La région "PACA" devient "Sud", rien ne change pour les Niçois !
La « marque » Région Sud est officiellement lancée et remplacera progressivement le terme « PACA ».
Que cette région s’appelle « Provence Alpes Côte-d’Azur » ou « Sud » ou encore « Provence », rien ne change pour le Pays Niçois qui reste toujours enchaîné à Marseille.
Que ce soit « PACA » ou « Sud », nous sommes toujours privés de Cours d’Appel supprimé depuis 1860. Que ce soit « PACA » ou « Sud » nous perdons cette année notre centre de tri postal déménageant à Toulon. Nos institutions et infrastructures nous sont confisquées au profit de cette région qu’elle s’appelle « PACA » ou « Sud ».
Quel que soit son nom, cette région reste une entité artificielle qui par sa seule existence gomme progressivement le Pays Niçois et son identité…
« PACA » ou « Sud » ou « Provence », cela ne change rien au sentiment partagé par un grand nombre de Niçois ne se reconnaissant pas dans cette région. Cela ne change pas non plus notre volonté de nous soustraire de la tutelle de Marseille et de militer pour l’émergence d’une véritable collectivité territoriale propre au Pays Niçois, détachée de la Provence, prenant en compte le fait culturel, historique et dans le propre intérêt des Niçois.
Législatives 2017 : consigne de vote du Parti Niçois
Pour ces élections législatives, le Parti Niçois appel à voter blanc.
En effet, pour les partis parisiens ratant la marche de l'Elysée ou même celle du second tour, les législatives françaises ne sont rien de plus qu’une « revanche » à prendre. Que ce soit les députés sortants ou les candidats rêvant de prendre leurs places, les programmes et discours sont exactement les mêmes puisque toutes ces personnes sortent du même moule jacobin. Les préoccupations locales ne passant qu’au second plan
Quant aux « petits candidats » beaucoup sont issues malheureusement de ce même moule, quand nous n’avons pas droit carrément à des candidatures « loufoques » relevant moins des convictions à défendre que de l’ego à flatter en voyant son visage et son nom placarder un peu partout.
Nous mettons en garde les Niçoises et les Niçois face à la tentation des populismes; notamment du FN qui en Pays Niçois est médiatiquement représenté par des personnages peu recommandables : certains en quête d’un fauteuil d’élu trahirent leurs électeurs et leurs colistiers, d’autres instrumentalisant notre identité en détournant et pervertissant nos symboles et nos héros, pour finalement tomber le masque de la « nissartude » et révéler le visage de l’ultranationalisme franchouillard, pierre angulaire du FN, fondamentalement hostile à toute forme de régionalisme, y compris la plus basique comme la défense des langues et cultures régionales vues comme du « communautarisme » !
Le Parti Niçois apporte son soutien aux candidatures régionalistes, autonomistes, indépendantistes qui en Alsace, Bretagne, Corse, Savoie, Catalogne du Nord, Pays Basque, Outre-Mer et ailleurs veulent faire valoir leurs droits légitimes et veulent porter une autre voix que celle du centralisme parisien !
Pourquoi la France n’est ni “une” ni “indivisible”!
Nous vous partageons cette excelettente analyse de Roccu Garoby (Président de l’Alliance Libre Européenne Jeune) suite à la victoire des nationalistes corses aux régionales de 2015 et la réaction des jacobins depuis, tirant à boulet rouge sur la Corse.
« Depuis la victoire des nationalistes en décembre dernier, il n’y a pas un jour qui se passe sans qu’un journaliste, un chroniqueur, un élu, voire un premier ministre nous rappellent en boucle le dogme prophétique des jacobins: la “République est une et indivisible”. Sauf que c’est faux, preuves historique et juridique à l’appui!
“Une”? Vraiment?
Il suffit de prendre l’exemple du Concordat d’Alsace-Moselle, du Statut spécifique du Fenua (Polynésie Française), de celui de la Kanakie (nouvelle Calédonie), des écoles bilingues Diwan (breton-français), des ikastolas (basques-français) ou des calandreta (occitan-français), du Statut de la Collectivité Territoriale de Corse (bien qu’en “métropole”) pour prouver que la France n’est pas “Une” mais multiple et diverse! Et d’ailleurs, on est en droit de se poser la question : « Comment un jacobin, comme Christophe Barbier, peut-il accepter, au nom de “l’unicité de la République”, de financer, par ses impôts, le salaire d’un prêtre, malgré la loi sur la laïcité de 1905?
Comment un jacobin, comme Jean Luc Mélenchon, peut-il accepter, au nom de “l’unicité de la République”, de subventionner, par ses impôts, le financement d’écoles qui enseignent dans une autre langue que celle expressément nommée dans l’article 2 de la Constitution française? Comment un jacobin, comme Florian Philippot, peut-il accepter, au nom de “l’unicité de la République”, que le reo ma’ohi (ensemble des langues parlées au Fenua) soit mis au même niveau juridique que le français (co-officialité)?
Comment un jacobin comme Jean Pierre Chevènement peut-il accepter, au nom de “l’unicité de la République”, que le droit coutumier kanak (droit civil dérogatoire pour la Kanakie) s’applique, dérogeant au droit français? Si tous ces particularismes existent, c’est bel et bien parce que la France n’est pas “Une” mais multiple et diverse.
“Indivisible”? Vraiment?
Comment peut-on parler d’indivisibilité quand l’Histoire de la France est marquée par l’annexion (de gré ou de force) ou la perte de territoires? Si on considère que la France existe depuis le XIIIème siècle (naissance de l’expression “Roi de France”), sur les 800 dernières années, difficile de voir une quelconque immuabilité des frontières françaises. Au mieux, on peut définir un territoire central (un immense Bassin parisien) qui est de façon quasi permanente sous contrôle de la France, mais sinon les autres territoires ont eu une autre Histoire, tantôt française, tantôt non française. Selon le point de vue d’où on se place, la Corse, la Savoie, le pays niçois, l’Alsace ou d’autres territoires ne partagent ou ne subissent l’Histoire de la France que depuis peu de temps, et encore cela fut, le plus souvent, du fait de conquêtes sanglantes, dirigées contre des peuples vivant pacifiquement sur ces territoires.
Se pose là aussi la question ! Que dit Christophe Barbier du processus d’indépendance en Kanakie? Accepter que puisse se tenir un référendum sur l’indépendance de la Kanakie, c’est accepter potentiellement que l’indépendance d’un territoire de la “République une et indivisible” soit possible! Il faut donc envoyer l’armée pour, non pas truquer le référendum, ça la France le fait déjà, mais pour interdire la démocratie, comme il souhaite le faire en Corse!
Enfin, que disent les jacobins à propos de l’Algérie? Après tout, pendant la période coloniale l’Algérie était “départementalisée” et il y avait 3 départements français. J’imagine que Jean Luc Mélenchon et Florian Philippot demandent, à l’unisson, que les numéros de département 91, 92 et 93 soient repris à l’Essonne, les Hauts de Seine et la Seine Saint Denis pour être rendus aux départements d’Alger, d’Oran et de Constantine! “L’Algérie française”! N’était-ce pas le cri de rassemblement des défenseurs de “l’unicité et de l’indivisibilité” de la République il y a 50 ans? La France n’a-t-elle pas commis, en Algérie et au nom du sacro-saint dogme jacobin “la République est UNE et IN-DI-VI-SI-BLE”, d’ignobles exactions pour lesquelles elle ne s’est toujours pas excusée, ce qui devrait la rendre un peu plus humble aux yeux de l’Histoire et des valeurs qu’elle prétend défendre dans le monde.
Mais revenons-en aux faits : l’indépendance des “départements” algériens et le processus d’indépendance en Kanakie sont la preuve que la France est divisible pour la simple et bonne raison que les valeurs démocratiques et les droits de l’Homme sont supérieurs à la “République” et non l’inverse comme le profère l’Ayatollah du jacobinisme français, Christophe Barbier! Les jacobins sont à la France ce que les intégristes sont à la religion, des dogmatiques avec qui le dialogue est impossible car ils pensent détenir la “Vérité”, sous entendu supérieure à tout choix démocratique. En cela, le jacobinisme est le cancer de la démocratie!
L’histoire et la géographie sont têtues, n’en déplaisent aux Mélenchon, Philippot, Chevènement ou autre Barbier, ou encore au Conseil constitutionnel, il n’existe pas “un” peuple en France mais bel et bien des nations et des peuples qui vivent en France. Soit la France les reconnaît et les défend soit, légitimement, ces peuples et nations, niés par le centralisme français, prendront, à terme, définitivement et démocratiquement le large.
A bon jacobin, salut! »
Consigne de vote du Parti Niçois pour le second tour des élections régionales
Le Parti Niçois appelle, comme au premier tour, à voter blanc ou à glisser dans l’urne les bulletins éditables à l’initiative de la page Facebook « Sortons de la PACA pour une région Pays Niçois ».
En effet, voter pour l’un ou l’autre revient juste à choisir la couleur de nos chaînes et de nôtre boulet Marseillais qui entrave le Pays Niçois. Que ce soit l’un ou l’autre (ou encore un autre), le problème ne change en rien : cela reste des jacobins voulant maintenir le Pays de Nice enchaîné à la Provence !
Nous félicitons les régionalistes bretons (4e force politique de Bretagne) et alsaciens (3e dans le Haut-Rhin et 4e dans le Bas-Rhin) pour leurs performances. Nous félicitons également et plus particulièrement les nationalistes Corses et Martiniquais qualifiés pour le second tour en leur souhaitant bonne chance pour dimanche prochain !
Régionales 2015 : Consigne de vote du Parti Niçois.
Les élections régionales des 6 et 13 décembre se dérouleront dans un contexte particulier, après les effroyables attentats survenus à Paris le vendredi 13 novembre. Les partis jacobins n’ont pas attendu longtemps pour récupérer ce drame en surfant sur l’émotion collective, transformant l’élection régionale en enjeu national.
Certains représentants des partis dans leurs meetings régionaux ont totalement abandonné les problématiques locales pour ne parler que de« sécurité » de « lutte anti-terroriste » et « d’immigration ». Même s’ils étaient élus grâce à l’atmosphère anxiogène post-attentat, ils n’y pourraient rien, car les régions, faute d’une réelle et véritable autonomie (que les partis jacobins refusent obstinément) n’ont aucune compétence en matière sécuritaire, judiciaire et encore moins sur l’immigration. Il faut donc recentrer le débat sur les enjeux strictement locaux de ces élections et ne pas laisser son jugement altérés et ses choix faussés par le caractère extraordinaire de la situation.
Le Parti Niçois/Partit Nissart, comme nombre de Niçoises et de Niçois, ne se reconnait pas dans la région artificielle « Provence Alpes Côte d’Azur » qui n’arrivera jamais à concilier Niçois et Provençaux diamétralement opposés d’un point de vue historique, culturel, économique et politique. La réalité de cette région, absolument pas conçue pour abriter deux villes d’importantes majeures en perpétuelle rivalité (et au détriment des Niçois) doit faire prendre conscience à ses habitants que seule une souveraineté régionale permettra au Pays Niçois de se développer harmonieusement. Cette solution d’une séparation de la Provence et du Pays Niçois, n’a finalement rien d’insurmontable ni de saugrenue lorsqu’on compare le bouleversement généré par une réforme régionale contestée et contestable.
Pour toutes ces raisons le Parti Niçois ne présentera pas de liste en PACA ; nous ne cautionnerons jamais ces élections illégitimes et tutélaires.
Aucune des listes candidates ne privilégie la défense des intérêts des Niçois, encore moins celles ultra-jacobines ou anti-régionalistes en nous comparant à des « communautaristes ».
Nous appelons à voter blanc, ou à faire passer un message plus clair en direction de Marseille en imprimant et mettant dans l’urne les bulletins éditables à l’initiative de la page face book « Sortons de la PACA pour une région niçoise ». Faites votre devoir de citoyen en allant voter mais si vous ne vous reconnaissez ni dans cette région ni dans les listes présentes, faites votre devoir de Niçois en dénonçant le diktat Marseillais.
Le Parti Niçois souhaite également bonne chance aux listes des candidats régionalistes/autonomistes/indépendantistes Alsaciens, Bretons, Corses et d'Outre-Mer.
NON A LA REGION PACA ! OUI A LA REGION PAYS NICOIS !
Premier tour de l'élection partielle du canton de Levens
Communiqué du Parti Niçois / Partit Nissart - 10 septembre 2012
« Le Parti Niçois/Partit Nissart, qui présentait pour la première fois un candidat dans un canton de l'arrière-pays est satisfait du résultat obtenu au premier tour ; Son jeune candidat M. Julien Llinares, issu de la société civile a obtenu 2,13%. C’est un score encourageant pour ce nouveau venu sur la scène politique, lorsque l'on connaît le manque d'intérêt flagrant des médias pour ce scrutin et l’énorme taux d’abstention, signe du dégoût croissant qu’éprouvent les citoyens pour la politique.
Par rapport au précédent scrutin annulé, le candidat sortant se maintient au milieu de l’effondrement complet des autres partis parisiens : - 43% de votants pour la candidate de gauche, - 62% de votants pour le candidat du front national et - 67% de votants pour le candidat de la succursale niçoise du Bloc identitaire français d'extrême-droite... Le Parti Niçois/Partit Nissart s'inscrit désormais dans le paysage politique du Pays de Nice...
« Le Parti Niçois/Partit Nissart remercie celles et ceux qui ont porté leurs suffrages sur le nom de son candidat. Et ne donne aucune consigne de vote pour le second tour. »
Interview de Julien Llinares, candidat du Parti Niçois / Partit Nissart
Interview de Julien Llinares réalisé par le site www.paisnissart.com à l'occasion de l'élection partielle dans le canton de Levens
Julien Llinares, vous êtes le candidat du Parti Niçois, comment définirez-vous votre parti ?
Tout d’abord ce n’est pas un parti comme les autres ; pas un parti comme on l’entend en France. C’est tout simplement et avant tout un rassemblement apolitique de Niçoises et de Niçois, qui ne veulent pas tomber dans le piège que sont les idéologies classiques qui déchirent les français depuis la fin du XIXéme siècle. C’est aussi le successeur du Parti Niçois qui en 1871 fit élire à la députation, à une écrasante majorité, Garibaldi, Piccon et Bergondi, candidats séparatistes déclarés. Nous nous sentons d’abord Niçois, et nous voulons lutter pour soutenir les intérêts du Païs Nissart qui sont bafoués depuis si longtemps. Nous sommes dépossédés de nos richesses depuis 1860 et sous la tutelle de Marseille ; il faut que cela cesse. La politique française divise les Niçois et les empêche de s’intéresser à l’essentiel pour un vrai Niçois : le destin du Pays Niçois, et l’avenir des jeunes Niçois.
Comment en êtes vous venu à être le candidat du Parti Niçois ?
J’y suis venu simplement, étant membre du Parti Niçois depuis sa fondation le 24 mars 2010 dès le retour de la délégation de la L.R.L.N. de Genève. Le Parti Niçois n’est pas adepte des « parachutages » politiques ; il préfère présenter un candidat ayant des attaches dans le canton où le parti se présente ; j’ai donc était choisi pour en être le candidat…
Et quelles sont vos attaches avec le canton de Levens ?
Ma grand-mère maternelle, est née dans le canton à Plan-du-Var. Bien avant ma naissance, mes parents se sont s’installés à Tourrette-Levens où j’ai grandi. Mon père était chauffeur de car aux « transports Brema », ma mère était membre active de l’association « Nous pour Tourrette », association apolitique, qui avait le grand mérite en son temps de permettre un pluralisme dans la vie politique de la commune ; pluralisme qui fait énormément défaut aujourd’hui. Mon arrière-grand-père maternel, Pierre Cadopi, fonda la compagnie de car du même nom ; contribuant grandement à désenclaver les Haut et Moyen Pays. Sa compagnie rebaptisée aujourd’hui « Autocars Baie des Anges » est toujours dirigée par ma famille.
Quel sont les enjeux pour le canton selon vous ?
Ils sont nombreux, d’abord ceux qui sont en communs aux autres cantons, comme l’insertion des jeunes, l’aide aux personnes âgées, la sécurité, la création de structures sociales et sportives, le désenclavement, la baisse des impôts locaux et le clientélisme qui se résume à : « tout pour une minorité et rien pour les autres ».
Je souhaite également généraliser l’enseignement du Nissart comme du Gavot dans les collèges, mais aussi permettre aux élèves d’apprendre leur histoire, la véritable histoire du Pays de Nice trop longtemps falsifiée depuis l’annexion. Je défendrai aussi l’idée de consultations locales et l’idée que la population doit pouvoir refuser tout projet que les hommes politiques leurs imposent. Il y a aussi la plaine du Var, dont l’avenir est un enjeu majeur non seulement pour le canton, mais également pour toutes les communes et cantons bordant ses rives.
Pourquoi la plaine du Var en particulier ?
Le projet « éco-vallée » qui n’a d’écologique que le nom, cache en réalité une opération de bétonnage monstrueuse sans précédent chez nous, qui se traduirait par la perte de nos derniers terrains agricoles et l’épuisement de nos réserves naturelles d’eau, qui seront capitales pour l’avenir. De ces réserves, coulera de nos robinets l’eau de demain ! Et en dehors de l’agriculture et de l’eau potable se pose le problème des crues du Var, qui s’accentueront et causeront des dégâts matériels ; elles coûteront en vie humaine si l’on bétonne et l’on entasse plus de populations que de raison sur ses rives. L’éco-Vallée conçue comme elle l’est, sera un immense citée dortoir qui étouffera et polluera terriblement les cantons voisins et aussi la ville de Nice. Cela les initiateurs d’éco-vallée semblent superbement l’ignorer, ou plutôt nier la réalité : Celle d’un fleuve impétueux, indomptable à l’image du peuple vivant sur ses rives. Et ce ne sont pas les préfets successifs, se prenant pour Moïse qui pourront commander aux eaux du Var en signant de la paperasse administrative !
Les initiateurs de ce projet servent les intérêts de grosses entreprises non niçoises, et bafouent inconsciemment (ou non) le principe de précaution, à savoir conserver des ressources naturelles auprès d’une grande ville. Voulu par l’ancien et l’actuel maire de Nice, s’il devait malheureusement être réalisé, il ne bénéficiera qu’à de grosses sociétés de BTP qui s’enrichiront énormément, à d’autres qui inévitablement en profiteront, pire encore, il créera artificiellement une surpopulation et une pollution très dangereuses. Nice, et le canton de Levens sont déjà passablement asphyxiés par des apports massifs de population, que nos édiles ont été coupables de ne pas avoir contrôlé et limité par tout moyens, quand on pouvait le faire. Après avoir laissé bétonner et étouffer le littoral les politiciens veulent maintenant faire la même chose avec l’arrière-pays !!! Ce projet éminemment anti-écologique, anti-démocratique (car on veut l’imposer aux populations) ferait de la vie à Nice et dans l’arrière-pays, dont le canton de Levens, un véritable Enfer. Il pénaliserait aussi très gravement les générations futures. Il serait également très nuisible au tourisme, principale ressource de notre Pays Niçois, car les vacanciers ne viennent pas chez nous pour voir du béton partout.
La plupart des politiciens aujourd’hui ne jurent que par « les grandes métropoles », la concentration à outrance, et l’entassement des populations dans ce qui ne seraient que de grandes termitières où des humains dépersonnalisés, sans racines et obéissants, n’auraient qu’un rôle de producteurs et de consommateurs. Les habitants de toutes les communes et de tous les cantons doivent s’opposer très fermement à ce que l’on construise une telle monstruosité chez nous ; il faut défendre la plaine du Var, la tirer des griffes de tous les faiseurs d’argent, car ils partiront ensuite avec leurs énormes bénéfices et nous laisseront le béton et les conséquences catastrophiques que l’on imagine aisément.
Et personne d’autre ne semble opposé à ce projet ?
Sur le fond, droite comme gauche sont d’accord, ils ergotent seulement sur la forme car chacun veut tirer la couverture à soi, la région, le département, la métropole et la ville de Nice….Mais fondamentalement ils sont d’accord pour le béton !
Que pensez-vous de vos adversaires ?
Mes adversaires sans exception sont tous, je dis bien tous, des représentants de partis français, ils sont des serviteurs du centralisme jacobin, rien de plus. Je parlerai non pas des personnes mais des partis qu’ils représentent et servent, et je ne qualifierai pas les partis français d’adversaires, mais d’ennemis ! Droite comme gauche (et leurs extrêmes respectifs) sont nuisibles pour le Pays de Nice et ses intérêts. Aucun d’entre eux ne peut être bénéfique pour notre Pays, car ils sont les frères jumeaux issus du monstre jacobin qui nie notre identité et tente depuis 1860 de la détruire, qui nie nos droits, et nous à placé sous la tutelle de Marseille…aucun d’entre eux ne peut donc être bénéfique pour nous, d’autant que ces partis sont responsables de la faillite économique, morale, sociale, sécuritaire, éducative de la France, pays qui nous à annexé. IIs sont donc d’emblée disqualifiés pour prétendre défendre nos intérêts ; ils nous enchaînent de fait dans la galère française qui est train de couler !
Les Niçois doivent se désintoxiquer de ces idéologies périmées ; ils ne doivent plus appréhender la politique en terme de « droite ou gauche » car elle est totalement confiscatoire dans les deux cas. Ils doivent l’appréhender à travers le prisme niçois et ranger les forces en présence en deux catégories : soit les niçois libres qui défendent les intérêts du Pays de Nice, soit les serviteurs des idéologies françaises, périmées qui nuisent au Pays de Nice.
Tant que notre peuple n’envisagera pas l’avenir a travers ce prisme niçois, tant qu’il ne rejettera pas ces partis et le système qu’ils servent, rien ne changera et tout ira de mal en pis pour le Pays de Nice.
Mais voir la politique à travers le prisme niçois et rejeter en bloc les partis parisiens ne servirait a rien s’il n’existait pas une alternative. Le Parti Niçois présente des candidats aux élections pour donner l’opportunité aux habitants du Pays de Nice de sortir du cycle infernal imposé par les partis français, et donner la seule alternative possible à ses habitants afin d’éviter le désastre à venir. Il convient de reprendre le pouvoir chez nous, y installer la société civile, et de récupérer nos droits anciens qui nous permettrons de gérer nos affaires comme nous l’entendons. C’est la seule solution, et il n’y a que le Parti Niçois pour soutenir cette politique.
Donc a terme, Nice doit aller vers plus d’autonomie vis-à-vis de Paris et Marseille ?
C’est une nécessité, une question de survie je dirais même. La classe politique française à détruit la France, elle est en train de faire de même dans le Pays de Nice. L’incompétence et l’immoralité de la classe politique française ont conduit à la faillite du pays dans tous les domaines sans exceptions : pour donner une image, ce pays est comme le Titanic, il coule lentement mais sûrement, toutes les cloisons étanches cèdent les unes après les autres, il y a plus à rien a faire, sinon trouver très rapidement un canot de sauvetage. Et le Pays de Nice dispose d’un canot de sauvetage : nos droits juridiques anciens violés en 1860. Nos droits ont été confisqués jadis par la France qui s’imposa chez nous par une invasion militaire et un plébiscite truqué. S’ils étaient rétablis sous la pression populaire, nous pourrions avoir toutes les cartes en mains sans passer par Paris et en nous débarrassant de Marseille. Nous avons l’exemple de toutes les provinces de nos voisins européens qui bénéficient d’une large (voire très large) autonomie. Elles sont maîtresses de leur sécurité, de leur justice, de leur économie etc. Certaines disposent même de parlements locaux ; ils votent des lois répondant aux besoins spécifiques des régions, votent le montant des impôts concédés à l’Etat ect. C’est cela, entre autre, que nous voulons préparer, car c’est cela que permettra la restauration de nos droits anciens.
Et il n’y a que le Parti Niçois qui peut permettre cela ?
Si vous voyez quelque d’autre faites moi signe ! Les partis parisiens, à la fois serviteurs et défenseurs acharnés du système jacobin ne peuvent évidemment pas défendre l’idée que le Pays de Nice puisse gérer lui-même ses affaires. Il y a que le Parti Niçois qui permettra cette évolution. Dans le contexte politique actuel seul notre Parti a la légitimité et la force de conviction nécessaire pour revendiquer le droit à l’autodétermination, car il a été fondé suite à la Déclaration de Genève le 24 mars 2012 initiée par la L.R.L.N. Le Parti Niçois est donc à la pointe du combat mené par la L.R.L.N depuis dix ans. Il est également l’héritier du parti séparatiste mené par Garibaldi. Le Parti Niçois à la possibilité de mener cette action et il est le seul à pouvoir le faire car ses membres, ses dirigeants et ses candidats se sont désintoxiqués de la politique française, de toutes idéologies ; désintoxiqués aussi de toutes ambitions personnelles et de tout égocentrisme stupide. Je ne me présente pas pour moi, je ne cherche pas à obtenir une place, je travaille, je ne vis pas aux dépens des contribuables comme certains politiciens qui n’ont jamais rien fait de leur vie ; beaucoup ont fait de la politique un métier parce qu’ils ne savent rien faire d’autre et seraient au chômage sans la politique.
Je me présente pour défendre une idée qui est plus importante que moi-même. L’idée que les habitants du Pays de Nice en qualité de Peuple, puissent jouir de leur souveraineté, gérer leurs affaires comme ils l’entendent. C’est une idée qui existait bien avant moi, elle était déjà défendue par Garibaldi, Laurenti-Roubaudi, Jeanne Verani, les Barbets, Arson, Benoît Bunico et bien d'autres niçois. Une idée qui a survécu à toutes les tentatives jacobines pour la détruire, qui survivra encore et qui un jour où l’autre, quant les habitants du Pays Niçois le voudront, se concrétisera !
Election cantonale partielle - Canton de Levens 2012
Le Parti Niçois / Parti Nissart s'implante durablement dans le paysage politique Niçois !
Interview de Julien Llinares dans Les Nouvelles Niçoises
La L.R.L.N. soutien Julien Llinares candidat du Parti Niçois
Julien Llinares soutenu par "l'institue d'études garibaldiennes"
Le candidat du Bloc identitaire français prônerait-il des restrictions de démocratie ?
Election cantonale de Levens - Le Parti Niçois/Partit Nissart s’implante durablement dans le paysage politique Niçois !
Communiqué du Parti Niçois/Partit Nissart - 26 août 2012
« Le Parti Niçois/Partit Nissart, a la ferme intention de marquer désormais sa présence dans tout le Pays de Nice. Son but est d’offrir une alternance niçoise aux électeurs du Païs Nissart qui sont las du système politique français, de ses échecs, de son incapacité et de ses dérives. Lors des dernières élections cantonales à Nice, il avait déjà présenté trois candidats.
« Notre comité politique à jugé bon de présenter aujourd'hui un candidat aux élections des 9 et 16 septembre prochain dans le canton de Levens. Il a choisi M. Julien Llinares, originaire de ce canton et Madame Valérie Paulet comme suppléante. Nous demandons donc à tous nos adhérents et amis qui votent à Aspremont, Castagniers, Colomars, Duranus, Levens, La Roquette-sur-Var, Saint-Blaise, Saint-Martin-du-Var et Tourette-Levens, de porter leurs suffrages sur notre candidat qui a déja reçu le soutien officiel de la L.R.L.N, de l’Institut garibaldien de Nice et de l’association Boulegan Sian Nissart.
« Nice, le moyen-Pays et le haut-Pays, n’ont toujours fait qu’un et forment la diversité, la richesse et la complémentarité de la communauté niçoise. Le Parti Niçois/Partit Nissart, désire que toutes les composantes historiques de l’identité niçoise puissent s’exprimer politiquement hors du cadre des partis français ; Ceci devient indispensable, au moment où la preuve absolue de l’incapacité du système politique français est plus qu’établie.
« Etouffé par le centralisme parisien qui a toujours nié notre identité et folklorisé notre culture, placé sous la tutelle économique et administrative de Marseille depuis 1860, le Pays de Nice, a gravement été lésé, dans son développement et ses intérêts vitaux. Ses habitants doivent maintenant prendre leurs affaires en main, car l’avenir est sombre et de plus en plus incertain.
« Le particularisme niçois malgré les multiples et très graves atteintes qu’il a subi, à permis de conserver néanmoins une certaine cohérence à notre ancien Pays ; Notre identité propre, bien qu’elle ait été battue en brèche, demeure très vivace. Le système jacobin français s’est attaché à détruire la structure politique niçoise de jadis, empêchant par-là les habitants du Païs Nissart de peser réellement sur leur destin. Aujourd’hui nous sommes aux mains d’une oligarchie jacobine de roitelets locaux qui règne sans partage et privilégie les intérêts de Paris et de Marseille en sacrifiant les nôtres. Les grands partis parisiens, financés par les deniers publics, disposent d’énormes moyens ; ils assurent ainsi la réélection de leurs relais dans notre pays. Un clientélisme éhonté qui gangrène une partie des structures locales, achève de nous enfermer dans une nasse politique, dont il très difficile de se libérer.
« Or, il devient plus qu’évident aujourd’hui, compte tenu de la gigantesque faillite morale, financière, économique, sociale, sécuritaire, éducative, du pays qui nous a annexé, que nous ne pourrons assurer notre salut et celui du Pays de Nice, qu’en gérant nous-mêmes nos ressources et nos affaires. Nous ne pourrons le faire qu’en chassant la classe politique jacobine dévoyée qui sert des intérêts totalement contraires aux nôtres.
« C’est la raison pour laquelle le Parti Niçois/Partit Nissart a décidé de porter le combat sur le terrain politique qui seul ouvre la voie aux prises de décisions concrètes et à la maîtrise effective des recettes et des dépenses publiques. Son but est d’installer au pouvoir dans le Pays de Nice, une nouvelle classe politique issue de la société civile niçoise, qui ne devra rien aux appareils des partis parisiens, et défendra nos intérêts.
« Chacun peut constater que notre argent est dilapidé : politique des « ronds points » inutiles qui se sont multipliés, du goudron à tout va, pléthore de publicités inutiles et sans cesse renouvelées dans la presse locale, créations de postes inutiles, favoritisme dont bénéfice quelques-uns uns, hémorragie d’argent dans la « communication » afin de promouvoir des projets aussi coûteux que fantaisistes... Et en filigrane, réseaux d’intérêts divers dont les fils, en fin de course conduisent souvent à la politique...
« Pire encore, la gigantesque affaire financière qui conduira au bétonnage massif de la Plaine du Var, au mépris du principe de précaution ; Elle ne profitera qu’à des sociétés étrangères, et privera les Niçois d’un poumon vert indispensable. Pressions, intimidation et expropriations accompagnant ce saccage criminel programmé qui aura pour conséquence la surpopulation, la pollution, la disparition de l’agriculture locale et l’épuisement des réserves d’eau naturelles...
« Les protestations, les pétitions, le refus du vote, les changements de majorité, ne seront d’aucune utilité pour empêcher tout cela, tant que les Niçois ne modifieront pas radicalement leur vision politique en se désintoxiquant enfin de la politique française. Les habitants du Pays de Nice ne doivent plus appréhender la politique et les politiciens à travers le prisme confiscatoire français « droite-gauche » ; ce ne sont que des rameaux jumeaux du tronc jacobin, qui ont également concouru à la faillite de la France et se sont également disqualifiés. Les Niçois doivent appréhender la politique à travers le prisme niçois : les candidats et les élus doivent être classés en deux catégories : soit celle des Niçois libres, engagés pour défendre les intérêts des Niçois, soit celle des serviteurs des idéologies françaises qui nuisent au pays de Nice.
« Désormais, compte tenu de la situation catastrophique qui hypothèque gravement notre avenir, nous ne devons considérer la politique qu’en fonction des intérêts du Pays Niçois. Les grands partis parisiens et leurs succédanés trompent tour à tour les Niçois et les divisent pour s’assurer la main-mise sur leur affaire. Laissons les querelles idéologiques insanes aux jacobins français, préoccupons-nous avant tout du bien être des Niçois et de l’avenir de notre jeunesse.
« Tous les Niçois conscients des enjeux économiques à court terme pour le Pays de Nice, comprendront aisément que nul salut n’est à attendre du système en place qui non seulement nous a méprisés, pillé depuis un siècle et demi, mais aujoud’hui nous a conduit à la ruine. Notre Pays, car l’entité niçoise était un Pays indépendant en 1108 et le demeure moralement, nourrit trois provinces françaises ; les Niçois dépouillés et réduits à la portion congrue sont devenus des valets chez eux ; ils travaillent pour des intérêts étrangers qui exploitent leurs richesses, ils ne peuvent plus se loger sur leur terre ancestrale, et à tous égards ils sont l’un des derniers peuples colonisés.
« La France a toujours nié l’identité niçoise, car à une identité correspond une nationalité et à une nationalité est attachée des droits. Nous avons été jusque là, soigneusement cantonnés dans le folklore, alors que seul le combat politique peut nous rendre nos droits de Peuple, qui sont confirmés par les faits historiques et légalisés par de multiples traités.
« Qui dit Peuple, dit souveraineté ; c’est la raison pour laquelle la France et ses relais ont toujours sponsorisé chez nous des associations soi-disant niçoises qui ont cantonné notre identité au festin des cougourdons, aux farandoles et aux recettes culinaires ; la « pan-bagnatisation » de notre culture a un but très précis, celui de mettre sous le boisseau notre identité politique. C’est pourquoi les « pan-bagnatisateurs » qui se contentent d'apparences niçoises, et prétendent œuvrer pour Nice sont, consciemment ou non, les pires ennemis de Nice et du Pays Niçois et les serviles instruments de ceux qui nous bâillonnent et nous pillent.
« Nous, Niçois, avons une identité propre, colonne vertébrale d’un Pays très ancien, d’immenses possibilités économiques, géographiques, et climatiques, et ces richesses doivent être gérées par nous-mêmes, et non par d’autres. Elles doivent profiter d’abord aux habitants du Pays de Nice, non au aux affairistes de tous poils qui font de l’argent chez nous pour l’investir ailleurs ; elles ne doivent pas non plus être gaspillées par un état centralisateur et autoritaire, sans nous demander notre avis.
« Dans tous les grands pays d’Europe, les régions sont autonomes, certaines disposent même de parlements locaux et de ministres, d’autres votent le montant des impôts qu’elles concèdent à l’état. La France ne pourra toujours demeurer figée dans un système jacobin centralisé, scorie d’un autre âge. Le temps viendra où le Pays de Nice, réclamera son dû, et ou on ne pourra plus confisquer ce qui lui appartient. Le rôle du Parti Niçois/Partit Niçois est de former une nouvelle classe politique, jeune, non corrompue et active, qui le moment venu agira comme il convient pour l’intérêt du Pays de Nice. Sans structure politique niçoise solide et exclusivement niçoise, il ne peut y avoir de force de revendication assez puissante pour obtenir un résultat concret. Cette structure est à reconstruire, car la puissance annexante l’a détruite pour régner chez nous sans partage ; nous nous y attachons, et la jeunesse qui nous suit est un gage très prometteur pour le futur.
« Le Parti Niçois/Partit Niçois prépare l'avenir en promouvant en politique des jeunes gens de valeur, qui ne désirent qu’œuvrer pour préserver les intérêts du Pays de Nice ; Il leur appartiendra bientôt de remplacer les politiciens décadents qui nous dirigent actuellement. Il est donc capital que nos membres et amis soutiennent nos candidats aux divers postes électifs du Pays de Nice.
« Lors de ces élections le système politique français sclérosé et à bout de souffle est représenté par quatre candidats : le sortant UMP, une candidate de gauche, un candidat d’extrême-droite, et le représentant d’un parti que l’on peut situer à l’extrême de l’extrême-droite, ex-tendance Mégret, qui à Nice se dissimule derrière les jupons de Catherine Ségurane et quelques formules niçoises qu’un chinois pourrait apprendre par cœur dans un dictionnaire, mais qui partout ailleurs en France à pour éloquent symbole le sanglier gaulois. Le candidat que nous présentons est donc le seul qui soit résolument hors du système, le seul qui défendra les intérêts du Pays de Nice d’abord.
« Toutes celles et tous ceux, qui aiment le Pays de Nice, ceux qui ne cautionnent plus le système politique français et qui de guerre lasse ont fini par s’abstenir de voter, auront donc la possibilité de faire entendre leur voix lors de cette élection. Le vote du canton de Levens, aura donc une signification particulière. Nous demandons donc à tous ceux qui aspirent à un renouveau Nissart et à tous nos adhérents et amis de soutenir notre candidat.
« La reconquête du pouvoir politique par les Niçois chez eux est en marche ; cet accomplissement historique de vingt-cinq siècles d’Histoire, attendu depuis si longtemps par le peuple niçois, s’imposera bientôt de lui-même car ce sera une impérative et incontournable nécessité économique pour notre Pays et notre survie ; Et malgré les dernières flèches venimeuses décochées par un système centralisateur moribond voué à disparaître, nul ne pourra entraver le destin particulier de Nice... ».
Communiqué du Parti Niçois
« Le Parti Niçois est maintenant présent dans le paysage politique régional. Nous remercions les électrices et les électeurs qui nous ont accordé leurs suffrages. Le parti Niçois, comme il avait indiqué précédemment, ne donne aucune consigne de vote pour le second tour des cantonales, et s’en remet à la volonté et à la sagesse de ses électeurs. Il sera présent désormais dans le Pays de Nice, et en particulier lors des échéances électorales de 2012 et des municipales de 2014 ».