Communiqué du Secrétariat du Parti Niçois/Partit Nissart du 26 février 2011
« Le Parti Niçois/Partit Nissart, informe le public qu’il rejette les partis composant le système politique français. Contrairement aux informations parues dans le quotidien Nice-Matin, ses candidats aux prochaines élections cantonales dans les 3e, 5e et 7e cantons de Nice, sont classifiés officiellement comme « Régionalistes » dans le tableau officiel des appartenances politiques établis par la Préfecture des Alpes-Maritimes. Le quotidien Nice-Matin à été mis en demeure, ce jour, de rectifier ses informations erronées et se mettre en conformité avec le classement préfectoral qui seul fait foi ».
Désignation des candidats aux éléctions cantonales
« Le Parti Niçois – Partit Nissart informe les Niçoises et les Niçois qu’il présentera des candidats aux prochaines élections cantonales. Le Bureau politique a déjà désigné comme candidats dans les 3e, 5e, et 7ecanton de Nice :
Le Bureau politique est en consultation afin de décider s’il présentera des candidats dans d’autres cantons. Nous demandons à tous nos adhérents et sympathisants, de porter leurs suffrages en masse sur nos candidats désignés.
Comme nous l’avions annoncé, le Parti Niçois/Partit Nissart, ne présentera pas de candidat dans le 14e canton de Nice afin de ne pas gêner le front anti-Estrosi. Nous demandons à tous nos adhérents et sympathisants votant dans le 14e canton, de ne pas porter leurs suffrages sur la candidate UMP, Mme Estrosi-Sassone, ni sur le candidat de l’Entente républicaine, M. Peyrat.
Nous leur demandons également, dans les cantons où nous ne serions pas présents, de ne pas porter leurs suffrages :
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sur les candidats UMP, alliés ou apparentés
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sur les candidats de l’Entente républicaine
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sur les candidats du Bloc identitaire français, parti d’extrême droite national se présentant à Nice, sous le vocable niçois de Nissa rebela. »
Le Président du Parti Niçois/partit Nissart :
Alain Roullier-Laurens
Réaction de M. Alain Roullier-Laurens, Président du Parti Niçois au sujet de l’alliance de M. Peyrat avec le Front National
« En dix jours à peine, l’ex-maire de Nice, a commis deux erreurs politiques majeures : l’alliance avec un groupuscule qui se pare du vocable niçois de « Nissa rebela » , mais qui est en réalité l’émanation directe du Bloc identitaire, parti d’extrême droite français connu pour ses provocations indignes, comme la distribution de soupe au cochon, puis le rapprochement avec le Front national qu’il avait quitté en 1994 pour pouvoir prétendre à la mairie de Nice. Allié ponctuel et sous conditions, de Jacques Peyrat, sur la liste duquel je figurais en 11e position en 2008, je me dois de réagir. Les 33000 électeurs qui nous avaient accordé leurs suffrages, n’ont pas voté pour l’extrême droite, et aujourd’hui se voient floués. J’avais mis en garde Jacques Peyrat au sujet de son entourage ; devant cette dérive plus que malsaine, je suis contraint de me désolidariser de lui. Ni l’ambition politique, ni la vengeance ne peuvent justifier un renoncement aux valeurs humanistes et républicaines ».
Alain Roullier-Laurens
M. Rudy Salles fait de la voyance
Communiqué du Parti Niçois/Partit Nissart du 14 janvier 2011 : « Nous sommes surpris à plus d’un titre par un article paru sur un média du web ; le titre laisse penser que M. Rudy Salles (dont le père est bien connu des Niçois puisqu’il fut l’un des principaux protagonistes de l’affaire « Nice-Opéra » laquelle coûta 400 millions de francs aux Niçois à la fin de l’ère Médecin) fait de la voyance directe en ligne : « Rudy Salles prédit une grande année 2011 pour Nice ». Ce qui est certain c’est que ce sera une année mémorable pour le portefeuille des contribuables, compte tenu de l’argent gaspillé par la municipalité et de toutes les augmentations annoncées.
« M. Salles critique ensuite M. Bayrou, qui selon lui « est contre tout le monde, majorité et opposition ». Le monde politique pour M. Salles, se résume donc à la droite et à la gauche en dehors desquelles rien n’existe. C’est ce que ses amis et lui proclament « démocratie »... Un club fermé composé de deux membres qui exclut toutes les autres sensibilités politiques au profit de deux partis frères jumeaux et complices de fait, qui se partagent le pouvoir depuis trop longtemps et empêchent tous les autres d’avoir droit au chapitre.
« Il indique ensuite que pour les cantonales de cette année « ces élections ne doivent pas juger de la politique nationale ». Il oublie seulement que la politique nationale influe grandement sur la politique locale ; sa demande prouve également que la politique nationale est catastrophique, dans le cas contraire, il ne demanderait évidemment pas d’ignorer la politique nationale.
« Il indique ensuite que Mme Moreau sous l’étiquette « Nice Ensemble » « essaiera de gagner le siège qui est aujourd’hui propriété de M. Mottard ». Il faut rappeler à ce grand démocrate qu’une élection n’est pas une loterie et que les sièges n’appartiennent pas aux élus.
« M. Salles explique aussi que cette année « Nice-Métropole » récupérera des compétences dévolues au Conseil régional et au Conseil général, nouveau statut avec lequel Nice sortira de la tutelle de Marseille ». Ceci est une belle galéjade marseillaise, car les fameuses « compétences » sont la plupart du temps des secteurs déficitaires dont l’Etat se décharge sur les régions pour ne pas avoir à payer...
« Bouquet final, il compare ceci « au rattachement de Nice à la France, et dans des temps plus récents, à la fondation de notre université qui nous a permis de nous affranchir de celle de Marseille-Aix ». S’il fait de la voyance pour l’avenir, M. Salles, falsifie le passé et en particulier l’histoire de Nice car ses propos sont l’inverse de la réalité. Nice possédait une université depuis quelques siècles avant l’annexion ; elle fut supprimée par la France après l'invasion de Nice en 1860. Et c’est Jean Médecin avec l’aide de lettrés et de Professeurs qui peu à peu, la récréa à Nice. Elle ne fut donc pas fondée mais récupérée à la force du poignet, alors que la France nous l’avait enlevée. Les raccourcis historiques de M. Salles cadrent parfaitement avec les mensonges débités l’année passée lors des commémorations que l’on sait.
« Ce que M. Salles, dans sa clairvoyance n’a pas vu, c’est que les Niçois en ont assez du régime des partis, et que cette « grande année », le parti Niçois va entrer en lice, afin de donner la possibilité aux niçoises et aux niçois d’échapper à la pieuvre politique parisienne qui étouffe Nice. Ce sera donc une grande année, mais pas comme il le l’entend. Il semble que si, pour l’instant, il a réussi en politique, il vaut mieux qu’il n’ouvre pas d’officine de voyance ».
Communiqué du 2 janvier 2011
Le bureau politique du Parti Niçois/Partit Nissart, a décidé de présenter des candidats lors des prochaines élections cantonales. Certains d’entre eux ont déjà été désignés. Ils appartiennent à la société civile et ont été choisis en fonction de leur implication pour Nice et leurs quartiers. Ils sont tout à fait étrangers au système politique parisien qui a tant nuit à notre ville. Leur programme sera de porter haut les couleurs de Nice, d’améliorer la vie quotidienne des Niçois, de veiller au bon emploi des deniers publics, de promouvoir notre culture et notre identité niçoise, totalement mises sous le boisseau par l’actuelle municipalité. Dans le cas spécial du XIVème canton , le bureau politique n’a pas cru bon de présenter de candidat, afin de pas gêner par une inopportune dispersion des voix, ceux qui s’opposeront à Mme Estrosi-Sassone et à son parti. Il est grand temps que les niçoises et les niçois se constituent en force politique indépendante et purement niçoise pour faire entendre leur voix et reprendre le pouvoir chez eux. Le Parti Niçois : Partit/Nissart, s’y emploiera
Communiqué du Parti Niçois du 14 novembre 2010
« Ce soir, le couperet élyséen est tombé. Il semble que M. Estrosi n’ait pas réalisé que la tâche d’un ministre ne consiste pas à déclamer des formules creuses sur un ton péremptoire, et à prendre des poses devant les photographes. Il n’était pas apprécié à Paris dans les cercles dirigeants et très affaiblis à l’U.M.P, où des figures de proue du mouvement, ne cachaient pas leurs sentiments à son égard. Le président de la République, et le Premier ministre en ont tiré les conclusions. Durant son passage au ministère de l’Industrie , la France a perdu 200 000 emplois industriels, ce qui conduit certains à le qualifier de « ministre des fermetures d’entreprises ». L’on connaît aussi dans la capitale, les sentiments qu’éprouvent de plus en plus de Niçois à son égard, lesquels se traduiront dans les urnes lors des prochaines échéances électorales. Quand le capitaine d’un navire veut gagner une course, il fait jeter les poids inutiles à la mer, quand un gouvernement joue une course de vitesse avec la crise, il fait de même. La disgrâce s’est même fait sentir dans les médias, qu’affectionne M. Estrosi ; son nom n’a pratiquement pas été cité et la Chaîne France 2 l’a même « oublié » dans la liste des sortants... Cruelle réalité, que de périr par là où l’on pensait régner...
« Revenu enfin à Nice, qu’il a trop longtemps délaissée alors qu’il avait promis de quitter son ministère pour s’y consacrer, il va trouver une opinion aussi sévère pour lui, qu’à Paris. il va y trouver aussi le désert politique, social et culturel, qu’il y a laissé et un mécontentement croissant, contenu pendant trois ans, mais qui va certainement faire bouger les lignes lors des prochaines échéances électorales. Si à Paris, il est « le ministère de la fermeture d’entreprises » à Nice il est le maire fantôme qui a augmenté sensiblement les impôts locaux, bunkérisé la mairie, fait installer une forêt de caméras dans les rues et reconduire chez eux deux mineurs après le couvre-feu qu’il a fait instaurer, lequel était présenté comme une panacée pour renforcer la sécurité et la protection des jeunes. A ce bilan qui se passe de commentaires, il faut ajouter, la coûteuse affaire des jeux olympiques, du tram sur la promenade et le gaspillage éhonté des fonds publics en publicités inutiles dans le quotidien local.
En trois ans, le maire, a fait à Nice la preuve de son incapacité à gérer cette ville ; le déluge de photographies de sa personne parues dans le quotidien local depuis son élection, n’y changera rien, car en politique la bilocation ne conduit pas à la canonisation, mais à la mise la retraite.
Nice est un navire sans capitaine et sans gouvernail ; tout nous prouve depuis trois ans, que la situation ne peut notablement évoluer, sinon en pire. Les paillettes, les effets d’annonce, les emplâtres sur une jambe de bois, le gaspillage des fonds publics, le total mépris de l’identité niçoise, le « mariage de Nice avec Marseille » et la promotion de l’écharpe du club de football Monaco, que le maire porta publiquement, cela suffit. Les Niçoises et les Niçois doivent prendre les choses en main.
Le comité politique du parti Niçois se réunira très prochainement pour préparer les prochaines élections cantonales et décider s’il sera présent lors de ce scrutin. En attendant, nous demandons aux Niçoises et aux Niçois de se mobiliser pour Nice et de soulever l’éteignoir que l’actuelle municipalité à mis sur la ville – fin de communiqué »
T-shirt du 150e anniversaire de l'annexion de Nice
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Communiqué du Parti Niçois du 1er Mai 2010
« Tarifs pratiqués par l’épicerie Marianne & C° :
Pompiers pyromanes, notaires escrocs, CRS inculpés de vol en réunion, policiers filmés en flagrant délit de vol ; associations caritatives mises en examen pour escroquerie en bande organisée ; Préfète suspendue et soupçonnée de vols et détournements ; élu UMP inculpé de corruption de mineur. Tarif : non encore communiqué
Ministre qui gaspille 116 000 euros en utilisant un jet privé. Tarif : légère réprimande
Gendarmes coupables de faux et usage de faux lors de la rédaction de PV. Tarif : cinq et deux mois de prison avec sursis.
Ex ministre de l’intérieur et sénateur coupable de corruption passive et de complicité et recel d’abus de bien sociaux. Tarif : un an de prison avec sursis.
Supporter de foot Niçois éméché qui brûle des feux. Tarif : trois mois de prison ferme et confiscation du véhicule.
Port de burqa. Tarif : 150 euros envisagés.
Journal qui truque les sondages afin de complaire à un politicien local. Tarif : Néant
Attaque de conducteur de tram au sabre. Tarif : trois mois ferme et trois mois avec sursis.
Association de fait de supporters qui soutiennent le Gym de Nice et l’identité niçoise. Tarif : Dissolution collective. Interdictions de stade.
Détournement de 105 367, 74 euros de fonds public dans l’affaire du Golf de Nice : Tarif : aucune peine, passé en pertes et profits au débit de la collectivité.
Port en réunion de vêtements portant le sigle de l’association niçoise dissoute. Tarif : jusqu’à deux ans de prison et 30 000 euros d’amende.
L’épicerie Marianne & C° qui est au bord de la faillite impose des prix véritablement prohibitifs aux Niçois que, visiblement, elle n’apprécie pas. Il est temps de changer de crémerie et de renvoyer ses représentants à Nice à leur siège social parisien».
DISSOLUTION DE LA BSN . Le coq gaulois veut détruire le particularisme niçois.
Communiqué du parti Niçois du 29 avril 2010 : « Comme il fallait s’y attendre, la BSN a été dissoute sous de fallacieux prétextes. Le décret de dissolution est une déclaration de guerre aux vrais Niçois, qui défendent leur drapeau. Le coq gaulois, les pattes sur un tas de fumier nauséabond, irrité et affolé que sa basse-cour prenne l’eau de tous côtés et que la révolte gronde, donne des coups d’ergots à tout ce qui bouge. Beaucoup de Niçois ne sont point encore lobotomisés par le système politique français, et lui résistent ; ils deviennent des cibles à abattre à tout prix. La gestion catastrophique des politiciens a conduit l’hexagone gaulois à la totale ruine, partout souffle un vent de rébellion. Les Niçois sont les premiers dans la ligne de mire car leur particularisme ancestral, et leur goût de la liberté inquiète le pouvoir parisien. Le mensonge sécuritaire, prétexte à la dissolution de la BSN ferait rire un cheval de bois, s’il n’était pas un pas de plus vers la dictature.
La sécurité des populations est le dernier souci des politiciens, et sert de prétexte à bâillonner les forces vives. Ce n’est pas par hasard, que sous la houlette du ministre-maire, Nice a été décrétée « laboratoire » de ce système attentatoire aux libertés de chacun. Depuis que l’on ne peut plus entrer à la mairie de Nice sans être enregistré (et donc fiché) à l’entrée, que des centaines de caméras ont été installées partout, que tout est surveillé, que les gardes à vues se multiplient pour des vétilles, que de dangereux flash-balls sont utilisés, depuis que les citoyens n’ont plus le droit que de se taire, et de lire une presse mensongère et vendue au pouvoir, la délinquance a-t-elle été résorbée ? Les rues sont elles sûres ? Elles le sont moins que jamais. Il est notoire que tous les dispositifs répressifs ne pèsent pas sur les délinquants, dont beaucoup sont relâchés avant que leurs victimes ne soient sorties du fatras administratif qu’on leur impose, mais sur la population que l’on prétend protéger ; les citoyens subissent à la fois une délinquance croissante, une très importante restriction de leur liberté, et les dérives des détenteurs le l’autorité.
La dissolution du groupe de supporters niçois qui portait haut les couleurs de Nice, n’est pas une mesure sécuritaire, c’est une tentative de mettre à la botte les forces vives niçoises qui défendent leur identité. L’identité niçoise a toujours été la bête noire du pouvoir central. On l’a vu en 1860, quand Nice, envahie militairement, a perdu sa liberté après un scandaleux plébiscite truqué, on l’a vu en 1871 quand le pouvoir jacobin a répondu au vote des urnes par des fusiliers marins, des canons et des mitrailleuses. Aujourd’hui la répression prend d’autres formes ; depuis peu, sa brutalité suggère que l’on pourrait bien revenir aux anciennes méthodes coloniales.
Mais les Niçois sont toujours là, et ils sont toujours Niçois ; ils n’ont pas été formatés dans le moule jacobin, et aujourd’hui ils se rebiffent et n’acceptent pas la muselière que l’on veut leur imposer sous prétexte de sécurité. Qu’attendre du système en place ? Information dirigée, sondages truqués, charcutages électoraux, lois de circonstances, confiscation du pouvoir par le biais de l’argent et des médias... Les Niçois ne peuvent rien attendre du système politique français, sauf un complet asservissement, la ruine, et leur disparition programmée, en tant qu’entité particulière.
Il est grand temps de se rassembler, pour faire face à ces multiples agressions contre notre identité et nos intérêts. Les politiciens français n’ont plus de légitimité à Nice, si tant est qu’ils n’en aient jamais eu. Ne croyez pas que la gauche va vous sauver de la droite et que la droite va vous sauver de la gauche ; ces forces ne sont pas opposées, elles sont cousines et se partagent le pouvoir comme un bien de famille. Le parti Niçois a été fondé pour défendre les intérêts de Nice et des Niçois en dehors de la politique française. Rejoignez le, demain, il sera trop tard ».