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Parti Niçois/Partit Nissart - site officiel
nissa
12 avril 2012

Election présidentielle : à Nice, votons Niçois !

12 Avril 2012 - Communiqué  du Parti Niçois/Partit Nissart

Parti_nicois_2_1

« Le Parti Niçois/Partit Nissart n’avait pas souhaité jusque là, communiquer à propos du grand Barnum organisé par la classe politique française à l’occasion de l’élection présidentielle car cette campagne n’a été que mauvaise foi, contre-vérités,  poudre aux yeux et tumultes inutiles. Lors de cette foire d’empoigne indigne et insultante pour le corps électoral, les bateleurs et marchands de rêve patentés ont monté leurs tréteaux, et proposé les habituelles potions magiques, et soupes réchauffées en se gardant bien  d’aborder concrètement  et en détail les problèmes essentiels qui intéressent le public ; quand à l’effort financier que devront supporter toutes les catégories de contribuables après les élections, aucun des candidats ne l’a chiffré avec certitude. Et pour cause ! L’honnêteté a été la grande absente des débats

« La situation exige prudence, sérieux, union, effacement de soi devant l’intérêt général, et nous n’avons vu que querelles de thénardiers, égoïsme, coups-bas et partialité. Alors que le pays est en pleine déliquescence morale, économique  et sociale, que la dette abyssale hypothèque la  vie du plus grand nombre et l’avenir de la jeunesse, la droite et la gauche, co-responsables de la situation actuelle, n’ont été préoccupées que de gaspiller allégrement, leur part des  230 millions que paierons au total les contribuables pour financer cette campagne. Ces deux têtes jumelles de l’hydre jacobine rivalisant de démagogie et de mensonges, ont surenchéri jusqu’au ridicule, jetant aux citoyens des brassées de promesses  irréalisables,  comme on jette quelques sacs de riz à des populations affamées.

« Les seconds couteaux qui donnent l’illusion de la pluralité démocratique mais ne sont que les faire-valoir des deux partis qui ont confisqué le pouvoir, on fait de même ; certains  s’appuyant ou se réclamant d’idéologies râpées jusqu’à la corde, qui ont fait la preuve de leur totale inefficacité.

« En ce début du troisiéme millénaire, alors que la situation est gravissime, nous avons vu et entendu des personnages sortis tout droit de la fin du XIXéme siècle, nous expliquer comment résoudre nos problèmes : bourgeois trotskiste, cabotin et imbu de lui-même, se gargarisant de formules grandiloquentes ; pétroleuses aigries et venimeuses évoquant les tricoteuses hurlant jadis aux pieds des échafauds ; réactionnaire engoncée dans les principes rigides et réducteurs d’un monde disparu ; révolutionnaire niais ignorant superbement les réalités économiques et prétendant imposer les avis du Café du Commerce en mémoire de la défunte Internationale ; intellectuel sentencieux aux troubles accointances s’offrant pour la dernière fois une chaire nationale...

« Plus grave encore, alors que le bateau est en train de couler, la plupart de ces démagogues se sont disputés comme des chiffonniers une clientèle crédule déboussolée par la crise, en excitant la jalousie sociale par les méthodes dont usaient les promoteurs des sanglantes dictatures du soi-disant « du prolétariat »,  lesquelles se sont effondrées naguère dans une lamentable faillite économique.  Ceux qui, à tout prix, veulent croire aux contes de fées devraient se souvenir  que ces régimes sont responsables de  cent millions de morts et ont plongé des nations entières dans la misère durant deux générations.

« Cette campagne a été un scandale, tant par la pauvreté de la pensée et du débat, le manque de réalisme et de perspectives, que par la malhonnêteté intellectuelle et la démagogie.  Les médias, et les instituts de sondage, outrepassant largement leur rôle d’information ont joué un rôle véritablement anti-démocratique, s’investissant du pouvoir de guider le choix des populations par le biais d’analyses douteuses ressassées sans fin et sur tous les modes ; les journaleux au service de lobbies politiques, pontifiant sur les plateaux de télévision et brassant du vent à défaut d’avoir eu le courage de résister au système, ont été les chevilles ouvrières de cette parodie de campagne. Rien n’aura été épargné aux électeurs qui désiraient seulement connaître la vérité sur l’état des finances publiques et  les solutions concrètes que chaque candidat proposait pour  résorber la crise et résoudre au mieux et au plutôt les problèmes récurrents qui empoisonnent la société.  La grande redistribution des plus hauts postes de l’Etat, organisée tous les cinq ans, à savoir l’élection présidentielle, dans sa dernière version, ne mérite que l’indignation des citoyens.

« Le système des partis nous a conduit à la totale déstabilisation de la société ; ce système est  moribond, mais ceux qui en profitent et ont fait tant de mal, ne veulent pas s'effacer et persistent à nuire à la collectivité. Notre époque a grand besoin de compétences, d’union et d’altruisme,  alors que la politique actuelle ne génère que des factions, des divisions, et des intérêts carriéristes particuliers. La notion de droite et de gauche non adaptée à notre temps et confiscatoire de la démocratie, doit s’effacer devant l’intérêt général, dans les esprits et la réalité. 

« Nous, Niçois devons avant tout nous préoccuper de notre ville. Nous savons que Nice est, et demeurera l’éternelle oubliée, car le monde politique parisien nous méprise ; il ne s’intéresse qu’à nos suffrages en période électorale, non à notre prospérité et encore moins à notre identité qui est niée purement et simplement. Ceux qui, en pensant éviter le pire, se risqueraient à choisir un candidat par défaut dans ce cloaque jacobin, trouble marigot où pataugent les vieux crocodiles à l’appétit insatiable,  sont assurés, quel que soit leur choix, de le regretter une fois l’élection passée.

« En conséquence, le Parti Niçois/Partit Nissart demande à ses adhérents et sympathisant, de  rappeler, par un vote protestataire massif, à toutes les têtes de liste des partis nationaux,  que les Niçois en ont a assez de leur incompétence, de leur mauvaise foi, de leurs échecs répétés ; qu’ils en ont assez des poisons multiples qu’ils insufflent dans notre ville, qu’ils en ont assez de leur mépris hautain et condescendant.  De leur rappeler également que Nice a des droits inaliénables et que la mascarade du plébiscite d’annexion de 1860 n’a pu légalement les éteindre comme l’a officiellement déclaré Garibaldi, au parlement de Turin. Plus ce vote protestataire sera massif,  plus le monde politique sera contraint de prendre en compte que les Niçois existent encore en tant que tels, et qu’il en coûte de les ignorer.

« En outre, la question des droits de Nice, dans cette situation déliquescente, prend une importance capitale, car ils nous permettraient un autre avenir, que celui qui, inexorablement, attend l'hexagone.

« Le bulletin de vote étant la seule chose que craignent les politicards carriéristes parisiens, il convient donc de voter. Non pour eux, mais pour Nice. Un modèle de bulletin à découper est joint à ce communiqué ; il est clair et net : Nice d’abord et pas de compromission avec la nomenclature jacobine qui n’a jamais cessé de nous nuire. Les aigreurs que ces bulletins provoqueront immanquablement au soir des élections dans la classe  politique française, seront douces à tous les vrais Niçois  qui en ont assez de subir en silence et de voir impuissants le déclin de Nice qui subit depuis trop longtemps la déliquescence française.  Issa Nissa ! »  Fin de communiqué

bulletin nice libre

 

Version planche de six bulletins (cliquez pour agrandir et imprimer)

bulletin nice libre2

 

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3 juin 2011

Communiqué du Parti Niçois - 3 juin 2011

Parti_nicois_2_1« Nous constatons que sur un fond de faillite économique et de paupérisation, des scandales à répétition discréditent  la classe politique française davantage chaque jour. De graves atteintes aux libertés individuelles complètent  ce très sombre tableau. Alors que les délinquants sont peu ou pas poursuivis comme ils devraient l’être, que des CRS parisiens rackettent des chauffeurs de taxi, un citoyen facétieux vient d’être condamné pour avoir chanté à sa fenêtre une chanson de Brassens houspillant la maréchaussée, alors que passaient des gendarmes dans la rue !  Nous voilà donc revenu un demi-siècle en arrière, quand le ministère de l’Intérieur interdisait Le Déserteur de Boris Vian ! Gare à celui qui chantera La Marseillaise de Léo Ferret.... Les  citoyens doivent se mobiliser afin de défendre leurs droits et le cas échéant, épuiser toutes les voies de recours dans l’hexagone, pour soumettre ce genre de décisions judiciaires aux instances européennes. La France a souvent été condamnée pour violation des Droits de l’Homme, et à ce rythme, elle risque de l’être davantage encore. Elle va devenir la championne des Non-Droits de l’Homme.

 

A Nice, M.M. Ciotti et Estrosi prônent le tout sécuritaire, mais la forêt de caméras installée à grand frais, la bunkérisation de la mairie de Nice comme les effets d’annonce martiaux et tapageurs sont inefficaces, car la délinquance augmente et la propre voiture du maire a même été attaquée par des voyous ! La loi Ciotti qui jette le soupçon sur les plus défavorisés semble ne satisfaire qu’un ego belliqueux plutôt qu’apporter une réponse efficace aux problèmes  dont les politiciens sont responsables au premier chef. Nous constatons que la délinquance ne baisse que dans les statistiques que M. Estrosi décline à grand renfort de  placards  publicitaires passés dans le monopole de presse niçois. De plus, il n’est pas rare que les rigueurs de la loi frappent davantage les honnêtes gens  coupables de vétilles ou que l’on veut bâillonner, que les voyous dangereux, connus et patentés, notamment ceux qui ont transformé les banlieues en zones de non droit. 

 

Les politiciens carriéristes sont responsables de la déliquescence qui gangrène le pays. A défaut de savoir y remédier, ils ne trouvent que la force pour tenter de maîtriser une situation qui résulte de leur incompétence et de leur démagogie. Ces mesures coercitives frappent également les citoyens protestataires, ce qui est inacceptable. Nice qui a longtemps été relativement protégée se voit maintenant frappée de plein fouet par la faillite économique et morale du pays qui l’annexé dans les conditions que l’on sait. Les Niçoises et les Niçois ne peuvent plus accorder la moindre confiance aux politiciens français. Et ils ne peuvent plus compter que sur eux mêmes pour se protéger des poisons mortels qui s’exhalent du cloaque politique. C’est la raison pour la laquelle le Parti Niçois/Partit Nissart a choisi pour thème majeur : Ni droite, ni gauche, Nice d’abord.

 

Etablir ce désastreux bilan, n’est pas une fin en soi, l’important est d’en tirer les conséquences. Il convient de réagir en portant la société civile niçoise apolitique au pouvoir municipal.  C’est le but impératif que les circonstances imposent et que nous nous sommes fixés. Les Niçois, de souche ou d’adoption, ne doivent point se déchirer entre eux, divisés par des idéologies du XIXéme siècles, tout à fait obsolètes aujourd’hui, qui ont fait la preuve de leur totale inadaptation aux réalités humaines et économiques, mais se préoccuper uniquement des affaires niçoises, qui seules sont à notre portée et sur lesquelles nous pouvons peser directement.

 

Il ne faut pas se  bercer d’illusions : tant que les politiciens carriéristes et leurs affidés qui nous ont menés où nous en sommes, conserveront le pouvoir à Nice, nos affaires ne peuvent qu’empirer. Comme une boule sur une pente, la chute de notre société s’accélère et ce, dans tous les domaines. Gardons nous de l’individualisme égoïste qui paralyse les sociétés et permet aux malfaisants d’agir en toute impunité. De grands combats sont à mener pour sauver notre ville et notre jeunesse des calamités qui s’annoncent. Parmi ces actions, certaines sont vitales : le sauvetage des terrains agricoles de la plaine du Var qui va être  bétonnée par les faiseurs d’argent ; la préservation de nos ressources en eau ; l’instauration d’une véritable justice sociale ; la suppression du gaspillage éhonté des deniers publics ; la sécurité ; la régulation de l’immigration qui finira par faire de nous des étrangers dans notre propre ville ; se pencher très sérieusement sur les problèmes de pollution, qui autrefois étaient considérés à tort comme accessoires et deviennent aujourd’hui un enjeu majeur incontournable. Sans oublier le plus important sans doute, la préservation de notre identité particulière qui seule ferra barrage aux atteintes d’un mondialisme vampirique dont le but est de niveler les sociétés par le bas pour mieux régner économiquement et politiquement.  Nice dispose de tous les atouts pour résister aux forces néfastes qui détruisent nos paysages, dilapident nos ressources, conduisent nos enfants à s’expatrier, ruinent les citoyens, et nient notre identité historique.  Notre identité niçoise est le seul rempart contre la catastrophe, le seul facteur d’union contre les malfaisants, le seul moteur d’une résistance active au déclin.

 

La première étape de cette résistance est la reconquête du pouvoir municipal par la société civile niçoise. Il est capital de chasser les responsables de la situation actuelle, qui ne sont pas au service de Nice, mais à celui des partis parisiens dont ils sont le relais en province. Mais Nice n’est pas une simple province, elle fut indépendante en 1108 et certains acteurs de la politique niçoise devraient s’en souvenir car la négation de l’Histoire, la négation de l’identité d’un peuple et la destruction de sa culture sont des crimes qui ne demeurent jamais impunis.

 

Les hommes politiques pour la plupart, carriéristes, ne servent pas l’intérêt général, mais les formations politiques nationales dont l’appareil assure leur réélection ad vitam æternam. Cumulards, incapables et amoraux ils créent des structures creuses, vivent dans le paraître et ne sont capables que d’effets d’annonces ; brillantinés, gominés, poudrés, pomponnés et coachés, ils  donnent le change au public avec l’appui des médias qu’ils gratifient de fonds publics très importants, par le biais d’inutiles et incessantes publicités. L’écho de leurs gesticulations insanes se perd dans un vide sidéral, pendant que la société se délite chaque jour davantage. Ce déplorable état de choses ne peut plus durer, car nous touchons le fond.

 

Le Parti Niçois/Partit Nissart a été fondé afin de préserver Nice de la dissolution inéluctable qui à court terme guette la société française déjà gravement ébranlée. Une seule option est possible : les citoyens niçois  doivent gérer directement la Ville et associer leurs capacités petites ou grandes. Une volonté commune de  bien faire sera sans nul doute, beaucoup plus salvatrice que les promesses éculées des partis parisiens qui nous ont menés d’abord à la médiocrité et à la jalousie sociale, ensuite à la faillite et aujourd’hui à la déchéance.  Dès la rentrée, M. Alain Roullier-Laurens, président du Parti Niçois/Partit Nissart, publiera un ouvrage d’analyse de société, dans lequel il développera également le programme et les objectifs du parti pour les trois années à venir. Pour l’instant, regroupons nous en vue des combats futurs et faisons face comme nos ancêtres l’ont toujours fait devant le danger. Issa Nissa ! » fin de communiqué  

5 mars 2011

Les affiches des candidats du Parti Niçois

affiche_3e_canton  affiche_5e_canton affiche_7e_canton

19 février 2011

Désignation des candidats aux éléctions cantonales

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 « Le Parti Niçois – Partit Nissart informe les Niçoises et les Niçois qu’il présentera des candidats aux prochaines élections cantonales. Le Bureau politique a déjà désigné comme candidats dans les 3e, 5e, et 7ecanton de Nice  :

 

candidats

Le Bureau politique est en consultation afin de décider s’il présentera des candidats dans d’autres cantons. Nous demandons à tous nos adhérents et sympathisants, de porter leurs suffrages en masse sur nos candidats désignés.

Comme nous l’avions annoncé, le Parti Niçois/Partit Nissart, ne présentera pas de candidat dans le 14e canton de Nice afin de ne pas gêner le front anti-Estrosi. Nous demandons à tous nos adhérents et sympathisants votant dans le 14e canton, de ne pas porter leurs suffrages  sur la candidate UMP, Mme Estrosi-Sassone, ni sur le candidat de l’Entente républicaine, M.  Peyrat.

Nous leur demandons également, dans les cantons où nous ne serions pas présents, de ne pas porter leurs suffrages :

  • sur les candidats UMP, alliés ou apparentés

  • sur les candidats de l’Entente républicaine

  • sur les candidats du Bloc identitaire français, parti d’extrême droite national se présentant à Nice, sous le vocable niçois de Nissa rebela. »

Le Président du Parti Niçois/partit Nissart :

Alain Roullier-Laurens

 

9 février 2011

Réaction de M. Alain Roullier-Laurens, Président du Parti Niçois au sujet de l’alliance de M. Peyrat avec le Front National

« En dix jours à peine, l’ex-maire de Nice, a commis deux erreurs politiques majeures : l’alliance avec un groupuscule qui se pare du vocable niçois de « Nissa rebela » , mais qui est en réalité  l’émanation directe du Bloc identitaire, parti d’extrême droite français connu pour ses provocations indignes, comme la distribution de soupe au cochon,  puis le rapprochement avec le Front national qu’il avait quitté en 1994 pour pouvoir prétendre à la mairie de Nice.  Allié ponctuel et sous conditions, de Jacques Peyrat, sur la liste duquel je figurais en 11e position en 2008, je me dois de réagir. Les 33000 électeurs qui nous avaient accordé leurs suffrages, n’ont pas voté pour l’extrême droite, et aujourd’hui se voient floués. J’avais mis en garde Jacques Peyrat au sujet de son entourage ; devant cette dérive plus que malsaine, je suis contraint de me désolidariser de lui. Ni l’ambition politique, ni la vengeance ne peuvent  justifier un renoncement aux valeurs humanistes et républicaines ».

Alain Roullier-Laurens

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2 janvier 2011

Communiqué du 2 janvier 2011

Parti_nicois_2_1Le bureau politique du Parti Niçois/Partit Nissart, a décidé de présenter des candidats lors des prochaines élections cantonales. Certains d’entre eux ont déjà été désignés. Ils appartiennent à la société civile et ont été choisis en fonction de leur implication pour Nice et leurs quartiers. Ils sont tout à fait étrangers au système politique parisien qui a tant nuit à notre ville. Leur programme sera de porter haut les couleurs de Nice, d’améliorer la vie quotidienne des Niçois, de veiller au bon emploi des deniers publics, de promouvoir notre culture et notre identité niçoise, totalement mises sous le boisseau par l’actuelle municipalité. Dans le cas spécial du XIVème canton , le bureau politique n’a pas cru bon de présenter de candidat, afin de pas gêner par une inopportune dispersion des voix, ceux qui s’opposeront à Mme Estrosi-Sassone et à son parti. Il est grand temps que les niçoises et les niçois se constituent en force politique indépendante et purement niçoise pour faire entendre leur voix et reprendre le pouvoir chez eux. Le Parti Niçois : Partit/Nissart, s’y emploiera

10 mai 2010

T-shirt du 150e anniversaire de l'annexion de Nice

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T-shirt du 150e anniversaire de l'annexion de Nice.

Aigle en relief brisant les chaînes de la servitude.

Prix 13 €

Existe en plusieurs tailles

Vous pouvez vous le procurer au Parti Niçois,

1 rue Caïs de Pierlas, porte verte, 06300 Nissa

Tél. 06 12 86 25 05

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