Communiqué de M. Roullier-Laurens, Président du Parti Niçois suite au sondage paru aujourd’hui dans Nice-Matin - 3 décembre 2013

Parti_nicois_2_1« Le sondage politique relatif aux municipales, paru dans le quotidien Nice-Matin, à défaut de convaincre, a provoqué un éclat de rire homérique dans les cercles bien informés de la Ville. Il rappelle étrangement celui qui était paru en 2008, donnant M. Estrosi, triomphant au premier tour. En démocratie, ce ne sont pas les sondages de circonstance qui décident de l’avenir politique, ce sont les urnes. Les Niçoises et les Niçois apprécieront cet effet d’annonce à sa juste valeur, et en tirerons les conséquences ; elles risquent d’être cruelles pour certains, car une fiction qui nie la réalité et les aspirations majoritaires d’un peuple, est une arme à double tranchant. »

Municipales à Nice : le Parti Niçois/Partit Nissart sera présent aux prochaines municipales.

Parti_nicois_2_1Nice, le 12 novembre 2013 - Communiqué du Président du Parti Niçois/Partit Nissart.

« Nice subit les très lourdes conséquences de la déliquescence économique, sociale et morale qui gangrène le pays ; les élites politiques nationales sont totalement déconsidérées, à juste titre. Dans cette situation d’une gravité exceptionnelle, et à l’occasion des prochaines élections municipales, la société civile niçoise doit impérativement se mobiliser pour accéder aux responsabilités et gérer elle-même les affaires de notre ville.

« Nous avons maintes fois dénoncé les errances mégalomaniaques, les effets d’annonce, et un gaspillage éhontés des deniers publics, sur fond de paillettes et de bulles de savon, qui ont caractérisé la mandature qui s’achève ; nous nous sommes souvent élevés contre les atteintes incessantes à l’identité niçoise, à notre culture et à nos valeurs ancestrales, vidées de leur substance et transformées en folklore pour touristes. L’omniprésence médiatique permanente et oppressante du maire sortant, loin d’être une promotion pour la Ville, n’a été qu’une posture au profit d’un seul ; elle ne masquera certainement pas une gestion qui hypothèque l’avenir ; elle ne fera pas oublier que nombre de manifestations et projets dispendieux et inutiles, au bénéfice illusoire, ont été préférés aux actions concrètes en faveur des niçois. Il convient désormais de tourner la page.

« Il est impératif aujourd’hui d’ériger en règle, l’économie des fonds publics, de promouvoir l’identité et les intérêts du Païs Nissart, de recentrer les dépenses, dans de justes proportions, et prioritairement en faveur de la jeunesse, des personnes âgées et handicapées, de l’économie locale, des écoles municipales, du sport, de la sécurité, de l’écologie véritable, et de l’accès à l’habitat, plombé par une spéculation immobilière qui chasse les Niçois hors de chez eux. De même, il convient de mettre en place une politique culturelle digne de ce nom, car celle, fantomatique, qui a été menée depuis six ans, attelée aux modes du moment, n’avait pour but que le paraître, non le savoir.

« Le Parti Niçois/Partit Nissart, sera présent aux prochaines élections municipales pour soutenir ce programme. Il offrira une véritable alternative aux Niçoises et aux Niçois, en présentant une liste d’union, composée de membres de la société civile ; nos concitoyens auront ainsi la possibilité de se défaire des carriéristes et cumulards incapables, de refuser l’extrémisme indigne, d’ignorer les parachutés prétentieux. L’énergie et les compétences de tous étant nécessaires pour redresser et donner un nouveau souffle à notre Ville qui, depuis six ans, végète sous un éteignoir, cette liste qui ne sera pas celle d’un seul, mais de tous, pourra s’ouvrir à ceux qui, sur le terrain, ont fait la preuve de leur efficacité, et qui privilégieront les intérêts de Nice à celui des partis. »

 

Alain Roullier-Laurens

Président du Parti Niçois/Partit Nissart

 

L’étrange volte face de M. Estrosi

Parti_nicois_2_1Communiqué du Parti Niçois/Partit Nissart – 28 juin 2013

« Bien que Christian Estrosi nous ait habitué à de nombreux virages stratégiques au cours de sa (trop) longue carrière politique, le dernier en date ne peut que laisser les Niçois dubitatifs sur sa vision de l’avenir de Nice.

« Après avoir imposé un mariage contre-nature entre Nice et Marseille et instauré une métropole empiétant sur l'arrondissement de Grasse « pour que le Var ne soit plus une frontière », Le journal italien Il Corierre della Sera du 26 juin 2013 nous annonce, que, suite à l'échec de la trop coûteuse ligne à grande vitesse Marseille-Nice, le maire de Nice envisagerait de se tourner vers l'Italie en proposant de « construire notre avenir ensemble, avec les régions Italiennes limitrophes ».

« Mais ce qui serait un sympathique clin d’œil à l’Histoire de Nice, laquelle a toujours été plus proche de la latinité que de la France se double (fatalement) d’une idée délirante : créer une « euro-région » artificielle comprenant les régions françaises Rhône-Alpes et PACA dans lesquelles seraient intégrées de force la Savoie et le Pays de Nice, non-sens historique et économique plus qu’étrange du fait que la volonté affichée par le maire de se tourner vers Gênes est justement due au manque d'infrastructures entre Marseille et Nice !

« Marianne raconte des histoires de trains aux niçois depuis l'annexion frauduleuse en 1860 comme on raconte des histoires de prince charmant aux enfants pour les endormir sauf que les locomotives ne sont pas des chevaux blancs, pas plus que les niçois sont des petits enfants naïfs... La France, si bien décrite par Victor Hugo dans les misérables, relia Nice à la France en 1864 grâce à... cinq petits kilomètres de voie ferrée ! Et dans le seul but de développer son réseau ferroviaire jusqu’à l’Italie pour accroître ses profits. Ce "magnifique ouvrage" nous est encore présenté par les sbires jacobins comme l'entrée de Nice dans le monde civilisé !

« Construire notre avenir avec la Ligurie / Piemont ne pourra se faire qu’en dehors de la PACA dominée par Marseille (la cause du revirement estrosien, répétons-le, étant justement le manque d'infrastructure entre les deux villes). Quant à Paris, les Niçois connaissent depuis trop longtemps sa stratégie vis-à -vis des Niçois. Nous sommes passés « du bouclier aux frontières » à « la pompe à fric » !

« Si l'avenir de Nice doit s'écrire en s'associant avec le Piemont et la Ligurie, comme s'était le cas avant l'annexion, cela ne pourra se faire que librement, sans la tutelle marseillaise qui désormais se trouverait définitivement hors-jeu !

« Sortir le Pays Niçois de la PACA et de la tutelle de Marseille, comme c'est la volonté du Parti Niçois-Partit Nissart, devient indispensable pour nous tourner vers le Piémont et la Ligurie... La prospérité économique et les liens culturels du Pays de Nice ont toujours été tournés vers le Piémont, et non vers la Provence ou la France, et pour cause ! La longue histoire de Nice le démontre de façon éclatante !

« M. Estrosi a opéré un virage à 180 degrés depuis qu’il a perdu ses appuis parisiens ; il fait maintenant des risettes aux vrais Niçois, parce que les élections municipales sont proches et qu’il est largement décrédibilisé par sa politique de bulles de savon et d’effets d’annonces, aussi creux que lassants. Mais ces ficelles opportunistes ne feront certainement pas oublier aux vrais Niçois comment il les a traités jusqu’au départ de M. Sarkosy. Le Parti Niçois/Partit Niçois, lui rafraîchira la mémoire le moment venu, lors des prochaines élections municipales, en publiant et diffusant très largement la liste des gracieusetés dont il nous a abreuvé de son perchoir parisien.

« Les affaires de Nice sont comme chacun sait, et en particulier l’endettement, qui, même s’il est transféré à la métropole se traduit et se traduira plus encore par une importante pression fiscale. Les choses ne peuvent plus continuer ainsi et la majorité de Niçois en sont bien conscients. Le Parti Niçois/Partit Nissart, ne peut demeurer muet quand Nice est en danger, et il fera très bientôt connaître ses intentions, en ce qui concerne les prochaines municipales, pour lesquelles il a déjà engagé des consultations avec divers agents importants de la société civile niçoise. En tout état de cause, nous savons tous qu’il convient de changer de cap et qu’il faudra se mobiliser plus que jamais pour créer les conditions du renouveau… »

Magnifique cadeau du jour de l'an pour les Niçois et les Savoisiens ; le traité de Turin est abrogé !

Parti_nicois_2_1Communiqué du 8 janvier 2013

Message d’Alain Roullier-Laurens et de Jean de Pingon aux Niçois et aux Savoisiens

La bonne nouvelle : confirmation !

Le 25 décembre dernier Jean de Pingon annonçait que le Secrétariat de l’ONU avait refusé d’enregistrer le traité d’annexion de la Savoie, le Gouvernement français en apporte confirmation dans une réponse publiée aujourd’hui au Journal Officiel.

À Genève, le 24 mars 2010, Alain Roullier-Laurens et Jean de Pingon rendaient public un document de l’ONU qui prouvait que le traité d’annexion de Nice et de la Savoie n’avait pas été enregistré auprès de cet organisme. Quelques mois plus tard, le Gouvernement français annonçait son intention de présenter ce traité à l’ONU à fin d’enregistrement.

Dans le texte publié aujourd’hui par le Gouvernement français, on apprend que l’ONU aurait refusé d’enregistrer ce traité sous prétexte qu’il était antérieur à 1945 et qu’il aurait été publié dans quelques recueils…

De qui se moque-t-on ?

L’assertion de ce gouvernement aux abois va à l’encontre de toute vérité historique et juridique. Cela, nous l’établirons au moyen des éléments irréfutables qui sont en notre possession.

Le Gouvernement français avance que le traité n’est pas abrogé car il a été notifié, dans les délais, par « note verbale » aux autorités italiennes… une note verbale imprimée sur du papier à cigarette?… une publication du traité d’annexion dans l’album de Tintin au Congo ?

De qui se moque-t-on ?

Et pourquoi donc avoir présenté ce traité pour enregistrement à l’ONU si cet enregistrement était inutile ? Ce qu’avance le Gouvernement français n’est d’aucun poids face à la vérité et il n’y en a qu’une en cette affaire.

Le Gouvernement français a présenté le traité de l’annexion de Nice et de la Savoie à l’ONU pour qu’il soit enregistré et l’ONU a refusé de le faire car ce traité est définitivement abrogé!

L’hiver est encore là, mais chaque jour davantage le temps s’approche pour le printemps de nos peuples.

Alain Roullier-Laurens                                                     Jean de Pingon

Président de la LRLN et du Parti Niçois                            Fondateur de la Ligue Savoisienne

Premier tour de l'élection partielle du canton de Levens

Communiqué du Parti Niçois / Partit Nissart - 10 septembre 2012

Parti_nicois_2_1« Le Parti Niçois/Partit Nissart, qui présentait pour la première fois un candidat dans un canton de l'arrière-pays est satisfait du résultat obtenu  au premier tour ; Son jeune candidat M. Julien Llinares, issu de la société civile a obtenu  2,13%. C’est un score encourageant pour ce nouveau venu sur la scène politique,  lorsque l'on connaît le manque d'intérêt flagrant des médias pour ce scrutin et l’énorme taux d’abstention, signe du dégoût  croissant qu’éprouvent les citoyens pour la politique.

Par rapport au précédent scrutin annulé, le candidat sortant se maintient au milieu de l’effondrement complet des autres partis parisiens :  - 43% de votants pour la candidate de gauche, - 62% de votants pour le candidat du front national et - 67% de votants pour le candidat de la succursale niçoise du Bloc identitaire français d'extrême-droite...  Le Parti Niçois/Partit Nissart s'inscrit désormais dans le paysage politique du Pays de Nice... 

« Le Parti Niçois/Partit Nissart remercie celles et ceux qui ont porté leurs suffrages sur le nom de son candidat. Et ne donne aucune consigne de vote pour le second tour. »

 

 

 

 

Interview de Julien Llinares, candidat du Parti Niçois / Partit Nissart

Interview de Julien Llinares réalisé par le site www.paisnissart.com à l'occasion de l'élection partielle dans le canton de Levens

Julien Llinares Parti NiçoisJulien Llinares, vous êtes le candidat du Parti Niçois, comment définirez-vous votre parti ?

Tout d’abord ce n’est pas un parti comme les autres ; pas un parti comme on l’entend en France. C’est tout simplement et avant tout un rassemblement apolitique de Niçoises et de Niçois, qui ne veulent pas tomber dans le piège que sont les idéologies classiques qui déchirent les français depuis la fin du XIXéme siècle. C’est aussi le successeur du Parti Niçois qui en 1871 fit élire à la députation, à une écrasante majorité, Garibaldi, Piccon et Bergondi, candidats séparatistes déclarés. Nous nous sentons d’abord Niçois, et nous voulons lutter pour soutenir les intérêts du Païs Nissart qui sont bafoués depuis si longtemps. Nous sommes dépossédés de nos richesses depuis 1860 et sous la tutelle de Marseille ; il faut que cela cesse.  La politique française divise les Niçois et les empêche de s’intéresser à l’essentiel pour un vrai Niçois : le destin du Pays Niçois, et l’avenir des jeunes Niçois.

Comment en êtes vous venu à être le candidat du Parti Niçois ?

J’y suis venu simplement, étant membre du Parti Niçois depuis sa fondation le 24 mars 2010 dès le retour de la délégation de la L.R.L.N. de Genève. Le Parti Niçois n’est pas adepte des « parachutages » politiques ; il préfère présenter un candidat ayant des attaches dans le canton où le parti se présente ; j’ai donc était choisi pour en être le candidat…

Et quelles sont vos attaches avec le canton de Levens ?

Ma grand-mère maternelle, est née dans le canton à Plan-du-Var. Bien avant ma naissance, mes parents se sont s’installés à Tourrette-Levens  où j’ai grandi. Mon père était chauffeur de car aux « transports Brema », ma mère était membre active de l’association « Nous pour Tourrette », association apolitique, qui avait le grand mérite en son temps de permettre un pluralisme dans la vie politique de la commune ; pluralisme qui fait énormément défaut aujourd’hui.  Mon arrière-grand-père maternel, Pierre Cadopi,  fonda la compagnie de car du même nom ; contribuant grandement à désenclaver les Haut et Moyen Pays. Sa compagnie rebaptisée aujourd’hui « Autocars Baie des Anges » est toujours dirigée par ma famille. canton de levens

Quel sont les enjeux pour le canton selon vous ?

Ils sont nombreux, d’abord ceux qui sont en communs aux autres cantons, comme l’insertion des jeunes, l’aide aux personnes âgées, la sécurité, la création de structures sociales et sportives, le désenclavement, la baisse des impôts locaux et le clientélisme qui se résume à : « tout pour une minorité et rien pour les autres ».

Je souhaite également généraliser l’enseignement du Nissart comme du Gavot dans les collèges, mais aussi permettre aux élèves d’apprendre leur histoire, la véritable histoire du Pays de Nice trop longtemps falsifiée depuis l’annexion. Je défendrai aussi l’idée de consultations locales et l’idée que la population doit pouvoir refuser tout projet que les hommes politiques leurs imposent. Il y a aussi la plaine du Var, dont l’avenir est un enjeu majeur non seulement pour le canton, mais également pour toutes les communes et cantons bordant ses rives.

Pourquoi la plaine du Var en particulier ?

Le projet « éco-vallée » qui n’a d’écologique que le nom, cache en réalité une opération de bétonnage monstrueuse sans précédent chez nous, qui se traduirait par la perte de nos derniers terrains agricoles et l’épuisement de nos réserves naturelles d’eau, qui seront capitales pour l’avenir. De ces réserves, coulera de nos robinets l’eau de demain ! Et en dehors de l’agriculture et de l’eau potable se pose le problème des crues du Var, qui s’accentueront et causeront des dégâts matériels ; elles coûteront en vie humaine si l’on bétonne et l’on entasse plus de populations que de raison sur ses rives. L’éco-Vallée conçue comme elle l’est, sera un immense citée dortoir qui étouffera et polluera terriblement les cantons voisins et aussi la ville de Nice. Cela les initiateurs d’éco-vallée semblent superbement l’ignorer, ou plutôt nier la réalité : Celle d’un fleuve impétueux, indomptable à l’image du peuple vivant sur ses rives. Et ce ne sont pas les préfets successifs, se prenant pour Moïse qui pourront commander aux eaux du Var en signant de la paperasse administrative !

Les initiateurs de ce projet servent les intérêts de grosses entreprises non niçoises, et bafouent inconsciemment (ou non) le principe de précaution, à savoir conserver des ressources naturelles auprès d’une grande ville. Voulu par l’ancien et l’actuel maire de Nice, s’il devait malheureusement être réalisé, il ne bénéficiera qu’à de grosses sociétés de BTP qui s’enrichiront énormément, à d’autres qui inévitablement en profiteront, pire encore, il créera artificiellement une surpopulation et une pollution très dangereuses. Nice, et le canton de Levens sont déjà passablement asphyxiés par des apports massifs de population, que nos édiles ont été coupables de ne pas avoir contrôlé et limité par tout moyens, quand on pouvait le faire. Après avoir laissé bétonner et étouffer le littoral les politiciens veulent maintenant faire la même chose avec l’arrière-pays !!! Ce projet éminemment anti-écologique, anti-démocratique (car on veut l’imposer aux populations) ferait de la vie à Nice et dans l’arrière-pays, dont le canton de Levens, un véritable Enfer. Il pénaliserait aussi très gravement les générations futures. Il serait également très nuisible au tourisme, principale ressource de notre Pays Niçois, car les vacanciers ne viennent pas chez nous pour voir du béton partout.

La plupart des politiciens aujourd’hui ne jurent que par « les grandes métropoles », la concentration à outrance, et l’entassement des populations dans ce qui ne seraient que de grandes termitières où des humains dépersonnalisés, sans racines et obéissants, n’auraient qu’un rôle de producteurs et de consommateurs. Les habitants de toutes les communes et de tous les cantons doivent s’opposer très fermement à ce que l’on construise une telle monstruosité chez nous ; il faut défendre la plaine du Var, la tirer des griffes de tous les faiseurs d’argent, car ils partiront ensuite avec leurs énormes bénéfices et nous laisseront le béton et les conséquences catastrophiques que l’on imagine aisément.

Et personne d’autre ne semble opposé à ce projet ?

Sur le fond, droite comme gauche sont d’accord, ils ergotent seulement sur la forme car chacun veut tirer la couverture à soi, la région, le département, la métropole et la ville de Nice….Mais fondamentalement ils sont d’accord pour le béton !

Que pensez-vous de vos adversaires ?

Mes adversaires sans exception sont tous, je dis bien tous, des représentants de partis français, ils sont des serviteurs du centralisme jacobin, rien de plus.  Je parlerai non pas des personnes mais des partis qu’ils représentent et servent, et je ne qualifierai pas les partis français d’adversaires, mais d’ennemis ! Droite comme gauche (et leurs extrêmes respectifs) sont nuisibles pour le Pays de Nice et ses intérêts. Aucun d’entre eux ne peut être bénéfique pour notre Pays, car ils sont les frères jumeaux issus du monstre jacobin qui nie notre identité et tente depuis 1860 de la détruire, qui nie nos droits, et nous à placé sous la tutelle de Marseille…aucun d’entre eux ne peut donc être bénéfique pour nous, d’autant que ces partis sont responsables de la faillite économique, morale, sociale, sécuritaire, éducative de la France,  pays qui nous à annexé. IIs sont donc d’emblée disqualifiés pour prétendre défendre nos intérêts ; ils nous enchaînent de fait dans la galère française qui est  train de couler !

Les Niçois doivent se désintoxiquer de ces idéologies périmées ; ils ne doivent plus appréhender la politique en terme de « droite ou gauche » car elle est totalement confiscatoire dans les deux cas.  Ils doivent  l’appréhender à travers le prisme niçois et ranger les forces en présence en deux catégories : soit les niçois libres qui défendent les intérêts du Pays de Nice, soit les serviteurs des idéologies françaises, périmées qui nuisent au Pays de Nice.

Tant que notre peuple n’envisagera pas l’avenir a travers ce prisme niçois, tant qu’il ne rejettera pas ces partis et le système qu’ils servent, rien ne changera et tout ira de mal en pis pour le Pays de Nice.

Mais voir la politique à travers le prisme niçois et rejeter en bloc les partis parisiens ne servirait a rien s’il n’existait pas une alternative. Le Parti Niçois présente des candidats aux élections pour donner l’opportunité aux habitants du Pays de Nice de sortir du cycle infernal imposé par les partis français, et donner la seule alternative possible à ses habitants afin d’éviter le désastre à venir. Il convient de reprendre le pouvoir chez nous, y installer la société civile, et de récupérer nos droits anciens qui nous permettrons de gérer nos affaires comme nous l’entendons. C’est la seule solution, et  il n’y a que le Parti Niçois pour soutenir cette politique.

Donc a terme, Nice doit aller vers plus d’autonomie vis-à-vis de Paris et Marseille ?

C’est une nécessité, une question de survie je dirais même. La classe politique française à détruit la France, elle est en train de faire de même dans le Pays de Nice. L’incompétence et l’immoralité de la classe politique française ont conduit à la faillite du pays dans tous les domaines sans exceptions : pour donner une image, ce pays est comme le Titanic, il coule lentement mais sûrement, toutes les cloisons étanches cèdent les unes après les autres, il y a plus à rien a faire, sinon trouver  très rapidement un canot de sauvetage. Et le Pays de Nice dispose d’un canot de sauvetage : nos droits juridiques anciens violés en 1860. Nos droits ont été confisqués jadis par la France qui s’imposa chez nous par une invasion militaire et un plébiscite truqué. S’ils étaient rétablis sous la pression populaire,  nous pourrions avoir toutes les cartes en mains sans passer par Paris et en nous débarrassant de Marseille. Nous avons l’exemple de toutes les provinces de nos voisins européens qui bénéficient d’une large (voire très large) autonomie. Elles sont maîtresses de leur sécurité, de leur justice, de leur économie etc. Certaines disposent même de parlements locaux ; ils votent des lois répondant aux besoins spécifiques des régions, votent le montant des impôts concédés à l’Etat ect. C’est cela, entre autre, que nous voulons préparer,  car c’est cela que permettra la restauration de nos droits anciens.

Et il n’y a que le Parti Niçois qui peut permettre cela ?

Si vous voyez quelque d’autre faites moi signe ! Les partis parisiens, à la fois serviteurs et défenseurs acharnés du système jacobin ne peuvent évidemment pas défendre l’idée que le Pays de Nice puisse gérer lui-même ses affaires. Il y a que le Parti Niçois qui permettra cette évolution. Dans le contexte politique actuel seul notre Parti a la légitimité et la force de conviction nécessaire pour revendiquer le droit à l’autodétermination, car il a été fondé suite à la Déclaration de Genève le 24 mars 2012 initiée par la L.R.L.N. Le Parti Niçois est donc à la pointe du  combat mené par la L.R.L.N depuis dix ans. Il est également l’héritier du parti séparatiste mené par Garibaldi. Le Parti Niçois à la possibilité de mener cette action et il est le seul à pouvoir le faire car ses membres, ses dirigeants et ses candidats se sont désintoxiqués de la politique française, de toutes idéologies ;  désintoxiqués aussi de toutes ambitions personnelles et de tout égocentrisme stupide. Je ne me présente pas pour moi, je ne cherche pas à obtenir une place, je travaille, je ne vis pas aux dépens des contribuables comme certains politiciens qui n’ont jamais rien fait de leur vie ;  beaucoup ont fait de la politique un métier parce qu’ils ne savent rien faire d’autre et seraient au chômage sans la politique.

Je me présente pour défendre une idée qui est plus importante que moi-même. L’idée que les habitants du Pays de Nice en qualité de Peuple, puissent jouir de leur souveraineté, gérer leurs affaires comme ils l’entendent. C’est une idée qui existait bien avant moi, elle était déjà défendue par Garibaldi, Laurenti-Roubaudi, Jeanne Verani, les Barbets, Arson, Benoît Bunico et bien d'autres niçois.  Une idée qui a survécu à toutes les tentatives jacobines pour la détruire, qui survivra encore et qui un jour où l’autre, quant les habitants du Pays Niçois le voudront, se concrétisera !

source : paisnissart.com

Cantonale de Levens - Le candidat du Bloc identitaire français prônerait-il des restrictions à la démocratie ?

Communiqué du Parti Niçois/Partit Nissart – 3 septembre 2012

Parti_nicois_2_1« Il apparaît que le candidat du Bloc identitaire français à l’élection qui se déroulera dans le canton de Levens, n’a pas apprécié du tout la présence du  Parti Niçois/Partit Nissart lors de cette consultation électorale. Pire encore, lors d’une interview dans la presse locale, l’un de ses commentaires rapportés par la journaliste en dit long sur sa philosophie politique et celle de son parti : « Tout le monde à le droit d’être représenté, mais c’est dommage. ». Tout un programme en onze mots ! Ils évoquent des temps que personne n’aimerait voir revenir...               

« Comme l’a indiqué notre candidat, nous sommes l’antithèse du parti dit identitaire, car nous sommes un parti purement Niçois, résurgence du parti Niçois qui remporta les élections législatives de 1871 et fit élire Garibaldi, Piccon et Bergondi, candidats séparatistes déclarés ; Alors que le Bloc identitaire français et sa succursale niçoise nommée plus qu’abusivement Nissa  rebella quand on connaît les objectifs du Bloc, sont des mouvements purement français d’extrême-droite, déclinant comme symbole le sanglier gaulois.

« La mission du Partit Nissart est de défendre les intérêts niçois et tout naturellement de s’opposer à tous les partis appartenant au système politique français dont les représentants ont tant nui au Païs Nissart qui, depuis l’annexion, est inféodée économiquement et administrativement à Marseille.

« Si à la petite phrase très significative citée plus haut, l’on rajoute le fait que M. Fabrice Robert, fondateur du Bloc identitaire français a été condamné jadis pour négationnisme et que M. Loeuillet figure de proue des identitaires soi-disant niçois et plusieurs fois candidat identitaire à Nice, a accueilli dans son commerce, la librairie du Paillon, un ancien SS français de la division Charlemagne pour la signature de son livre. Qu’en outre, lors de ces cantonales à Levens, le candidat identitaire se prévaut du soutien du sieur Mario Borghezio député de la très anti-garibaldienne Ligue du Nord, plusieurs fois condamné pour violence, et suspendu temporairement par son propre parti pour avoir glorifié certaines des idées du « manifeste » d’Anders Breivik, l’auteur du massacre en Norvège…les électeurs seront édifiés.

« A ce propos, certains se souviendront du fameux film documentaire de Canal + Europe : Ascenseur pour les fachos dans lequel on pouvait voir et entendre le sieur Borghezio, lors d’une réunion politique, expliquant aux identitaires niçois  comment il convenait de procéder « afin de faire oublier qu’ils étaient fascistes en se faisant passer pour des régionalistes », et que M. Plaquevent qui fut lui aussi à plusieurs reprises candidat du Bloc identitaire français à Nice, acquiesçait en ces termes  : « Il faut insister beaucoup sur le côté régionaliste de notre mouvement, c’est une bonne manière de ne pas être classé comme fasciste nostalgique, mais comme une nouvelle mouvance régionale, catholique etc... mais dessous, nous sommes toujours les mêmes... ». Le journaliste de Canal + résumait ainsi cette stratégie : « pénétrez partout où vous le pouvez et mentez pour faire oublier que vous êtes fascistes... ».

« La messe est dite. Personne ne peut plus ignorer la tendance que représente en réalité le candidat du Bloc identitaire français à Levens. Et cette tendance n’a strictement rien de niçois, c’est le moins que l’on puisse dire.

« Démocrates, nous ne lui contestons pas le droit de se présenter à cette élection, mais nous lui dénions celui de se faire passer pour un candidat défendant les valeurs niçoises, trompant ainsi les électeurs. Le Bloc identitaire français à été fondé par des mégrétistes, dissidents du front national ; En Alsace, il décline le slogan « Alsace d’abord », en Bretagne il est Breton et tout à l’avenant. Chez nous il dissimule son sanglier gaulois sous les jupons de Segurana qui commence à en avoir vraiment assez. Mais il ne se préoccupe que de politique française et d’intérets français au point même d’avoir voulu présenter un candidat à la présidence de la République, projet qui tourna court faute de parrainages. 

Julien Llinares Parti Niçois« Le Parti Niçois/Partit Nissart, est apolitique et ne se préoccupe que des affaires du Pays de Nice. Dans la situation grave que nous connaissons les combats droite-gauche issus d’idéologies dépassées n’ont plus aucun sens car ces partis sont solidairement responsables de la faillite de la France ; Ils ne feront pas aujoud’hui ce qu’ils n’ont pas su ou voulu faire hier.  Nous ne devons rien attendre d’un Etat en faillite de quelque couleur qu’il soit, sinon une pluie de nouveaux impôts et de nouvelles atteintes à l’identité niçoise. Il convient que les forces populaires niçoises se rassemblent afin de prendre nos intérêts niçois en main, en faisant élire des candidats hors du système politique, qui eux les défendront, car ils ne devront rien aux appareils politiques parisiens.

« Le Parti Niçois/Partit Nissart a voulu donner la possibilité aux habitants du canton de Levens, éminemment important pour l’équilibre du Pays de Nice, de sortir d’un cadre politique imposé et de voter Niçois. Le vote Niçois,  à l’avenir s’imposera, car nous ne pouvons compter que sur nous-mêmes, pour affronter les graves événements auxquels nous allons être confrontés. Notre candidat, s’il est élu, apportera le renouveau nécessaire, et nous demandons à tous les électeurs conscients de l’urgence de la situation dans laquelle se trouve le Pays de Nice, de le soutenir. Laissons les luttes idéologiques insanes aux français, nous Niçois, occupons-nous des affaires de notre Pays Niçois qui est pillé et dont les ressources profitent à d’autres que nous. »