Magnifique cadeau du jour de l'an pour les Niçois et les Savoisiens ; le traité de Turin est abrogé !
Communiqué du 8 janvier 2013
Message d’Alain Roullier-Laurens et de Jean de Pingon aux Niçois et aux Savoisiens
La bonne nouvelle : confirmation !
Le 25 décembre dernier Jean de Pingon annonçait que le Secrétariat de l’ONU avait refusé d’enregistrer le traité d’annexion de la Savoie, le Gouvernement français en apporte confirmation dans une réponse publiée aujourd’hui au Journal Officiel.
À Genève, le 24 mars 2010, Alain Roullier-Laurens et Jean de Pingon rendaient public un document de l’ONU qui prouvait que le traité d’annexion de Nice et de la Savoie n’avait pas été enregistré auprès de cet organisme. Quelques mois plus tard, le Gouvernement français annonçait son intention de présenter ce traité à l’ONU à fin d’enregistrement.
Dans le texte publié aujourd’hui par le Gouvernement français, on apprend que l’ONU aurait refusé d’enregistrer ce traité sous prétexte qu’il était antérieur à 1945 et qu’il aurait été publié dans quelques recueils…
De qui se moque-t-on ?
L’assertion de ce gouvernement aux abois va à l’encontre de toute vérité historique et juridique. Cela, nous l’établirons au moyen des éléments irréfutables qui sont en notre possession.
Le Gouvernement français avance que le traité n’est pas abrogé car il a été notifié, dans les délais, par « note verbale » aux autorités italiennes… une note verbale imprimée sur du papier à cigarette?… une publication du traité d’annexion dans l’album de Tintin au Congo ?
De qui se moque-t-on ?
Et pourquoi donc avoir présenté ce traité pour enregistrement à l’ONU si cet enregistrement était inutile ? Ce qu’avance le Gouvernement français n’est d’aucun poids face à la vérité et il n’y en a qu’une en cette affaire.
Le Gouvernement français a présenté le traité de l’annexion de Nice et de la Savoie à l’ONU pour qu’il soit enregistré et l’ONU a refusé de le faire car ce traité est définitivement abrogé!
L’hiver est encore là, mais chaque jour davantage le temps s’approche pour le printemps de nos peuples.
Alain Roullier-Laurens Jean de Pingon
Président de la LRLN et du Parti Niçois Fondateur de la Ligue Savoisienne
"La débacle de l'UMP" - Communiqué du Parti Niçois / Partit Nissart - 26 septembre 2011
« Le Parti Niçois/Partit Nissart, bien qu’apolitique ne peut se désintéresser de la politique nationale car elle pèse d’un poids très lourd sur le destin des Niçois. Nous ne reconnaissons pas la légitimité des partis français à Nice, mais cependant, les dernières élections sénatoriales appellent nos remarques. Les deux grands partis français qui se partagent le pouvoir se déchirent déjà, sept mois avant les élections présidentielles. Ils sont tous deux co-responsables de ce que vivent les niçois, mais pour l’heure c’est l’UMP qui gère Nice. C’est donc avec satisfaction que nous avons vu la débâcle aux sénatoriales du parti de M. Estrosi ; c’est également un revers très grave pour M. Sarkozy. C’est M. Estrosi qui par tous les moyens veut faire disparaître l’authentique identité niçoise, la cantonnant dans un folklore à deux sous et c’est encore lui qui avec M. Sarkozy a inauguré à Nice l’année dernière les ferrailles de la honte commémorant l’occupation militaire de Nice en 1860 et le plébiscite truqué. Il nous est donc agréable que leur parti, rétrograde et va-t-en-guerre, scorie du passé, ait perdu la majorité au sénat français, ce qui laisse présager sa défaite définitive. »
« L’UNR gaulliste installa jadis la structure mafieuse du SAC à Nice par le biais d’un certain représentant en liqueurs anisés, qui s’est distingué comme l’on sait dans divers prétoires correctionnels, mais demeure inamovible dans un régime dont la vertu n’est pas la qualité maîtresse ; celui qui fit extrader Jacques Médecin, n’est allé lui, derrière les barreaux, mansuétude due au fait qu’il aurait « rendu des services à la République », une république bananière où circulent des valises de billets et où les amis des amis règnent en Maîtres. Le RPR, puis l’UMP, hériters de l’UNR ont mis la main sur Nice depuis le départ de Jacques Médecin en 1990, et les niçois peuvent voir, effarés, ce qu’est devenue leur ville vingt ans après. Le constat est plus qu’accablant, et il faut chasser les représentants de ce parti hautement néfaste à notre ville et à ses intérêts. »
« M. Paille (parti Radical) a déclaré que « la défaite de l’UMP était dûe au sectarisme de ses dirigeants », ce qualificatif émane d’un homme politique français il va comme un gant à M.M. Estrosi et Ciotti. Cette défaite nationale ébranle leur pouvoir local et nous nous en félicitons car une opportunité se fait jour d’installer la société civile au pouvoir à Nice, lors des prochaines élections municipales, solution alternative à la droite et à la gauche. »
« Cela dit, si la gauche devait emporter les élections présidentielles, nous demanderons officiellement à ses dirigeants, de nous préciser leur position au sujet de Nice et de son destin, car suite à la Déclaration de Genève et à notre intervention auprès du Secrétariat général de l’ONU le traité de Turin n’est toujours pas enregistré par cette instance suprême. Ce fait majeur pour Nice et la Savoie, revêt une importance capitale car nos deux pays annexés illégalement, subissent les affres de la déliquescence française, alors que l’autogestion et nos énormes atouts économiques, permettraient que nos deux peuples vivent autrement qu’au rythme de la faillite du système, de la paupérisation, de l’insécurité, et des troubles crapuleux, ethniques, voire religieux, qui s’annoncent, comme on l’a vu récemment à Londres. »
« Notre identité n’est pas morte comme l’aurait voulu le pouvoir jacobin, elle renaît grâce à la prise de conscience de beaucoup de jeunes niçois qui se veulent Niçois avant tout. Elle sera notre rempart ; elle est déjà le gage d’une vie meilleure, dans une ville assainie et prospère. Nous défendrons les droits de Nice et demandons à toutes les niçoises et niçois conscients de cet enjeu vital pour nous-mêmes et notre jeunesse, de nous rejoindre. Tous ensemble, nous avons le devoir de participer à la délivrance de notre ville, avilie, jetée en pâture aux affairistes qui bétonnent nos sites pour remplir leurs coffres-forts alors que les Niçois ne peuvent plus se loger chez eux, notre ville livrée à des éléments troubles et dangereux qui impunément font de nous des étrangers sur notre propre sol. Cela ne peut plus durer, il faut se battre, et accéder en premier lieu au pouvoir municipal afin de remettre de l’ordre chez nous, car demain nous serons submergés et coulerons enchaînés dans les cales nauséabondes du pays qui nous annexé par l’invasion militaire du 1er avril 1860. Issa Nissa ! ». Fin de communiqué.
11 avril 2010 - Communiqué du Parti Niçois/Partit Nissart :
« Au moment où les politiciens locaux, suppôts du pouvoir jacobin, tentent de porter le coup de grâce à l'identité niçoise par des mesures on ne peut plus significatives comme le remplacement du moulage de la statue de Charles-Félix devant la mairie par un pouce d’honneur de César, la quasi- disparition des drapeaux niçois en ville (lesquels auraient indisposé dit-on l’ex-ministre de la justice en visite à Nice), la disparition du blason de Nice sur la page d’accueil du site de la mairie, remplacé par celui de la Communauté urbaine, la suppression du mot d’accueil en niçois au standard téléphonique de la mairie, l’édification au Vieux-Nice d’un immense tas de ferraille qualifié de « monument du 150e anniversaire de l’annexion », dont le transport et l’installation coûteront très cher aux Niçois, au moment enfin où le banc et l’arrière-banc des institutionnels persistent a diffuser ses mensonges au sujet de l’annexion de Nice et s’apprête à célébrer en grandes pompes cette violation du Droit des Peuples à disposer d’eux-mêmes, la cause de Nice avance à grands pas depuis que notre président, M. Alain Roullier-Laurens et M. Jean de Pingon ont signé la Déclaration de Genève, adressée aux Puissances signataires du traité de Paix de 1947, et demandé à M. le Secrétaire général de l’O.N.U. de bien vouloir considérer que Nice et la Savoie sont des pays colonisés, en cette année qui doit marquer officiellement la fin de toute colonisation du fait des résolutions antérieurs votées par cette organisation.
Un député de la majorité a déjà posé une question écrite au ministre de l’Intérieur, en ce qui concerne le statut de Nice et de la Savoie, qui compte tenu de l’abrogation du traité de Turin, risque de poser de très gros problèmes à l’Etat, tant dans ces territoires que sur le plan international.
Un Niçois travaillant en Savoie et poursuivi pour un délit de dépassement de vitesse intervenu à Nice, a fait valoir devant le tribunal d’Albertville que le traité d’annexion étant abrogé, le fonctionnaire idoine qui avait fixé cette limite de vitesse à Nice, n’avait aucun droit de le faire, et que de surcroît, pour la même raison, ledit tribunal siégeant en Savoie n’avait aucune légitimité pour le juger. Le tribunal d’Albertville s’est immédiatement déclaré incompétent pendant que des incidents éclataient dans la salle d’audience entre les souverainistes et les forces dites « de l’ordre ».
Le président du Parti Niçois tient à préciser que juridiquement, quand bien même l’autorité française, jusqu’à la décision internationale, réfuterait l’abrogation du traité de Turin, elle se trouverait néanmoins en total défaut de légitimité. En effet, dans le texte du traité de Turin, le roi de Sardaigne, déclare « qu’il cède ses droits à Napoléon III ». Ses droits sur Nice étaient ceux que lui conféraient la charte dédition de 1388. Or, comme le rappelle très justement Joseph André dans son ouvrage « Nice 1792 – 1824 » ce traité comportait d'importantes restrictions au pouvoir des souverains savoisiens ; celle-ci notamment : « en aucune manière, ni pour des raisons civiles ni pour des procès criminels les Niçois pouvaient êtres inquiétés par leurs propres tribunaux » ; « nisi causa dominium comitem tangeret» dans le texte. La France qui se prétend le pays des Droits de l’homme, et qui les viole souvent, s’honorera cette fois en les respectant dans un pays annexé illégalement.
Le Parti Niçois appelle les vrais Niçois a manifester dès à présent et par tous les moyens légaux, leur désapprobation des manifestations commémorant l’annexion scélérate de Nice ; il leur rappelle ou leur apprend que conformément aux nouvelles dispositions législatives ils peuvent contester, le cas échéant, devant le tribunal où ils comparaissent [sauf la Cour d’assise] la constitutionnalité des lois auxquels ils sont soumis arbitrairement. A Nice, le droit des Peuples a été bafoué, le parti Niçois œuvrera avec les citoyens pour le rétablir ». Fin de communiqué.
Jeudi 8 avril 2010 - Communiqué du bureau politique Parti Niçois – Partit Nissart –
« Suite à la Déclaration de Genève, signée le 24 mars 2010, par M. Alain Roullier-Laurens Président du Parti Niçois, et M. Jean de Pingon, qui a été adressée aux puissances signataires du Traité de Paix de 1947, l’abrogation du Traité du Turin, du fait du non-respect par la France des dispositions impératives du Traité de Paix de 1947, est déjà une affaire internationale. La question écrite d’un député UMP aux ministères concernés, passée au journal Officiel, le prouve amplement.
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Le combat pour la restauration des Droits de Nice et de la Savoie, entre dans une phase décisive. Nous demandons à toutes les Niçoises et à tous les Niçois, qui sont conscients que le destin de Nice est en jeu, de nous rejoindre. Le Parti Niçois a été fondé pour soutenir et promouvoir les Droits de Nice et rassembler les diverses sensibilités niçoises, hors de la politique française et autour de nos valeurs ancestrales. La société française se délite tous les jours davantage dans tous les domaines ; seule notre identité niçoise et la volonté de la défendre nous permettra d’initier le renouveau indispensable ; l’union est vitale, car le danger est grand. Il est plus que temps de rejeter les partis français et leurs sous-produits locaux à qui l’on doit la situation actuelle ; les Niçois doivent s’unir hors de la politique française, verrouillée et servie par les médias. Nice doit être gérée par des Niçois, pour les Niçois et en fonction de ce que veulent les Niçois. Dans très peu de temps, le Parti Niçois, présentera ses lignes directrices, afin de préparer le grand changement dont Nice a un besoin plus qu’urgent ; depuis vingt ans, elle est l’otage des partis parisiens, qui l’étouffent, détruisent son identité, et nuisent aux intérêts des niçois. Le Parti Niçois réunira les énergies, les compétences et bonnes volonté, afin de mettre fin au saccage économique, moral, financier et culturel de notre Ville. »
Qui nous sommes
Le Parti Niçois (Partit Nissart) fondé en 2010 a pour but de défendre et de promouvoir les intérêts économiques, sociaux, culturels, patrimoniaux et environnementaux du Pays Niçois, comme défendre la reconnaissance du peuple Niçois et permettre la réappropriation des droits légitimes à l’auto-détermination auxquels les Niçois, comme tout peuple, ont droit.
Des bords la Méditerranée jusqu’aux plus éloignées des vallées, les habitants du Pays de Nice doivent pouvoir, sans interférence marseillaise et parisienne, être seuls à décider de leur avenir et se donner les moyens de pouvoir vivre et travailler localement et faire vivre cette terre qui nous a vus naître ou s’installer. Le Pays de Nice doit pouvoir profiter pleinement de la richesse produite qui finit, bien souvent, uniquement dans les caisses de la région et de l’état en nous laissant les miettes.
Le Parti Niçois défend et soutient toutes les initiatives permettant au peuple de reprendre en main son destin par la réappropriation de sa souveraineté, partielle ou entière, confisquée par Paris et Marseille.
La première souveraineté à restaurer, est celle, régionale vis-à-vis de Marseille notre adversaire et rivale depuis toujours : quitter la région artificielle « Provence-Alpes-Côte-d’Azur » et briser les chaînes de la tutelle marseillaise pour permettre l’émergence d’une région propre au pays Niçois premier pas indispensable à son épanouissement, à son futur et nous permet d'exercer un contre-pouvoir face à la capitale.
Les partis nationaux traditionnels sont opposés à ce que les Niçois puissent reprendre en main leur destinée et avoir leur mot à dire sur ce qui se fait chez eux. Ils sont tous à des degrés divers des jacobins et par conséquent tournés exclusivement vers Paris. Ils souhaitent le maintien de ce centralisme parisien qui abandonne les zones rurales, brade notre patrimoine, nous confisque nos infrastructures ou institutions, nous prive du peu d’autonomie dont nous disposons et fait obstacle à la pérennisation et la transmission de notre identité et de notre langue. Ce même centralisme qui par sa sacro-sainte devise d’une « République une et indivisible » cache un système dépassé, plongeant la France et Nice dans le formol par un véritable déni de démocratie.
Le Parti Niçois se veut être un rassemblement des Niçoises et Niçois de tout milieu, de la société civile, ayant comme seule ambition de faire vivre leur territoire en s’affranchissant de l’éternel clivage idéologique des partis parisiens divisant les Niçois comme dans d’autres régions :
- Nul besoin d’idéologie pour gérer une ville ou un territoire à taille humaine comme le Pays Niçois.
- Nul besoin d’être étiquetés politiquement pour vouloir la sécurité pour tous, défendre les libertés individuelles, défendre les intérêts des travailleurs ou encore protéger l’environnement et la qualité de vie.
Le Parti Niçois, c’est l'unique alternative à ce système centraliste éloigné de nos problèmes et décidant à notre place, nous sommes résolument tourné vers l’avenir pour le seul bien-être de nos concitoyens au contraire des partis jacobins passéistes, volontairement immobilistes pour leur propre intérêt.
Nous allons dans le sens de l’histoire et dans la dynamique du réveil des peuples qui un peu partout en Europe sortent de la léthargie dans lequel les états-nations artificiels les avaient plongés. Niçoises, Niçois ne laissez plus les autres dicter votre conduite, reprenez votre destin en main !