Communiqué du Parti Niçois - 24 mars 2011 - Analyse des résultats du premier tour des élections cantonales.
« Le Parti Niçois est satisfait du score obtenu par ses candidats qui, dans un contexte difficile, se présentaient pour la première fois à des élections. Ce galop d’essai, est important car il marque un tournant important, la présence à Nice d’une véritable force niçoise apolitique ; une force de proposition et d’opposition au système en place qui nuit à Nice. Lors des prochains scrutins, nos candidats permettront aux vrais Niçois de se rassembler autour du drapeau blanc frappé de l’Aigle rouge, pour défendre notre ville et les intérêts de ses habitants »
« Le lendemain de ce premier tour, nous avons été sollicités, afin de « donner nos voix » aux un ou aux autres. Comme nous l’avions annoncé, nous ne donnons pas de consigne de vote, nous en remettant à la volonté et à la sagesse des électrices et des électeurs qui nous ont accordé leur confiance. Les intentions de vote sont personnelles et appartiennent en propre à chacun. Le parti Niçois, qui rejette le système politique jacobin, confiscatoire et antidémocratique, tient à rompre avec ces pratiques qui sont devenues un usage malsain, alors qu’elles ne doivent être qu’exceptionnelles »
« Ce scrutin a été marqué par une forte abstention, le recul de l’U.M.P et une poussée frontiste. Ces trois tendances résultent de la situation de crise et de faillite qui frappe la société, comme du rejet des partis. Quoi qu’il en soit, il convient de respecter le choix des électeurs. Certains ne le font pas, comme l’ex-maire de Nice qui prétend avoir été « spolié » du siège qu’il convoitait, par M. Baeza lequel aurait « détourné » les voix du Front National lui revenant, comme si les électeurs en question étaient la chose d’un parti et avaient pu le confondre avec son adversaire ; mais ces aigreurs revanchardes de fin de carrière, ne sont que des scories, dans la situation critique où se trouvent les niçois, qui ont d’autres motifs d’inquiétude et préoccupations »
« Les temps vont devenir plus difficiles encore et les Niçois doivent se regrouper pour se défendre contre les nombreux périls qui les guettent. Le Parti Niçois sera présent à leurs côtés et mènera le combat avec détermination car il convient impérativement de porter la société civile au pouvoir municipal. Ni droite, ni gauche, tous les partis parisiens confondus sont responsables de l’effondrement moral et économique qui pénalise gravement la société niçoise. Il est temps que les Niçois s’occupent eux-mêmes de leurs affaires. Ils le feront beaucoup mieux que les politiciens qui ne servent pas le bien public mais les partis qui assurent leur réélection. Issa Nissa ! »
Le Parti Niçois invite ses adhérents et sympatisants à se rendre nombreux à la permanence
« Le parti Niçois informe le public que dans le cadre des élections, sa permanence, 1 rue Cais de Pierlas, sera ouverte le samedi 19 mars 2011 de 15 H à 20 H et le dimanche 20 mars, de 11 H à 23 H. Il invite tous ses adhérents et sympathisants à s’y rendre nombreux »
Communiqué du 17 mars 2011
« Elections cantonales : Puisque les partis parisiens dissolvent la société dans la faillite et la médiocrité, dissolvons les à Nice ! »
« Nous appelons les Niçoises et les Niçois, ceux qui votent encore et ceux qui, écœurés ne votaient plus, à se mobiliser pour rejeter dos à dos tous les partis politiques français car ils sont hautement nuisibles à Nice.
Nous leur demandons de porter leurs suffrages sur nos candidats, M. Gilles ZAMOLO, dans le 3e canton, M. Thierry VALLIER, dans le 5e canton et M. Claude SENNI dans le 7e canton.
Le Parti Niçois à choisi des candidats d’une haute valeur morale, qui par dessus tout aiment Nice et connaissent les problèmes de ces cantons car ils y demeurent depuis longtemps. Apolitiques, ils seront plus à même de défendre les intérêts des Niçois, sans se préoccuper des directives des appareils parisiens »
« Il est grand temps qu’à Nice, cesse le règne néfaste des partis où sévit un carriérisme forcené, contraire à l’intérêt général de la population. Leurs représentants dans notre ville, à tour de rôle, dissolvent allégrement nos impôts dans le puits sans fond des dépenses inutiles, des gaspillages éhontés et des réalisations calamiteuses comme l’Eco-Vallée. A Paris les partis qui ont fait une OPA sur l’Etat, dissolvent moralement et économiquement la société qu’ils sont censés gérer. Ils la ruinent et l’avilissent en dissolvant le goût du travail, les valeurs, l’intelligence, les initiatives privées, les particularismes, le goût d’entreprendre, dans une médiocrité programmée et orchestrée par les médias complices. Aujourd’hui, l’égalité dans l’effort, dans les devoirs, dans la réussite, dans l’aspiration à l’excellence, seules valeurs profitables d’une communauté humaine, sont dissoute dans une pseudo égalité de caniveau qui n’est que démagogie »
« Afin de mieux réduire les Niçois à leur merci, les partis politiques français leur imposent les théories vénéneuses et les poisons mortels issus de leurs alambics d’apprentis sorciers décadents. Aujourd’hui ils osent même tenter de dissoudre l’identité niçoise dans la déliquescence française ; leur but est de faire taire toute voix protestataire à Nice. L’identité niçoise est gravement menacée : ils prétendent marier Nice et Marseille et notre Ville qui est riche de vingt-cinq siècles d’histoire, disparaît en tant qu’entité particulière dans la formule Nice-Côte d’Azur, insipide non-sens historique, inventé au siècle dernier par l’écrivaillon français dijonnais et bonapartiste, Stéphene Emile Liégeard ! Récemment, les jacobins parisiens, ont dissout le plus célèbre des groupements de supporters du Gym niçois, sous de fallacieux prétextes, car ses membres montraient trop bruyamment leur amour pour Nice. Il convient de réagir très fermement à ces attaques pernicieuses et malfaisantes contre notre identité en installant la société civile niçoise au pouvoir dans notre Pays Niçois »
« Les Niçois subissent des atteintes diverses qui ne sont plus supportables. Les élections cantonales nous donnerons l’occasion de dissoudre le pouvoir des partis politiques à Nice, en rejetant la droite, la gauche, et leurs satellites, sans oublier les tenants de l’extrême droite européenne, ridiculement déguisés en Niçois, alors qu’ils servent le nationalisme français au front bas »
« Défendons notre drapeau et dissolvons donc les ennemis de Nice dans les urnes les 20 et 27 mars prochains ! Issa Nissa ! »