NOM DU GRAND STADE DE NICE : LE CHOIX DE LA HONTE !!!
Communiqué du Parti Niçois/Partit Nissart du 27 juillet 2012
« Le nom attribué au futur Grand stade de Nice a stupéfait la population et les supporters : les responsables ont fait le choix de la honte, alors que tout le monde attendait qu’ils fassent le choix de la gloire en le baptisant « Garibaldi ». Dans une société française où tout est à vendre, il n’est pas étonnant que l’argent ait conduit certains à cette intolérable indignité.
« Dans une ville qui a eu beaucoup à souffrir le l’occupation lors de la seconde guerre mondiale, où l’on a fusillé des jeunes otages du Lycée Masséna, torturé des résistants, déporté opposants et minorités religieuses, d’où des convois sont partis vers les camps d’extermination, nommer « Allianz » le grand stade de Nice est une insulte à leur mémoire. C’est aussi une insulte à leurs descendants, qui décemment ne pourront pas mettre les pieds dans un stade qui porte le nom d’une société qui à l’époque nazie assurait entre autre le personnel du camp d’extermination d’Auschwitz, et les bâtiments, fours crématoires, laboratoires où l’on procédait à de hideuses expériences, et sans doute aussi les chambres à gaz et les stocks de Zyklon B.
« Après la destruction, lors de la nuit de cristal, des biens appartenant à des juifs, soit 200 synagogues et 6500 magasins, puis à l'exode et aux déportations qui suivirent, cette société qui assurait beaucoup des biens détruits, remboursa... les nazis auteurs des déprédations !
« Cette société, autrefois très liée au parti nazi, dont le directeur général Kurt Schmitt devint même ministre du Reich, en ne changeant pas de nom après la guerre, a montré clairement qu’elle ne rejetait pas catégoriquement son noir passé qu’il convient de rappeler brièvement. Fouiller dans les latrines de l’Histoire n’est point agréable, mais il convient de le faire, pour rappeler aux financiers immoraux que l’indignité flétrit, qu’elle marque une société au fer rouge, et que l’honneur, et la dignité n’ont pas de prix.
« Aux Etats-Unis, où pourtant le capitalisme règne, une levée de bouclier a empêché ce qui malheureusement est arrivé à Nice. En effet, alors que cette société s’implantait dans le pays, la presse et notamment le New York Time, dévoilèrent, en 2008, les négociations secrètes de la société Allianz avec les équipes New-Yorkaises des « Jets » et des « Giants » aux fins de donner son nom au stade de Meadowlands en échange du versement de 25 millions de dollars par an à ces deux équipes. Les journaux dévoilèrent à cette occasion « que cette société assurait les installations des camps de concentration et adressait aux nazis l’argent dû aux légitimes bénéficiaires Juifs »...
« La présidente Républicaine du Comité des Affaires étrangères de la Chambre des Représentants, dénonça, elle aussi le scandale et déclara dans les médias : « Allianz n’est pas un conglomérat ordinaire de l’assurance ; cette compagnie a été impliquée dans l’une des plus grandes atrocités de l’histoire récente et a usé de longues manœuvres dilatoires pour éviter d'affronter la responsabilité de ses actes. Il est largement temps pour Allianz de payer sa dette aux survivants et aux familles qui ont souffert des conséquences de l‘Holocauste ». Des procès sont d’ailleurs toujours en cours, initiés par les victimes et leurs descendants.
« A Nice, motus et bouche cousue... Honte à ceux qui ont fait ce choix et honte aux édiles niçois, qui n’ont pas tenté de s’y opposer ; l’excuse « qu’ils ne pouvaient pas l’empêcher » est tout à fait invalide, car à défaut de pouvoir influer sur la décision, ils auraient dû la dénoncer hautement et faire pression sur les financiers pour éviter que Nice soit associée à l’idéologie brune. Les Niçois qui se faisaient encore quelques illusions sur la moralité des uns et des autres, apprécieront et en tireront les conclusions qui s’imposent.
« Aucun niçois digne de ce nom ne peut nommer le Grand stade : « Allianz » et les supporters vont obligatoirement le baptiser à leur guise. Devant le tollé provoqué dans la ville par ce scandale, l’on précise, dans l’entourage du maire qui une fois de plus n’a pas été à l’auteur des attentes des Niçois, c’est le moins que l’on puisse dire, que « l’on étudiait des projets associant l’identité niçoise au stade et même une tribune « Garibaldi... ». Une telle affaire ne peut être solutionnée par de la poudre aux yeux quand on à laissé, sans au moins réagir, souiller la réputation de la Ville et l’honneur des Niçois.
« Le couperet des prochaines élections municipales se profilant à l’horizon, le pouvoir municipal se souvient brusquement et bien trop tard, que les Niçois, méprisés jusque là dans ce qu’ils ont de plus cher, à savoir leur identité, existent et que l'identité niçoise n’est pas morte. Mais comment pourrait-t-on faire confiance à un personnage qui depuis le début de son mandat a porté de très graves atteintes à l'identité niçoise ? Un personnage qui a fait la promotion du dictateur napoléon le petit, qui a fait installer les ferrailles de la honte, commémorant un mensonge et qui, désirant récupérer l’ancien palais communal pour caresser les Niçois dans le sens du poil, songe d’abord à y installer les portraits de tous les présidents de la république française à commencer par napoléon III qui renversa la République et annexa Nice par une invasion militaire et un plébiscite truqué... Déposer des gerbes et prononcer des discours lors des commémorations, pour s’assurer une publicité médiatique est une chose, mais quand les faits démentent les photos et les discours, la société civile doit fermement réagir et boycotter les coupables.
« Les Niçoises et les Niçois ne sont pas des pantins que l’on retourne dans le sens désiré quand on a besoin de leurs suffrages. Il est grand temps de nettoyer les écuries d’Augias, et le Parti Niçois/Partit Nissart, contribuera à le faire en dénonçant, d’une part toutes les malfaisances et atteintes à notre identité et d’autre part, en présentant une liste lors des prochaines municipales. Issa Nissa ! »
A Nice les députés UMP sont élus avec 53 % d’abstention - Communiqué du Parti Niçois/Partit Nissart – 20 juin 2012
« La grande foire d’empoigne jacobine qui a duré plusieurs mois est enfin terminée. Dans notre Ville et le Pays de Nice, les bulletins nuls et les abstentions sont en très forte augmentation ; nous nous en félicitons puisque nous avons prôné le dépôt dans les urnes de bulletins réclamant la liberté de Nice et que ce vote n’est quantifiable qu’en votes comptés pour nuls, ou éventuellement en abstentions. Le parti de l’incapacité arrogante a été écrasé ; il est remplacé par son pendant jacobin, le parti de l’incompétence béate. Ces frères jumeaux ont beaucoup de points communs, ils pratiquent tous deux la démagogie, la fuite en avant et verrouillent l’accès au pouvoir qu’ils se partagent tour à tour.
« Cette modification du paysage politique ne changera rien pour les Niçoises et les Niçois, car la situation catastrophique du pays dont ces deux partis sont conjointement responsables, transforme ipso facto les élus quels qu’ils soient, en syndics de faillite. La réalité demeure, elle se résume à un chiffre : 1700 milliards de dettes, accumulées durant plusieurs décennies par les politiciens de droite et de gauche.
« Dans les circonscriptions du Pays de Nice, les élus UMP se sont effondrés en terme de suffrages si on les compare à ceux précédemment obtenus par l'ex président, lequel en avait aussi perdu beaucoup depuis son élection ; si l’on ajoute à cela 53 % d’abstention, ces élus ne représentent plus grand chose, même s’ils se créditent de pourcentages ronflants calculés en fonction du nombre des suffrages exprimés non en fonction des électeurs inscrits. La gauche pour autant, n’a pas profité chez nous de cette situation et ses résultats sont également hypothéqués par l’énorme taux d’abstention. Ceci démontre à l’évidence que de très nombreux Niçois rejettent de plus en plus les partis parisiens, ce qui ne peut que nous réjouir, car nous avons toujours dénoncé leurs nuisances et appelé les Niçois à les bouter hors de Nice.
« Tout porte à croire que la désaffection pour les partis parisiens, responsables de tant de maux s’accentuera encore lors des prochaines échéances électorales car les électeurs ont bien compris que la démocratie n’est plus qu’une façade, derrière laquelle les politiciens, les appareils des partis, les médias et les forces d’argent dénaturent la volonté populaire par divers artifices et combinaisons.
« Alors sera venu le temps pour les Niçoises et les Niçois de porter une force exclusivement niçoise, qui évincera les politiciens et installera la société civile au pouvoir municipal. Tout est à restaurer dans notre Ville, souillée et très gravement pénalisée par la déliquescence française. Notre identité particulière, que certains politiciens locaux à la botte des grands partis qui en contrepartie assurent leur longévité politique et les solides indemnités afférentes, croyaient avoir laminé, est toujours debout. Et c’est elle qui nous soudera autour de notre drapeau ancestral, blanc, frappé de l’Aigle rouge. Le Parti Niçois/Partit Nissart, mènera ce combat, et appelle d’ores et déjà les vrais Niçois à se mobilier pour assurer la victoire du Peuple Niçois, lors des futures élections municipales. Issa Nissa » fin de communiqué
1860 : annexion ou rattachement ?
À l'occasion des "journée impériales" se tenant ce week-end à Nice et faisant la promotion de Napoléon III à l'occasion des 150 ans de sa mort, le délégué des Alpes-Maritimes pour "souvenir Napoléon", affirme sur un plateau de télévision que le plébiscite de 1860 n'était pas truqué, nous ressortant le mythe du rattachement libre et consenti des Niçois à la France.
Julien Llinares, président du Parti Niçois et animateur de la chaîne "Pais TV" répond au délégué du Souvenir Napoléonien :
PETITIONS
Face à la désertification institutionnelle et infrastructurelle du Pays Niçois, des citoyens et des associations se mobilisent, nous les soutenons et partageons leurs combats. Retrouvez sur cette page leurs pétitions à signer et partager.
NON aux fermetures des gares Tende Sospel La Trinité Garavan Carnoles Villefranche/mer
Contre la délocalisation du centre de tri postal de Nice à Toulon
NON à la Prison sur le plateau Tercier !
Contre la fusion des académies de Nice et d'Aix-Marseille
Nice en deuil
Suite à l'événement tragique qui s'est passé cette nuit sur la Prom', le Parti Niçois ne fera aucun autre commentaire, ni ne réagira à chaud sans avoir toutes les informations en main; l’heure n’est ni aux commentaires ni aux spéculations, mais au recueillement. Ce soir des Niçoises, des Niçois, des touristes visitant notre ville sont morts, nous sommes tous touchés en plein cœur et tous horrifié par ce drame. Nos pensés vont d'abord aux familles et aux amis des victimes.
Disparition de Jeanne Venturino
Nous avons l'immense tristesse de vous annoncer le décès de "Tata" alias Jeanne Venturino en ce 22 mars 2016, sans domicile fixe et sans un sou. Nous apportons toute nôtre sympathie à la famille et aux proches en ces difficiles moments.
Président actuel
Julien LLINARES, né à Nice le 10 décembre 1983.
Président du Parti Niçois depuis 2014.
« Postier de métier, je suis d’un naturel assez curieux, je m’intéresse à de nombreux sujets mais je suis avant tout passionné d’Histoire.
Mon attachement à l’Histoire et à la culture du Pays Niçois je la dois à deux éléments essentiels :
Ancien président
Alain ROULLIER-LAURENS (Nice, 18 septembre 1946 – Nice, 26 janvier 2014)
Il fondera le Parti Niçois en 2010 qu’il présidera jusqu’à sa disparition en 2014.
Historien et écrivain, Alain Roullier-Laurens est l’auteur de nombreux ouvrages, préfaces et articles culturels et politiques.
Artiste, auteur et conférencier
Initiateur et responsable de projet associé à l’UNESCO où il a été conférencier, il organisera en partenariat avec l’UNESCO dans le cadre de « la route de l’esclave », un hommage international à James Baldwin (qui lutta pour les droits civiques aux côtés de Martin Luther King) et écrira un ouvrage relatant la vie de James Baldwin ; « le gardien des âmes »
Russophile, il organisera avec la ville de Villefranche-sur-Mer « les fêtes Russes » en 1996 à l’occasion du 150e anniversaire de l’arrivée à Villefranche de la tsarine Alexandra Féodorovna, veuve de Nicolas Ier.
Egalement peintre et sculpteur, classé dans la mouvance « figuration libre », il obtiendra plusieurs distinctions dans plusieurs expositions, il présente, entre autres, à une exposition « Art Jonction » de Nice, une sculpture nommé « la Mémoire de l’Art », il figure dans le Bénézit (dictionnaire de référence des peintres, sculpteurs dessinateurs et graveurs du monde entier).
Défenseur et promoteur de l’identité niçoise.
Il contribuera notablement au soutien et à la promotion de la culture niçoise par ses chroniques dans divers journaux et revues niçoises ; il est, jusqu’en 2001, membre du comité de rédaction de la revue niçoise Le Sourgentin dans laquelle il publie de 1992 à 2001 de très nombreux articles culturels et historiques, constituant parfois le thème central de la revue, comme « Les Russes à Nice », « Le Palais de la Méditerranée », ou « Le marché au puce de Nice »
Il défend également l’intégrité de la façade du Palais de la Méditerranée due au grand sculpteur Antoine Sartorio et classée à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques par Jack Lang. Fondateur de l’association « Palais Méditerranée », il dépose un recours devant le tribunal administratif de Nice et contribue à annuler un projet de construction déposé par la société FRADIM, lequel prévoyait l’érection d’un bâtiment dépassant en hauteur la façade classée, qui aurait défiguré la promenade des Anglais.
Ses recherches sur l’histoire niçoise permet de faire découvrir de très rares ouvrages d’auteurs niçois du XIXe siècle, en les traduisant de l’italien et en les faisant publier dans la collection « les Cahiers de l’Annexion » : Paraît en 2006 Nice contemporaine publié à Londres en 1871 par l’érudit et conspirateur républicain Henri Sappia (qui fonda plus tard la revue Nice historique et l’Acadèmia Nissarda) relatant le vote séparatiste niçois de 1871 et la répression française qui s’en suivie. En 2009 Nice 1792 - 1814, ouvrage rare du Niçois Joseph André, qui relate l’invasion révolutionnaire à Nice, la résistance des Barbets et les multiples exécutions, pillages et exactions que subit Nice de 1792 jusqu’en 1814. En 2011, paraît Souvenirs historiques et documentés de 1860 de Pierre-Louis Caire, qui à l’âge de 19 ans assista à l’annexion de Nice et s’exila en Italie où il devint magistrat.
Ces ouvrages révèlent ainsi une autre version de l’histoire de Nice.
Renaissance du nationalisme niçois et participation électorale
Mais il se fera connaître surtout en fondant l’association Ligue pour la Restauration des Libertés Niçoise (2001) et en publiant Nice demain l’indépendance (2003) et contribuera à remettre la pensée nationaliste niçoise sur le devant de la scène politique. Avec cet ouvrage et son association Alain Roullier-Laurens prouve la caducité du traité de Turin de 1860 et se battra dès lors pour faire reconnaître les Niçois en qualité de « peuple avec des droits légitimes à l’autodétermination » notamment par l’autonomie ou l’indépendance du Pays de Nice.
En 2001 il présente une liste aux élections municipales de Nice.
En 2008 lors des élections cantonales il arrivera en 3e position dans le canton de Nice-1 (correspondant alors approximativement au Vieux-Nice et au Port)
Le 24 mars 2010, jour du 150e anniversaire de la signature du traité de Turin qui annexera Nice et la Savoie à la France, il signe à Genève, conjointement avec Jean de Pingon, fondateur de la Ligue savoisienne « la déclaration de Genève » : Dans ce texte, les signataires informent les puissances parties prenantes au traité de Paris du 10 février 1947, de l’abrogation du traité de Turin, du fait du non-respect par la France des dispositions impératives énoncées à l’article 44 du traité de Paix. Ils demandent en conséquence qu’en raison du nouvel état de droit en résultant, les Niçois et les Savoisiens soient consultés officiellement et puissent manifester librement leur volonté, quant au destin politique de leurs pays, par un vote organisé et contrôlé par l’ONU.
C’est précisément ce jour, le 24 mars 2010, depuis Genève, qu’Alain Roullier-Laurens fonde le Parti niçois/Partit Nissart dont le but est de réunir la société civile niçoise pour la défense des intérêts de Nice.
Fin 2013 il annonce présenter une liste Parti Niçois aux élections municipales de Nice de 2014, mais sa brutale disparition le 26 janvier 2014 met un terme à la candidature du Parti Niçois pour cette élection.
Alain Roullier-Laurens est inhumé, auprès de ses parents, au cimetière de Tourette-du-Château.
Œuvres.
Raspoutine est innocent, France Europe éditions, 1998
Le Gardien des âmes, France Europe éditions, 1998, ouvrage préfacé par Jack Lang.
Révélations, France Europe éditions, 1999
Nice, demain l’indépendance, France Europe éditions, 2003
Garibaldi et Nice, France Europe éditions, 2009, ouvrage préfacé par Giuseppe Garibaldi, descendant direct de Jòusé Garibaldi
La Vérité sur l’annexion de Nice, France Europe éditions, 2010
Masséna, la trahison, les lauriers et les ombres, France Europe Éditions, 2010
Le départ de Sarkosy sonne le glas du pouvoir municipal Niçois
6 mai 2012 - Communiqué du Parti Niçois/Partit Nissart :
« La défaite électorale prévisible de M. Sarkozy est ce soir consommée, après une campagne électorale-spectacle indigne d’une démocratie. Ce changement de président n’effacera pas les 1700 milliards de dette de la France, pas plus que les terribles difficultés économiques qui seront les nôtres. La gauche et la droite qui depuis longtemps confisquent le pouvoir ne sont que deux têtes de l’hydre jacobine qui a tant nui à Nice, dans le passé comme aujourd’hui, avec une constance perverse soutenue.
« Nous nous devons d’analyser la nouvelle situation politique à travers un prisme niçois. Le pouvoir municipal à Nice, qui a tant porté atteinte à l’identité niçoise, se trouve fort affaibli, par les événements de ce jour. De cela nous devons nous réjouir, mais le combat continue. Il convient de préparer les prochaines élections municipales afin d’installer la société civile niçoise à la Mairie.
« Nous avons assisté ces dernières semaines à une théâtrale offensive du maire actuel pour récupérer le Palais communal, dont le seul but est de laisser penser qu’il se préoccupe de notre culture ; cette initiative vient bien tard, et juste au moment ou il perd ses appuis parisiens : Tout l’art de se raccrocher aux branches de l’identité niçoise quand on n’a plus de parachute élyséen.... De plus il ne fait que mettre en chantier des mesures prévues aux articles III et VI de l’accord électoral officiel signé par la LRLN avec l’ex-maire le 8 février 2008, mesures programmes qui auraient été immédiatement réalisées en cas de victoire aux élections municipales de 2008.
« Il faudra donc beaucoup plus que cette misérable gesticulation de fin de règne, pour faire oublier aux Niçoises et aux Niçois la falsification historique à laquelle s’est livré le maire actuel en célébrant le 150e anniversaire de l’annexion, en installant à grand frais les ferrailles de la honte et toutes ses atteintes à notre identité particulière. Avec Monsieur Estrosi l’aigle de Nice, coupé en deux est devenu bleu sur les logos et des drapeaux provençaux flottent sur nos lycées. Et ces signes symboliques ne sont que la partie visible de l’iceberg, car les Niçois ne sont plus chez eux et ne peuvent même plus entrer dans la maison commune sans montrer patte blanche.
« Personne n’aura oublié la farce incongrue du « mariage » de Nice avec Marseille, et l’écharpe du club de Monaco portée ostensiblement en public. Monsieur Estrosi, pour assurer sa carrière personnelle à choisi Paris, et il ne trouvera pas de bouée de sauvetage à Nice qu’il a négligé durant tout son mandat. La multitude de photographies de son auguste personne étalée indécemment et presque journellement sur les pages du monopole de presse niçois, ne font que souligner le vide abyssal en ce qui concerne les réalisations municipales, qui pour la plupart d’entre elles ont consisté à inaugurer ce qu’avait réalisé la municipalité précédente.
« En France rien n’a changé, car la droite et la gauche sont sœurs jumelles. En revanche, le départ de Sarkosy sonne le glas du pouvoir municipal niçois, ce dont nous devons nous réjouir. Nous devons rendre plus dure encore la chute des relais de la droite parisienne à Nice en prenant soin de ne pas favoriser les relais de la gauche dans notre ville car seul le rejet des partis parisiens et l’installation de la société civile à la Mairie permettra à Nice d’échapper au triste sort qu’elle connaît actuellement. Nous demandons à nos nombreux adhérents, amis et soutiens, de nous contacter afin de forger ensemble les armes qui donneront la victoire du peuple Niçois en 2014. Issa Nissa ! »