer)

bulletin nice libre2

 

18 octobre 2011

Communiqué du Parti Niçois/ Partit Nissart – le 18 octobre 2011

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« Le Parti Niçois/Partit Nissart présentera très probablement des candidats lors des élections cantonales partielles qui auront lieu à Nice et dans l’arrière-Pays, si toutefois, le Conseil d’Etat confirmait leur annulation. Les forces populaires niçoises doivent être d’autant plus présentes, que la situation économique, sociale et culturelle de notre ville ne cesse de se dégrader dans un pays en pleine déliquescence qui entraîne Nice dans le malheur. Au moment aussi où  le bétonnage programmé de la plaine du Var, qui relève de l’inconscience pure et du mercantilisme à court terme, va gravement hypothéquer la vie des générations futures.

« Pendant que tant de causes majeures pour le Pays Nissart sont à défendre, une partie de l’opposition de droite à M. Estrosi se livre actuellement à d’inconvenantes gesticulations politiques. Elles ne sont pas de mise, compte tenu de la gravité de la situation économique qui devrait inciter les intéressés à faire passer leurs ambitions personnelles après l’intérêt général, qui plus que jamais exige sérieux, droiture et efficacité.

« L’ex-maire de Nice qui vient de fêter ses quatre-vingt ans, se trompant de combat, cherche une revanche personnelle à ses deux précédents échecs électoraux, soutenu par un groupuscule d’extrême droite français  dont le fondateur, Fabrice Robert, a jadis été condamné pour avoir nié l’existence des chambres à gaz dans les camps de concentration et fait la promotion publique de cette théorie nauséabonde.

« Les déclarations successives de l’ex-maire, que l’on pourrait supposer à l’âge de raison, sont pour le moins étonnantes ; selon lui, M. Chauvet qui l’a abandonné, aurait été séduit par « la danse du  ventre de M. Estrosi », alors que, lui-même et ses acolytes font, visiblement « la danse du ventre » pour  séduire le Front national dont ils voudraient enfourcher le cheval de Troie pour accéder à la mairie en 2014... Ceci est d’autant plus immoral que l’un a renié le Front national pour pouvoir devenir maire de Nice en 1995 et que ses acolytes l’ont abandonné pour suivre le dissident Mégret qui avait trahi le Front. Evoquant les prochaines municipales, l’ex-maire indique que « c’est là le gâteau, le Saint-Honoré... » ce qui est assez inquiétant dans la bouche d’un personnage qui a exercé le pouvoir municipal durant treize ans... A-t-il considéré durant ses mandatures que la mairie dont il avait la charge était « un gâteau » un « Saint-Honoré » ? Mais encore, il ajoute  en évoquant les prochaines municipales : « Là nous sommes sûrs et certains de rentrer à la municipalité... ». Ce stupéfiant trou de mémoire est tout aussi inquiétant ; comment a-t-il pu oublier qu’il a été élu conseiller municipal en 2008 et qu’il a aussitôt démissionné, trahissant les Niçoises et les Niçois qui l’avaient élu pour les représenter ? Et en attendant de goûter de nouveau au « Saint-Honoré », l’ex-maire se propose de « monter sur le ring » et « d’aller aux législatives titiller M  Ciotti » ; dans la bouche d’un ancien sénateur-maire, ces propos de cour de récréation ou de zinc de bar, interpellent plus d’un et à juste titre.

« Mais il y a plus grave encore ; nous avons appris récemment que sous la mandature de l’ex-maire ont été réalisés des « emprunts à risque » et qu’il en reste aujourd’hui pour 82 millions d’euros, dont un « emprunt toxique » indexé sur le franc suisse qui représentait encore au début de cette année la bagatelle de 23,2 millions d’euros. L’ex-maire interrogé à ce propos à indiqué « rien de catastrophique !».  Pour lui, peut-être, mais pour les Niçois qui n’ont pas ses moyens, cela le sera. D’autant que la dette globale de la Ville, à la fin de son mandat se montait à plus de 410 millions d’euros...

« Cette raison, comme ses actuelles connivences, inacceptables pour les démocrates, conduiront certainement les Niçoises et les Niçois à priver le gourmand du « Saint-Honoré » qu’il comptait déguster en soufflant ses 83 bougies ; la sagesse et la dignité voudrait qu’il s’y résolve dès à présent.

« Abandonné par la quasi-totalité de ses anciens soutiens niçois lassés par ses volte-face, scandalisés par ses nouvelles fréquentations, il est seul désormais. Personne n’en voudrait à celui qui semble maintenant confondre la politique niçoise avec le jeu de Monopoly, voire avec le poker menteur, s’il profitait enfin de sa retraite. Quant à M. Ciotti, le parti Niçois/Partit Nissart, se chargera probablement  lors des prochaines législatives de recréer les conditions qui permirent à  M. Alain Roullier-Laurens, notre Président, arrivé en troisième position, lors des cantonales de 2008, de lui infliger un cuisant échec  dans le premier canton de Nice. en faisant voter au second tour  pour son principal adversaire.

« Les scories du passé, les gesticulations revanchardes d'aujourd'hui, les combinaisons politiques des carriéristes de parti, ne doivent pas nous faire oublier l’essentiel. Les Niçois sont en grand danger, et la société civile niçoise doit impérativement accéder au  pouvoir municipal. Depuis 1990 il est aux mains d’un parti parisien qui a énormément nuit à Nice et veut aujourd’hui effacer la véritable identité niçoise car elle la seule force qui peut proposer une nouvelle voie salvatrice et libérer Nice des partis qui l’asservissent à des intérêts non niçois. Nous subissons tous les jours les conséquences de la catastrophique gestion des politiciens à la botte de Paris, qui veulent « marier Nice à Marseille » ce qui est un odieux et insultant contre-sens historique et économique ; si les Niçois ne leurs barrent pas fermement la route, demain sera encore pire qu’aujourd’hui. Nous entrons dans une période de turbulences et les forces populaires niçoises doivent s’unir pour résister et chasser les fossoyeurs de la Nice que nous avons connue et aimée et que nous avons le devoir absolu de faire renaître.. Tout est à restaurer, à reconstruire, à revoir, à repenser,  et le Parti Niçois/Partit Nissart sera à la pointe de ce combat. Issa Nissa ! » (fin de communiqué).

26 septembre 2011

"La débacle de l'UMP" - Communiqué du Parti Niçois / Partit Nissart - 26 septembre 2011

Parti_nicois_2_1 « Le Parti Niçois/Partit Nissart, bien qu’apolitique ne peut se désintéresser de la politique nationale car elle pèse d’un poids très lourd sur le destin des Niçois. Nous ne reconnaissons pas la légitimité des partis français à Nice, mais cependant, les dernières élections sénatoriales appellent nos remarques. Les deux grands partis français qui se partagent le pouvoir se déchirent déjà, sept mois avant les élections présidentielles. Ils sont tous deux co-responsables de ce que vivent les niçois, mais pour l’heure c’est l’UMP qui gère Nice. C’est donc avec satisfaction que nous avons vu la débâcle aux sénatoriales du parti de M. Estrosi ; c’est également un revers très grave pour M. Sarkozy. C’est M. Estrosi qui par tous les moyens veut  faire disparaître l’authentique identité niçoise, la cantonnant dans un folklore à deux sous et c’est encore lui qui avec M. Sarkozy a inauguré à Nice l’année dernière les ferrailles de la honte commémorant l’occupation militaire de Nice en 1860 et le plébiscite truqué. Il nous est donc agréable que leur parti, rétrograde et va-t-en-guerre, scorie du passé, ait perdu la majorité au sénat français, ce qui laisse présager sa défaite définitive. » 

« L’UNR gaulliste installa jadis la structure mafieuse du SAC à Nice par le biais d’un certain représentant en liqueurs anisés, qui s’est distingué comme l’on sait dans divers prétoires correctionnels, mais demeure inamovible dans un régime dont la vertu n’est pas la qualité maîtresse ; celui qui fit extrader Jacques Médecin, n’est allé lui, derrière les barreaux, mansuétude due au fait qu’il aurait « rendu des services à la République », une république  bananière où circulent des valises de billets et où les amis des amis règnent en Maîtres.   Le RPR, puis l’UMP, hériters de l’UNR ont mis la main sur Nice depuis le départ de Jacques Médecin  en 1990, et les niçois peuvent voir, effarés, ce qu’est devenue leur ville vingt ans après. Le constat est plus qu’accablant, et il faut chasser les représentants de ce parti hautement néfaste à notre ville et à ses intérêts. »

« M. Paille (parti Radical) a déclaré que « la défaite de l’UMP était dûe au sectarisme de ses dirigeants », ce qualificatif émane d’un homme politique français il va comme un gant à M.M. Estrosi et Ciotti. Cette défaite nationale ébranle leur pouvoir local et nous nous en félicitons car une opportunité se fait jour d’installer la société civile au pouvoir à Nice, lors des prochaines élections municipales, solution alternative à la droite et à la gauche. »

« Cela dit, si la gauche devait emporter les élections présidentielles, nous demanderons officiellement à ses dirigeants, de nous préciser leur position au sujet de Nice et de son destin, car suite à la Déclaration de Genève  et à notre intervention auprès du Secrétariat général de l’ONU le traité de Turin n’est toujours pas enregistré par cette instance suprême. Ce fait majeur pour Nice et la Savoie, revêt une importance capitale car nos deux pays annexés illégalement, subissent les affres de la déliquescence française, alors que l’autogestion et nos énormes atouts économiques, permettraient que nos deux peuples vivent autrement qu’au rythme de la faillite du système, de la paupérisation, de l’insécurité, et des troubles crapuleux, ethniques, voire religieux,  qui s’annoncent, comme on l’a vu récemment à Londres. »  

« Notre identité n’est pas morte comme l’aurait voulu le pouvoir jacobin, elle renaît grâce à la prise de conscience de beaucoup de jeunes niçois qui se veulent Niçois avant tout.  Elle sera notre rempart ; elle est déjà le gage d’une vie meilleure, dans une ville assainie et prospère. Nous défendrons les droits de Nice et demandons à toutes les niçoises et niçois conscients de cet enjeu vital pour nous-mêmes et notre jeunesse, de nous rejoindre. Tous ensemble, nous avons le devoir de participer à la délivrance de notre ville, avilie, jetée en pâture aux affairistes qui bétonnent nos sites pour remplir leurs coffres-forts alors que les Niçois ne peuvent plus se loger chez eux, notre ville livrée à des éléments troubles et dangereux qui impunément font de nous des étrangers sur notre propre sol. Cela ne peut plus durer, il faut se battre, et accéder en premier lieu au pouvoir municipal afin de remettre de l’ordre chez nous, car demain nous serons submergés et coulerons enchaînés dans les cales nauséabondes du pays qui nous annexé par l’invasion militaire du 1er avril 1860. Issa Nissa ! ». Fin de communiqué.  

29 août 2011

Pendant que le préfet des A.M. ultra jacobin veut museler des associations du haut Pays de Nice ...

... Mme Eva Joly prône l’autonomie et la défense des langues régionales.

Communiqué du Parti Niçois/Partit Nissart du 29 août 2011

Parti_nicois_2_1« Deux associations de la vallée de la Roya avaient décidé d'organiser une consultation populaire le 4 septembre prochain aux fins de savoir si les habitants étaient favorables ou non au rattachement de cinq communes de la vallée à la Carf (communauté d’agglomération de la rivièra française.... tout un programme...) du littoral mentonnais ou s’ils préfèrent la création d’une communauté regroupant Breil, Saorge et La Brigue. Le préfet des Alpes-Maritimes les à enjoint de ne rien en faire, puis les a menacés de poursuites dans une lettre jugée « menaçante » par le maire de La Brigue. Cette consultation a valeur de sondage et n’est pas opposable au préfet, qui se permet cependant de porter atteinte au droit des associations. Il semble que nous sommes revenus au temps des préfets impériaux, sous Napoléon le petit. En attentant les associations ne baissent pas pavillon devant la préfecture et ont adressé un courrier au préfet lui demandant « sur quels fondements juridiques il s’appuie pour affirmer que la consultation organisée par les associations est illégale ». En effet, nous ne sommes plus sous le règne dictatorial de Napoléon le petit, et un uniforme de préfet ne donne plus tous les droits à celui qui le porte. Et il conviendrait que ceux qui le portent aujourd’hui s’en souviennent et ne se trompent pas d’époque, car dans la mesure ou les associations et les citoyens n’enfreignent pas la loi, ils ne sont à la botte de personne fut-ce d’un préfet qui lui-même, n’est pas au dessus des lois et ne dit pas le droit. Le parti Niçois soutient l’initiative de ces associations et s’élève contre cette intolérable atteinte à la liberté des citoyens »

 

« Bien que le Parti Niçois/Partit Niçois, rejette les partis français, collectivement nuisibles à Nice, il prend note avec intérêt de la déclaration de Madame Eva Joly, candidate d’Europe-Ecologie-les Verts, à la présidentielle de 2012. Celle-ci a déclaré en effet à Mouans-Sartoux devant  150 délégués du RPS-Régions et Peuples solidaires) : « Nous voulons que chaque région puisse avoir un statut différent en fonction de ses revendications » ; elle a aussi défendu les langues régionales affirmant que la France a « une volonté hégémonique d’imposer l’unique langue française ». Elle s’est dite consciente « que si l’on ne peut imposer l’enseignement des langues régionales,  l’on peut en imposer l’offre » ajoutant « qu’il faut que dès la maternelle, il soit possible de les parler »

 

« Pour finir Madame Joly, en répondant à un Catalan qui souhait savoir s’il fallait maintenir les préfets, à donné une réponse qui semble également s’adresser au préfet des Alpes-Maritimes qui veut dicter sa loi aux associations citoyennes : « La figure du préfet est une figure napoléonnienne et il est temps d’entrer dans la modernité... »

 

« Le Parti Niçois/Partit Nissart constate que ses idées avancent, puisque dans la classe politique française, une politicienne plus lucide que les autres, demande la fin de l’Etat centralisateur jacobin issu d’un autre siècle, qui étouffe les régions et bride le droit des citoyens qui, fidèles à leurs racines, désirent privilégier leur appartenance régionale. Cette évolution est inéluctable, la France devra bientôt aligner son système archaïque et injuste sur l’Europe aux provinces autonomes. Le Parti Niçois/Partit Nissart, offrira bientôt aux électeurs la possibilité se soutenir par les urnes la juste cause de Nice autonome. Issa Nissa ! » 

 

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21 août 2011

« La main tendue du maire de Nice... et les mains ouvertes des élus peyratistes » Communiqué du Parti Niçois du 21 août 2011

Parti_nicois_2_1« M. Estrosi vient officiellement de « tendre la main », aux élus de la liste Peyrat. La quasi -totalité d’entre eux, pour leur part, avaient les leurs ouvertes depuis longtemps pour la recevoir. Après trois ans de purgatoire pour les purifier sans doute d’avoir appartenu à une liste opposée à lui en 2008, le maire leur a enfin ouvert toutes grandes les portes du paradis qu’est apparemment la majorité estrosiste, si l’on en juge par l’empressement que les transfuges ont mis à s’y précipiter. Ce paradis n’est point peuplé d’anges et d’archanges, mais on y procède néanmoins à des distributions de délégations, subdélégations et autres postes divers, qui ravissent d’une joie séraphique les cœurs purs et les âmes désintéressées. C’est le cas de Me André Chauvet, dernier en date à avoir abandonné celui à qui il espérait succéder. Sans doute s'apperçût-il enfin qu’il ne succéderait à rien et qu’il n’y avait plus rien à ronger sur l’os de l’ancienne majorité, politiquement morte et enterrée depuis que l’ex-maire, s’était mit lui-même hors jeu, en refusant de siéger au conseil, puis en se commettant avec un groupuscule d’extrême-droite dont le chef fut condamné pour négationnisme. » 
 
« Laissant la fidélité à ses engagements de 2008 au porte-manteau celui que l’ex-maire, de sa retraite solitaire, accuse de rechercher le profit personnel, s’est donc contenté du lot de consolation que lui a octroyé son adversaire d’hier. Si Paris valait bien une messe, le sieur André Chauvet, changea de religion pour un strapontin de délégué à l’Opéra. Nul ne pouvait imaginer que l’amour de la musique puisse conduire à se renier. »

 

« Fait aggravant, selon l’ex-maire, Me Chauvet aurait abandonné tous les recours qu’il avait initié contre certaines décisions de l’actuelle majorité ; recours qui seraient aujourd’hui prescrits du fait de cette inaction. Curieuse attitude pour un juriste que de saboter ses propres recours : siégeant dans l’opposition, il avait saisi le Tribunal administratif de certaines décisions municipales qu’il jugeait illégales. Il semble donc que sa louable volonté de faire appliquer le droit n’est pas intangible, mais varie en fonction du camp où il se trouve. L‘ami de la musique sait donc changer de partition en plein concert et cette dextérité lui a sans doute valu un poste à l’opéra. »

 
« Les 31 952 Niçoises et Niçois, qui en 2008 avaient élus les nouveaux promus pour empêcher M. Etrosi d’accéder au pouvoir municipal, ont eu une cruelle déception car ils ont uniquement servi de marchepied à des ambitions personnelles. Ayant trahi la volonté de leurs électeurs ces nouveaux élus à l’estrosisme, désormais ne représentent strictement plus rien politiquement. Tout laisse à penser que M. Estrosi à fait disparaître l’opposition de droite au conseil pour donner l’illusion que lui seul représente la droite niçoise. Mais les 31 952 électeurs qui ont voté en 2008 pour la liste de l'ex-maire et donc contre lui, eux n’ont pas disparu ; et bon nombre d'entre-eux étaient apolitiques. »

 

« En effet, il ne faudrait pas oublier que l’ex-maire n’était pas seul en 2008 ; il avait sollicité la LRLN avec laquelle il avait signé une charte en dix-huit points pour revaloriser l’identité et la culture niçoise, prix à payer pour qu’elle accepte d’aller au combat à ses côtés. La veille de cette alliance, le maire était donné à 10/11% dans les sondages ce qui avait d’ailleurs motivé sa recherche d’alliances ; avec l’aide des forces niçoises de la LRLN, en majorité apolitique, au sens français du terme, il a obtenu 25,5 % soit 14,5 % de plus ce qui n’est pas négligeable. En déposant leurs bulletins dans les urnes lors de la prochaine élection municipale, tous ces électeurs trahis se souviendront certainement de l’épisode « de la main tendue », qui illustre on ne peut mieux les pratiques de la classe politique. »

 

« Eloigné du pouvoir national, n’ayant pas retrouvé de portefeuille ministériel, le maire a quitté ses bureaux parisiens et semble se recentrer politiquement sur Nice, où certes il fut présent à plein temps durant ces trois dernières années dans les colonnes du monopole de presse niçois. Mais un album sans fin de photos d’inaugurations et autres manifestations, si fourni soit-il, ne masquera pas le grand vide de ses trois premières années de mandature, lesquelles ont débuté par une notable augmentation des impôts locaux, suivie par un gaspillage éhonté des fonds publics en publicité et effets d’annonce, comme la candidature ubuesque de Nice aux Jeux Olympiques d’hiver, le téléphérique qui mène à nulle part, la rame de tramway exposée sur la Promenade, et tout ce que l’on sait. M. Estrosi a terminé sa demi-mandature en donnant le coup d’envoi de la « Gay-pride » sur la Promenade des Anglais, mais son soutien actif à ce carnaval d’été, tout comme l’inauguration de certaines réalisations de l’ancienne municipalité, les rodomontades sécuritaires et l’installation des révulsantes ferrailles de la honte, ne compensent pas, loin s’en faut, les bulles de savons et le vide sidéral de ces dernières trois années. »
 
« L’opposition de droite à M. Estrosi, n’existe donc plus au conseil municipal, ce qui ne fait pas illusion, car elle n’a pas disparu pour autant ; elle grandit chaque jour dans la ville, et bien au-delà de cette sensibilité politique. Ce sont les mécontents, toutes tendances confondues, qui en 2014 décideront du sort à réserver à l’actuelle majorité. Elle ne sera certainement pas sauvée par les ruineux et inutiles projets qu’elle prévoit, en ces temps de crise, où les Niçois souffrent et où le bon sens et la saine gestion devraient conduire à des économies plutôt qu’à des inaugurations ; surtout quand les réalisations que l’on veut inaugurer s’annoncent comme des gouffres d’argent public, dans l’avenir. »


« Le Parti Niçois/Partit Nissart, apolitique, représentera la société civile niçoise, lors des prochaines élections municipales, et permettra au corps électoral de se prononcer, non en fonction des partis et des clans, mais selon le bon sens, et en fonction de l’intérêt de Nice. Le pouvoir municipal est décrédibilisé aux yeux de beaucoup, et la récupération des ex-conseillers peyratistes, est déjà l’aveu de sa faiblesse et de ses craintes, alors qu’il n’est qu’à demi-mandat. Les Niçois doivent se mobiliser dès à présent, car l’échéance municipale se profile déjà à l’horizon, et notre ville en 2014 ne pourra, sans grands dangers, subir six ans encore une telle politique. Courage, union et détermination nous permettrons, le moment venu d’installer la société civile au pouvoir. Issa Nissa !!! »

 

21 juillet 2011

Communiqué du Président du Parti Niçois - 21 Juillet 2011

Parti_nicois_2_1« Le 11 juillet dernier  M. Chauvet, conseiller municipal d’opposition appartenant à l’Entente républicaine, a été gratifié d’un poste par le maire ; ceci est un quasi ralliement à la majorité estrosiste. C’est donc le huitème des neufs élus de la liste que Jacques Peyrat avait présentée en 2008, qui rejoint M. Estrosi,  les sept autres, l’ayant fait quelques mois seulement après leur installation au Conseil municipal de Nice. Je laisserai le soin à leurs électeurs de juger les actes de ceux qu’ils avaient élus pour s’opposer à la politique de M. Estrosi. »

 

« Je n’ai jamais appartenu à l’Entente républicaine, qui d’ailleurs n’était pas un parti national, mais un groupement local soutenant M. Peyrat personnellement. Nous figurions cependant en bonne place, avec quatre membres de la L.R.L.N, en qualité d’alliés sur la liste municipale présentée par l’Entente en 2008 ; cette liste  n’était labellisée par aucun parti parisien. Devant le danger que représentait l’arrivée de M. Estrosi au pouvoir, après que l’ex-maire nous ait sollicité  et qu’il ait accepté de signer avec moi un programme en dix-huit points afin de restaurer l’identité et le patrimoine niçois, nous sommes allés au combat ensemble, loyalement, chacun conservant sa différence. Je pense donc de mon devoir, vis à vis des 31 952 électeurs, soit 25,5 % du corps électoral, qui nous avaient accordé leur confiance, de réagir officiellement après la défection de M. Chauvet. »

 

« Aujourd’hui, une page de la vie politique niçoise est définitivement  tournée.

L’Entente républicaine qui avait été crée autrefois pour palier le défaut d’étiquette nationale de M. Peyrat alors qu’il ambitionnait la mairie de Nice en 1995, avait déjà implosé par le haut après la défection de sept de ses élus ; M. Chauvet, achève de la décapiter politiquement ; elle ne représente plus une force politique et pas même un souvenir. »

 

« Les électeurs qui ont porté leur suffrage sur notre liste commune, ont été abandonnés, par l’ex-maire qui a refusé de sièger au Conseil.  Son alliance avec l’extrême droite lors des dernières élections cantonales, avait déjà éloigné de lui l’électorat modéré qui nous avait soutenus en 2008, conscient du danger pour Nice, que représentait la venue de M. Estrosi au pouvoir. La défection de sept conseillers municipaux de l’Entente républicaine, puis celle de M. Chauvet, mettant un terme à treize ans de mandatures Peyrat. »

 

« Le rideau est tombé. Mais au lieu de se retirer après deux échecs successifs, l’ex-maire, déjà disqualifié par ses alliances aux cantonales, persiste, flanqué maintenant d’un groupuscule appartenant à l’extrême droite radicale dont le leader national a été condamné pour négationisme. Ceci le marginalise définitivement car il ne peut plus prétendre rassembler les Niçois. Mais, hypothétique général, il  semble manœuver sur une carte d’état-major obsolète, des divisions d’électeurs qui n’existent plus, en songeant à une revanche personnelle lors des prochaines municipales. De telles vélléités, qui ne servent en rien l’intérêt général, alors que Nice s’enfonce dans la crise et que de très mauvais jours attendent les Niçois, sont irresponsables et  inconvenantes.»

 

« Laissons là les scories du passé pour nous préoccuper de l’avenir. Je tiens à dire à nos électeurs de 2008 qui ont été indignement trahis, comme à toutes les Niçoises et les Niçois, que ma position prise en 2008  n’a pas changé et qu'elle ne changera pas. L’Entente Républicaine n’existe plus, mais nous ne pouvons laisser le champ libre aux fossoyeurs de Nice, car ce que nous craignions en 2008 s’est vérifé aujourd’hui et s’aggravera demain.»

 

« le Parti Niçois/Partit Nissart, continuera la lutte, hors de tout extrémisme, mais avec le ferme volonté de représenter une force nouvelle de proposition lors des élections municipales de 2014. Il est urgent que cette ville soit gérée autrement,  urgent aussi qu’elle retrouve son âme, son particularisme et sa grandeur.»

 

« Nice est en très grand danger ; la société civile niçoise doit impérativement se regrouper en dehors des partis nationaux de gauche ou de droite, également responsables de la situation catastrophique actuelle, pour tenter d’infléchir les événements calamiteux qui s’annoncent. Je fais confiance au bon sens des Niçois, qui ont toujours su résister quand il le fallait. Gardons espoir, car tous unis, et hors de la politique politicienne, nous pouvons tout. Issa Nissa ! »

Alain Roullier-Laurens, Président du Parti Niçois/Partit Nissart

27 juin 2011

« Le reportage truqué par des journalistes de Nice-Matin fait de très grosses vagues »

Parti_nicois_2_1Communiqué du Parti Niçois - 27 juin 2011

« Visiblement, le truquage d’un reportage dont le but était de vanter l’action de M. Ciotti contre l’abstentionnisme scolaire n’est pas passé comme une lettre à la poste dans la capitale. Ce jour, lors du journal télévisé de TF1 à 13 H, le présentateur J-P Pernaut a lu un assez long communiqué présentant les plates excuses de TF1 à ses téléspectateurs et stigmatisant longuement cette fraude inadmissible pratiquée par des journalistes de Nice-Matin ; il a indiqué qu’un tel manquement à la déontologie ne s’était jamais vu jusqu’alors, dans les rapports de TF1 avec la presse régionale.

 

« Pour faire de la publicité à M. Ciotti, des journalistes de Nice Matin ont fait une bien mauvaise publicité à Nice qui passe une fois de plus pour une ville où la fraude côtoie les paillettes et les bulles de savon.

 

« Néanmoins, à quelque chose malheur est bon : ceux des Niçoises et des Niçois qui sont encore naïfs et ne jurent que par « ce qui est écrit dans le journal », sauront désormais mieux apprécier à leur juste valeur, les affirmations laudatives répétitives qui paraissent dans le monopole de presse niçois.

 

« Certes, la Mairie de Nice et le Conseil général des A.M. sont de très gros clients pour le monopole de presse, où ils passent leurs annonces légales et des monceaux de publicité dont le bien fondé est souvent contestable, mais ce sont les Niçois qui les payent.  Plutôt que de faire la promotion des élus qui passent commande, il conviendrait de respecter les Niçois qui payent, en délivrant une information fiable.

 

« Il est vraiment grand temps d’assainir la situation à Nice et ce, dans tous les domaines. Les prochaines échéances politiques à Nice  et particulièrement les élections municipales, nous permettront d'ouvrir toutes grandes les fenêtres de ce monde politique à bout de souffle et en pleine déliquescence. Pour l’instant : courage, mobilisation et espoir : Issa Nissa ! »

 

fin de communiqué

 

    

 

25 juin 2011

Communiqué du Parti Niçois - 25 juin 2011

Parti_nicois_2_1"Les Falsificateurs"

« Voilà deux jours, nous avons eu la preuve que le monde politique niçois et en particulier, l’entourage de M. Ciotti, Président du Conseil général, ne se contente pas du matraquage médiatique que nous connaissons, mais qu’il va même jusqu’à falsifier les informations données au public. L’information, à savoir un faux témoignage dans une enquête réalisée par des journalistes du monopole de presse niçois, ayant été reprise pour argent comptant par la chaîne TF1 dans son journal télévisé, a provoqué plus que des grincements de dents. »

 

«  Mme Catherine Nayl, directrice de l’information de TF1 aurait déclaré, furieuse  : « On a subi un préjudice assez important. Je suis en colère par rapport à la façon dont les journalistes de Nice Matin, qui travaillent dans le cadre de nos accords avec la  presse quotidienne régionale, ont réalisé leur reportage. J’ai appelé Frédéric Touraille [Directeur général délégué de Nice Matin] .... Je lui ait dit mon extrême mécontentement. Ce n’est pas à moi de voir quelles sont les suites à donner, mais je ne  peux accepter ça sur l’antenne de TF1. »

 

« Il n’a échappé à personne que beaucoup de publicité médiatique est faite à M. Ciotti dans le monopole de presse niçois pour la loi qu’il a porté, au sujet de l’absentéisme scolaire. Certains médias niçois  présentent cette loi comme l’universelle panacée et son auteur comme un politicien de stature nationale. La remise en jeu du mandat législatif de M. Ciotti, l’année prochaine, explique peut être cette déferlante médiatique qui chante ses louanges sur tous les modes. Las, les zélés laudateurs se sont pris les pieds dans le tapis du mensonge. »

 

« Lors d’un reportage qui, les faits le prouvent, était de complaisance, les journalistes du monopole de presse niçois, ont interrogé « une mère » d’élève qui  exprimait « sa détresse face à l’absentéisme de son enfant, et son soulagement de voir son désarroi pris en charge par le dispositif de la loi Ciotti ». TF1 reprit cette information et ces images au journal télévisé. Des trompettes de la renommée quelque peu frelatées, apprirent donc à toute la France esbaudie que des laudes et satisfecit  saluaient à Nice, l’action de M. Ciotti. »

 

« Malheureusement pour les organisateurs de cette mascarade, le bel or, bien brillant comme celui qui autrefois garnissait les hottes de l’âne décorant pour les fêtes la vitrine du bijoutier Manicou dans la Vieille Ville, n’était que du toc...  Il apparut très vite en effet, que « la mère angoissée » interrogée, n’était autre... que l’attachée de presse de M. Ciotti.... Et, circonstance oh combien aggravante.... qu’elle n’a pas d’enfants ! »

 

« M. Ciotti, a ouvert immédiatement son parapluie magique en déclarant « Je n’étais pas au courant... c’est une faute professionnelle ; elle est intervenue à la demande de TF1. Je suis choqué ». Le reportage cependant, n’a pas été réalisé par TF1 mais par le monopole de presse...  Si M. Ciotti n’était pas au courant, et que son attachée de presse a agi sans autorisation, cela pourrait laisser penser, que pareille chose est pratique courante. Un politicien est responsable de son staff et que M. Ciotti ait été au courant ou non, nul ne peut nier qu’il était bien le bénéficiaire d’un faux témoignage commis par sa collaboratrice.»

 

« Cet épisode très peu glorieux aura au moins un mérite : celui de relativiser désormais les informations radieuses dont la presse niçoise nous abreuve au sujet du président du Conseil général, et par extension du maire de Nice. Et à plus forte raison, les « sondages » politiques futurs qui ne manqueront pas de fleurir, dans les très pures colonnes du journal que vous savez.»

 

« En citoyens compatissants, ayons une pensée pour M. le Président du Conseil général « qui est choqué » et méditons cette pensée d’Alexis de Tocqueville :

 

«  Je crois que dans tous les gouvernements, quels qu’ils soient, la bassesse s’attachera à la force et la flatterie au pouvoir. Je ne connais qu’un moyen d’empêcher que les hommes ne se dégradent, c’est de n’accorder à personne avec le toute puissance, le pouvoir de les avilir. »

 

« Pour terminer par une note niçoise, en ces temps calamiteux, ayons plus souvent à l’esprit ce proverbe de nos anciens qui demeure plus que jamais d’actualité : « Es couma l’ae de Mànicou... ».

 

Fin de communiqué

 

3 juin 2011

Communiqué du Parti Niçois - 3 juin 2011

Parti_nicois_2_1« Nous constatons que sur un fond de faillite économique et de paupérisation, des scandales à répétition discréditent  la classe politique française davantage chaque jour. De graves atteintes aux libertés individuelles complètent  ce très sombre tableau. Alors que les délinquants sont peu ou pas poursuivis comme ils devraient l’être, que des CRS parisiens rackettent des chauffeurs de taxi, un citoyen facétieux vient d’être condamné pour avoir chanté à sa fenêtre une chanson de Brassens houspillant la maréchaussée, alors que passaient des gendarmes dans la rue !  Nous voilà donc revenu un demi-siècle en arrière, quand le ministère de l’Intérieur interdisait Le Déserteur de Boris Vian ! Gare à celui qui chantera La Marseillaise de Léo Ferret.... Les  citoyens doivent se mobiliser afin de défendre leurs droits et le cas échéant, épuiser toutes les voies de recours dans l’hexagone, pour soumettre ce genre de décisions judiciaires aux instances européennes. La France a souvent été condamnée pour violation des Droits de l’Homme, et à ce rythme, elle risque de l’être davantage encore. Elle va devenir la championne des Non-Droits de l’Homme.

 

A Nice, M.M. Ciotti et Estrosi prônent le tout sécuritaire, mais la forêt de caméras installée à grand frais, la bunkérisation de la mairie de Nice comme les effets d’annonce martiaux et tapageurs sont inefficaces, car la délinquance augmente et la propre voiture du maire a même été attaquée par des voyous ! La loi Ciotti qui jette le soupçon sur les plus défavorisés semble ne satisfaire qu’un ego belliqueux plutôt qu’apporter une réponse efficace aux problèmes  dont les politiciens sont responsables au premier chef. Nous constatons que la délinquance ne baisse que dans les statistiques que M. Estrosi décline à grand renfort de  placards  publicitaires passés dans le monopole de presse niçois. De plus, il n’est pas rare que les rigueurs de la loi frappent davantage les honnêtes gens  coupables de vétilles ou que l’on veut bâillonner, que les voyous dangereux, connus et patentés, notamment ceux qui ont transformé les banlieues en zones de non droit. 

 

Les politiciens carriéristes sont responsables de la déliquescence qui gangrène le pays. A défaut de savoir y remédier, ils ne trouvent que la force pour tenter de maîtriser une situation qui résulte de leur incompétence et de leur démagogie. Ces mesures coercitives frappent également les citoyens protestataires, ce qui est inacceptable. Nice qui a longtemps été relativement protégée se voit maintenant frappée de plein fouet par la faillite économique et morale du pays qui l’annexé dans les conditions que l’on sait. Les Niçoises et les Niçois ne peuvent plus accorder la moindre confiance aux politiciens français. Et ils ne peuvent plus compter que sur eux mêmes pour se protéger des poisons mortels qui s’exhalent du cloaque politique. C’est la raison pour la laquelle le Parti Niçois/Partit Nissart a choisi pour thème majeur : Ni droite, ni gauche, Nice d’abord.

 

Etablir ce désastreux bilan, n’est pas une fin en soi, l’important est d’en tirer les conséquences. Il convient de réagir en portant la société civile niçoise apolitique au pouvoir municipal.  C’est le but impératif que les circonstances imposent et que nous nous sommes fixés. Les Niçois, de souche ou d’adoption, ne doivent point se déchirer entre eux, divisés par des idéologies du XIXéme siècles, tout à fait obsolètes aujourd’hui, qui ont fait la preuve de leur totale inadaptation aux réalités humaines et économiques, mais se préoccuper uniquement des affaires niçoises, qui seules sont à notre portée et sur lesquelles nous pouvons peser directement.

 

Il ne faut pas se  bercer d’illusions : tant que les politiciens carriéristes et leurs affidés qui nous ont menés où nous en sommes, conserveront le pouvoir à Nice, nos affaires ne peuvent qu’empirer. Comme une boule sur une pente, la chute de notre société s’accélère et ce, dans tous les domaines. Gardons nous de l’individualisme égoïste qui paralyse les sociétés et permet aux malfaisants d’agir en toute impunité. De grands combats sont à mener pour sauver notre ville et notre jeunesse des calamités qui s’annoncent. Parmi ces actions, certaines sont vitales : le sauvetage des terrains agricoles de la plaine du Var qui va être  bétonnée par les faiseurs d’argent ; la préservation de nos ressources en eau ; l’instauration d’une véritable justice sociale ; la suppression du gaspillage éhonté des deniers publics ; la sécurité ; la régulation de l’immigration qui finira par faire de nous des étrangers dans notre propre ville ; se pencher très sérieusement sur les problèmes de pollution, qui autrefois étaient considérés à tort comme accessoires et deviennent aujourd’hui un enjeu majeur incontournable. Sans oublier le plus important sans doute, la préservation de notre identité particulière qui seule ferra barrage aux atteintes d’un mondialisme vampirique dont le but est de niveler les sociétés par le bas pour mieux régner économiquement et politiquement.  Nice dispose de tous les atouts pour résister aux forces néfastes qui détruisent nos paysages, dilapident nos ressources, conduisent nos enfants à s’expatrier, ruinent les citoyens, et nient notre identité historique.  Notre identité niçoise est le seul rempart contre la catastrophe, le seul facteur d’union contre les malfaisants, le seul moteur d’une résistance active au déclin.

 

La première étape de cette résistance est la reconquête du pouvoir municipal par la société civile niçoise. Il est capital de chasser les responsables de la situation actuelle, qui ne sont pas au service de Nice, mais à celui des partis parisiens dont ils sont le relais en province. Mais Nice n’est pas une simple province, elle fut indépendante en 1108 et certains acteurs de la politique niçoise devraient s’en souvenir car la négation de l’Histoire, la négation de l’identité d’un peuple et la destruction de sa culture sont des crimes qui ne demeurent jamais impunis.

 

Les hommes politiques pour la plupart, carriéristes, ne servent pas l’intérêt général, mais les formations politiques nationales dont l’appareil assure leur réélection ad vitam æternam. Cumulards, incapables et amoraux ils créent des structures creuses, vivent dans le paraître et ne sont capables que d’effets d’annonces ; brillantinés, gominés, poudrés, pomponnés et coachés, ils  donnent le change au public avec l’appui des médias qu’ils gratifient de fonds publics très importants, par le biais d’inutiles et incessantes publicités. L’écho de leurs gesticulations insanes se perd dans un vide sidéral, pendant que la société se délite chaque jour davantage. Ce déplorable état de choses ne peut plus durer, car nous touchons le fond.

 

Le Parti Niçois/Partit Nissart a été fondé afin de préserver Nice de la dissolution inéluctable qui à court terme guette la société française déjà gravement ébranlée. Une seule option est possible : les citoyens niçois  doivent gérer directement la Ville et associer leurs capacités petites ou grandes. Une volonté commune de  bien faire sera sans nul doute, beaucoup plus salvatrice que les promesses éculées des partis parisiens qui nous ont menés d’abord à la médiocrité et à la jalousie sociale, ensuite à la faillite et aujourd’hui à la déchéance.  Dès la rentrée, M. Alain Roullier-Laurens, président du Parti Niçois/Partit Nissart, publiera un ouvrage d’analyse de société, dans lequel il développera également le programme et les objectifs du parti pour les trois années à venir. Pour l’instant, regroupons nous en vue des combats futurs et faisons face comme nos ancêtres l’ont toujours fait devant le danger. Issa Nissa ! » fin de communiqué  

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