Municipales 2014: Précision du Parti Niçois - Partit Nissart

Parti_nicois_2_1« Suite au ralliement de Mr Gilles Zamolo, qui fut candidat du Parti Niçois-Partit Nissart lors des élections cantonales de 2011, à la liste Bettati-Kandel-Concas et afin d'éviter tout malentendu notre bureau politique tient à préciser que, par le fait qu'il ne fasse plus partie de nos adhérents, la démarche de Mr Zamolo est strictement personnelle et n'engage en rien ni le Parti Niçois ni la LRLN.

Le Parti Niçois communiquera ultérieurement sa position concernant l'élection municipale. »

Fin de communiqué

 

Communiqué du Parti Niçois - Partit Nissart

Parti_nicois_2_1Suite à l'article paru dans l'édition du 27 janvier 2014 concernant le décès de Mr Alain Roullier-Laurens, nous souhaitons apporter quelques rectifications à des informations erronées...

Mr Roullier-Laurens étant né le 18 septembre 1946 avait donc 67 ans et non pas 70.

Le Parti qu'il présidait se nomme le Parti Niçois- Partit Nissart et non le parti de Nice.

Quand à l'incompréhension de Mr Peyrat concernant "son éloignement pour des raisons qu'il ne s'explique pas" , Mr Roullier-Laurens avait largement communiquée sur nos Médias internet qui est, nous le rappelons une fois de plus, l'alliance lors de la cantonale de 2011 avec Nissa Rebela.

Concernant les obsèques de Mr Roullier-Laurens, nous informerons prochainement le Peuple Niçois quand la date définitive sera fixée.

Fin de communiqué

Disparition d'Alain Roullier-Laurens

Parti_nicois_2_1Le Parti Niçois/Partit Nissart et ses sympathisants ont l'immense douleur et tristesse de vous faire part du décés de son président, Alain Roullier-Laurens.

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Vœux du Président du Parti Niçois/Partit Nissart - 10 janvier 2014

Parti_nicois_2_1 « En ce début d’année, j’adresse tous mes vœux à nos adhérents, sympathisants, et à toutes les Niçoises et les Niçois. Il est très probable que cette année sera difficile, et je souhaite que toutes et tous, en particulier les plus faibles, ne voient pas leur situation se dégrader. Ce sera également une année importante pour Nice, car nous aurons à élire une nouvelle municipalité ; j’espère que les électeurs sauront prendre les véritables intérêts de Nice et rejetteront l’extrémisme qui ne donne que des fruits amers. Candidat à cette élection, croyez bien que j’agirai au mieux pour que notre Ville redevienne comme nous l’avons aimé. Alain Roullier-Laurens »

Communiqué de Mr Alain Roullier, candidat aux municipales pour le Parti Niçois/Partit Nissart –Nice le 19 décembre 2013

Parti_nicois_2_1« M. Icart vient de rompre le pacte passé avec l’ex maire de Nice, et c’est une décision d’autant plus sage, qu’il gravitait autour de ce dernier les personnages que l’on sait. L’on peut regretter que M. Icart n’ait pas pris plus tôt, la mesure de l’ego démesuré de son allié, de son total décalage avec la réalité actuelle, attisé par des sentiments revanchards non constructifs pour les Niçois, ainsi que de ses désolantes connivences politiques. Une large liste d’union demeure possible, mais elle ne sera crédible et peut-être victorieuse, qu’à la condition qu’elle ne regroupe pas uniquement des recalés de tous bords, désireux de conserver à tout prix un mandat, mais une large fraction de la société civile niçoise ; si les politiciens ne prennent pas en compte les aspirations populaires, ils iront à l’échec ».

Nice - Hommage à Sosno : La baffe monumentale !!!

Parti_nicois_2_1Communiqué du Parti Niçois/Partit Nissart - 9 décembre 2013 -

« Quand l’on saute à pieds joints sur n’importe quelle occasion pour se construire une auréole de paillettes et bulles de savon médiatique, et que l’on multiplie les occasions de manifestations et inaugurations en période préélectorale, pour enrichir son press-book et alimenter la presse d’une nouvelle photo, on se prend fatalement un jour les pieds dans le tapis.

« Dès le décès de l’artiste, le maire avait fait savoir que le prochain conseil municipal attribuerait son nom au carrefour dit Durandy (ancienne famille niçoise dont les propriétés jouxtaient ce lieu). Ce choix plus que hâtif, contrevenait à la coutume qui veut que cinq ans doivent s’écouler après le décès d’une personne méritante avant qu’on l’honore publiquement de la sorte ; il pénalisait également l’identité niçoise, puisque la famille Durandy figure à l’Armorial du Comté de Nice, ce qui montre une fois de plus que le maire n’a guère de respect pour notre histoire et notre identité, malgré ses gesticulations panbagnatisatrices à Nice, depuis que M. Sarkozy ne régnant plus à, Paris, il lui faut maintenant, bon gré, mal gré, compter sur l’hypothétique appui des Niçois.

« La veuve de l’artiste qui fut à l’origine de la Création du Musée d’Art moderne à Nice, à immédiatement réagi avec une grande dignité en refusant que l’on touche au nom de Durandy ; à l’occasion, elle a rappelé que lieu se prêtait à ce patronyme, non à celui de son époux, et qu’elle n’avait pas été consultée, « seules les pompes funèbres lui ayant demandé d’assister au prochain conseil municipal » !!! Elle a indiqué également dans la presse locale, que son époux avait précédemment proposé au maire de créer à Nice un cimetière pour les artistes, lequel maire « ne lui aurait même pas proposé de véritable rendez-vous pour lui en parler », ce qui avait décidé l’artiste à choisir de se faire inhumer plus tard à Villefranche. Considérant que dans ces conditions, donner le nom de son époux au carrefour Durandy « était plus un affront qu’un hommage » elle refusait et ne serait pas présente au conseil municipal. Belle leçon de savoir-vivre et de dignité que d’aucuns devraient méditer…

« Pris de court par cette décision, le maire, n’a pu que battre piteusement en retraite et faire annuler la délibération projetée. Avec force de paroles lénifiantes, il a assuré que l’on ferait mieux ; pour donner le change, il a même cru bon de préciser que ce carrefour ne portait pas officiellement le nom de Durandy parce qu’il n’avait jamais été baptisé… et, infinie délicatesse : «… qu’on le donnerait à quelqu’un d’autre » !!! Cette piètre explication, aussi désolante dans la forme que sur le fond, prouve seulement que ses anciens prédécesseurs se conformaient, en la matière, à la vox populi niçoise et n’avaient nul besoin d’effets d’annonce et d’inaugurations pour asseoir leur popularité.

« Cette lamentable affaire prouve aussi que celui qui se disait « Niçois jusqu’au bout des ongles » ignore totalement les us et coutumes populaires des niçois en matière de baptêmes de lieux et voies…. A Nice, il est nul besoin de baptême officiel pour attribuer un nom à un lieu. Pas un vrai Niçois n’ignore que sous le second empire, quand on imposa aux Niçois un square Masséna, les Niçois qui n’appréciaient vraiment pas celui qui avait envahi le Comté à la tête d’un bataillon ennemi, prirent l’habitude d’y conduire leurs chiens pour uriner et baptisèrent ce lieu malodorant « Lou coumun de Masséna » (le cabinet d’aisance Masséna, pour demeurer poli..). Le 4 septembre 1870, après avoir appris la chute de Napoléon III qu’ils détestaient (et que le maire actuel a tenté en vain de faire réhabiliter !!!) Les Niçois se sont soulevés, ils ont brisé les plaques de la place portant le nom du dictateur et l’ont rebaptisée eux-mêmes « Place Garibaldi » ; le préfet de l’époque acquiesça pour calmer la colère populaire. Plus récemment le stade Léo-Lagrange fut toujours, nommé « stade du Rai » par les Niçois. Le carrefour Durandy peut donc porter ce nom sans avoir eu le droit à une inauguration officielle… Mais cela, il faut être Niçois pour le savoir… Un chargé de communication, énarque venu de Paris, l’ignore. Malheureusement le maire de Nice l’ignore aussi, ou pire s’en moque totalement.

« Espérons donc que Sacha Sosno soit honoré comme il se doit et que les circonvolutions médiatico-politiques et autres faux-pas, ne ridiculisent plus celui qui, pour l’instant, représente Nice. Il est grand temps que le bon goût et l’à propos prévalent enfin à la mairie de Nice. Mais les prochaines élections municipales permettrons aux Niçois de régler eux-mêmes ce problème… et les autres.. »

 

Municipales a Nice - Sondage de l’UMP : Un éclat de rire homérique ! Communiqué du Parti Niçois/Partit Nissart du 03/12/2013

Parti_nicois_2_1« Nice a été secouée ce matin par un éclat de rire homérique, qui a dû filtrer même derrière les murs de la Mairie bunkérisée par M. Estrosi… « L’institut » de sondage qui, semble- t-il, n’a pu, ou su, qu’interroger une majorité écrasante d’encartés UMP, a donné des résultats tellement peu crédibles qu’ils confinent au ridicule. L’information a été relayée par le quotidien Nice-Matin, qui mérite maintenant le sobriquet « d’Estrosi-Matin », lequel courrait en ville depuis quelques années, ce qui le décrédibilisera plus encore aux yeux des Niçois libres.

« Tout porte à croire que l’UMP est terrorisée de voir la levée de boucliers contre son représentant à Nice, M. Christian Estrosi. Personne n’imagine que le pouvoir municipal sera rassuré par ce « sondage » qui va à contre-courant de ce qui se dit en ville. Il y a même de fortes probabilités que les Niçois furieux d’être pris pour des imbéciles, mettent un point d’honneur à le faire mentir… Ainsi, ledit sondage aura tué politiquement celui qu’il était tenté sauver…

« Celui qui a mené durant bientôt six ans une politique de paillettes et de bulles de savon, ne conjurera certainement pas le mécontentement des Niçois par ce nouvel effet d’annonce qui prête à rire. L’on sent monter au loin une grande vague populaire niçoise, comme Nice en a connu quand il a fallu faire bloc pour éloigner les politiciens dont elle ne voulait plus.

« Pour l’heure, des sondages Niçois ont été mis en place dans la presse libre sur Internet, et nous appelons tous nos adhérents et sympathisants à engager immédiatement dans leur entourage une grande campagne d’inscription sur les listes électorales. Pas une voix ne doit manquer, pour sauver Nice d’un déclin définitif. Mobilisons-nous et regroupons-nous autour de notre drapeau, seule valeur sûre, en ces temps calamiteux. Issa Nissa !!!... »

 

Communiqué de M. Roullier-Laurens, Président du Parti Niçois suite au sondage paru aujourd’hui dans Nice-Matin - 3 décembre 2013

Parti_nicois_2_1« Le sondage politique relatif aux municipales, paru dans le quotidien Nice-Matin, à défaut de convaincre, a provoqué un éclat de rire homérique dans les cercles bien informés de la Ville. Il rappelle étrangement celui qui était paru en 2008, donnant M. Estrosi, triomphant au premier tour. En démocratie, ce ne sont pas les sondages de circonstance qui décident de l’avenir politique, ce sont les urnes. Les Niçoises et les Niçois apprécieront cet effet d’annonce à sa juste valeur, et en tirerons les conséquences ; elles risquent d’être cruelles pour certains, car une fiction qui nie la réalité et les aspirations majoritaires d’un peuple, est une arme à double tranchant. »

Municipales à Nice : le Parti Niçois/Partit Nissart sera présent aux prochaines municipales.

Parti_nicois_2_1Nice, le 12 novembre 2013 - Communiqué du Président du Parti Niçois/Partit Nissart.

« Nice subit les très lourdes conséquences de la déliquescence économique, sociale et morale qui gangrène le pays ; les élites politiques nationales sont totalement déconsidérées, à juste titre. Dans cette situation d’une gravité exceptionnelle, et à l’occasion des prochaines élections municipales, la société civile niçoise doit impérativement se mobiliser pour accéder aux responsabilités et gérer elle-même les affaires de notre ville.

« Nous avons maintes fois dénoncé les errances mégalomaniaques, les effets d’annonce, et un gaspillage éhontés des deniers publics, sur fond de paillettes et de bulles de savon, qui ont caractérisé la mandature qui s’achève ; nous nous sommes souvent élevés contre les atteintes incessantes à l’identité niçoise, à notre culture et à nos valeurs ancestrales, vidées de leur substance et transformées en folklore pour touristes. L’omniprésence médiatique permanente et oppressante du maire sortant, loin d’être une promotion pour la Ville, n’a été qu’une posture au profit d’un seul ; elle ne masquera certainement pas une gestion qui hypothèque l’avenir ; elle ne fera pas oublier que nombre de manifestations et projets dispendieux et inutiles, au bénéfice illusoire, ont été préférés aux actions concrètes en faveur des niçois. Il convient désormais de tourner la page.

« Il est impératif aujourd’hui d’ériger en règle, l’économie des fonds publics, de promouvoir l’identité et les intérêts du Païs Nissart, de recentrer les dépenses, dans de justes proportions, et prioritairement en faveur de la jeunesse, des personnes âgées et handicapées, de l’économie locale, des écoles municipales, du sport, de la sécurité, de l’écologie véritable, et de l’accès à l’habitat, plombé par une spéculation immobilière qui chasse les Niçois hors de chez eux. De même, il convient de mettre en place une politique culturelle digne de ce nom, car celle, fantomatique, qui a été menée depuis six ans, attelée aux modes du moment, n’avait pour but que le paraître, non le savoir.

« Le Parti Niçois/Partit Nissart, sera présent aux prochaines élections municipales pour soutenir ce programme. Il offrira une véritable alternative aux Niçoises et aux Niçois, en présentant une liste d’union, composée de membres de la société civile ; nos concitoyens auront ainsi la possibilité de se défaire des carriéristes et cumulards incapables, de refuser l’extrémisme indigne, d’ignorer les parachutés prétentieux. L’énergie et les compétences de tous étant nécessaires pour redresser et donner un nouveau souffle à notre Ville qui, depuis six ans, végète sous un éteignoir, cette liste qui ne sera pas celle d’un seul, mais de tous, pourra s’ouvrir à ceux qui, sur le terrain, ont fait la preuve de leur efficacité, et qui privilégieront les intérêts de Nice à celui des partis. »

 

Alain Roullier-Laurens

Président du Parti Niçois/Partit Nissart

 

L’étrange volte face de M. Estrosi

Parti_nicois_2_1Communiqué du Parti Niçois/Partit Nissart – 28 juin 2013

« Bien que Christian Estrosi nous ait habitué à de nombreux virages stratégiques au cours de sa (trop) longue carrière politique, le dernier en date ne peut que laisser les Niçois dubitatifs sur sa vision de l’avenir de Nice.

« Après avoir imposé un mariage contre-nature entre Nice et Marseille et instauré une métropole empiétant sur l'arrondissement de Grasse « pour que le Var ne soit plus une frontière », Le journal italien Il Corierre della Sera du 26 juin 2013 nous annonce, que, suite à l'échec de la trop coûteuse ligne à grande vitesse Marseille-Nice, le maire de Nice envisagerait de se tourner vers l'Italie en proposant de « construire notre avenir ensemble, avec les régions Italiennes limitrophes ».

« Mais ce qui serait un sympathique clin d’œil à l’Histoire de Nice, laquelle a toujours été plus proche de la latinité que de la France se double (fatalement) d’une idée délirante : créer une « euro-région » artificielle comprenant les régions françaises Rhône-Alpes et PACA dans lesquelles seraient intégrées de force la Savoie et le Pays de Nice, non-sens historique et économique plus qu’étrange du fait que la volonté affichée par le maire de se tourner vers Gênes est justement due au manque d'infrastructures entre Marseille et Nice !

« Marianne raconte des histoires de trains aux niçois depuis l'annexion frauduleuse en 1860 comme on raconte des histoires de prince charmant aux enfants pour les endormir sauf que les locomotives ne sont pas des chevaux blancs, pas plus que les niçois sont des petits enfants naïfs... La France, si bien décrite par Victor Hugo dans les misérables, relia Nice à la France en 1864 grâce à... cinq petits kilomètres de voie ferrée ! Et dans le seul but de développer son réseau ferroviaire jusqu’à l’Italie pour accroître ses profits. Ce "magnifique ouvrage" nous est encore présenté par les sbires jacobins comme l'entrée de Nice dans le monde civilisé !

« Construire notre avenir avec la Ligurie / Piemont ne pourra se faire qu’en dehors de la PACA dominée par Marseille (la cause du revirement estrosien, répétons-le, étant justement le manque d'infrastructure entre les deux villes). Quant à Paris, les Niçois connaissent depuis trop longtemps sa stratégie vis-à -vis des Niçois. Nous sommes passés « du bouclier aux frontières » à « la pompe à fric » !

« Si l'avenir de Nice doit s'écrire en s'associant avec le Piemont et la Ligurie, comme s'était le cas avant l'annexion, cela ne pourra se faire que librement, sans la tutelle marseillaise qui désormais se trouverait définitivement hors-jeu !

« Sortir le Pays Niçois de la PACA et de la tutelle de Marseille, comme c'est la volonté du Parti Niçois-Partit Nissart, devient indispensable pour nous tourner vers le Piémont et la Ligurie... La prospérité économique et les liens culturels du Pays de Nice ont toujours été tournés vers le Piémont, et non vers la Provence ou la France, et pour cause ! La longue histoire de Nice le démontre de façon éclatante !

« M. Estrosi a opéré un virage à 180 degrés depuis qu’il a perdu ses appuis parisiens ; il fait maintenant des risettes aux vrais Niçois, parce que les élections municipales sont proches et qu’il est largement décrédibilisé par sa politique de bulles de savon et d’effets d’annonces, aussi creux que lassants. Mais ces ficelles opportunistes ne feront certainement pas oublier aux vrais Niçois comment il les a traités jusqu’au départ de M. Sarkosy. Le Parti Niçois/Partit Niçois, lui rafraîchira la mémoire le moment venu, lors des prochaines élections municipales, en publiant et diffusant très largement la liste des gracieusetés dont il nous a abreuvé de son perchoir parisien.

« Les affaires de Nice sont comme chacun sait, et en particulier l’endettement, qui, même s’il est transféré à la métropole se traduit et se traduira plus encore par une importante pression fiscale. Les choses ne peuvent plus continuer ainsi et la majorité de Niçois en sont bien conscients. Le Parti Niçois/Partit Nissart, ne peut demeurer muet quand Nice est en danger, et il fera très bientôt connaître ses intentions, en ce qui concerne les prochaines municipales, pour lesquelles il a déjà engagé des consultations avec divers agents importants de la société civile niçoise. En tout état de cause, nous savons tous qu’il convient de changer de cap et qu’il faudra se mobiliser plus que jamais pour créer les conditions du renouveau… »