Communiqué de Mr Alain Roullier, candidat aux municipales pour le Parti Niçois/Partit Nissart –Nice le 19 décembre 2013

Parti_nicois_2_1« M. Icart vient de rompre le pacte passé avec l’ex maire de Nice, et c’est une décision d’autant plus sage, qu’il gravitait autour de ce dernier les personnages que l’on sait. L’on peut regretter que M. Icart n’ait pas pris plus tôt, la mesure de l’ego démesuré de son allié, de son total décalage avec la réalité actuelle, attisé par des sentiments revanchards non constructifs pour les Niçois, ainsi que de ses désolantes connivences politiques. Une large liste d’union demeure possible, mais elle ne sera crédible et peut-être victorieuse, qu’à la condition qu’elle ne regroupe pas uniquement des recalés de tous bords, désireux de conserver à tout prix un mandat, mais une large fraction de la société civile niçoise ; si les politiciens ne prennent pas en compte les aspirations populaires, ils iront à l’échec ».

Nice - Hommage à Sosno : La baffe monumentale !!!

Parti_nicois_2_1Communiqué du Parti Niçois/Partit Nissart - 9 décembre 2013 -

« Quand l’on saute à pieds joints sur n’importe quelle occasion pour se construire une auréole de paillettes et bulles de savon médiatique, et que l’on multiplie les occasions de manifestations et inaugurations en période préélectorale, pour enrichir son press-book et alimenter la presse d’une nouvelle photo, on se prend fatalement un jour les pieds dans le tapis.

« Dès le décès de l’artiste, le maire avait fait savoir que le prochain conseil municipal attribuerait son nom au carrefour dit Durandy (ancienne famille niçoise dont les propriétés jouxtaient ce lieu). Ce choix plus que hâtif, contrevenait à la coutume qui veut que cinq ans doivent s’écouler après le décès d’une personne méritante avant qu’on l’honore publiquement de la sorte ; il pénalisait également l’identité niçoise, puisque la famille Durandy figure à l’Armorial du Comté de Nice, ce qui montre une fois de plus que le maire n’a guère de respect pour notre histoire et notre identité, malgré ses gesticulations panbagnatisatrices à Nice, depuis que M. Sarkozy ne régnant plus à, Paris, il lui faut maintenant, bon gré, mal gré, compter sur l’hypothétique appui des Niçois.

« La veuve de l’artiste qui fut à l’origine de la Création du Musée d’Art moderne à Nice, à immédiatement réagi avec une grande dignité en refusant que l’on touche au nom de Durandy ; à l’occasion, elle a rappelé que lieu se prêtait à ce patronyme, non à celui de son époux, et qu’elle n’avait pas été consultée, « seules les pompes funèbres lui ayant demandé d’assister au prochain conseil municipal » !!! Elle a indiqué également dans la presse locale, que son époux avait précédemment proposé au maire de créer à Nice un cimetière pour les artistes, lequel maire « ne lui aurait même pas proposé de véritable rendez-vous pour lui en parler », ce qui avait décidé l’artiste à choisir de se faire inhumer plus tard à Villefranche. Considérant que dans ces conditions, donner le nom de son époux au carrefour Durandy « était plus un affront qu’un hommage » elle refusait et ne serait pas présente au conseil municipal. Belle leçon de savoir-vivre et de dignité que d’aucuns devraient méditer…

« Pris de court par cette décision, le maire, n’a pu que battre piteusement en retraite et faire annuler la délibération projetée. Avec force de paroles lénifiantes, il a assuré que l’on ferait mieux ; pour donner le change, il a même cru bon de préciser que ce carrefour ne portait pas officiellement le nom de Durandy parce qu’il n’avait jamais été baptisé… et, infinie délicatesse : «… qu’on le donnerait à quelqu’un d’autre » !!! Cette piètre explication, aussi désolante dans la forme que sur le fond, prouve seulement que ses anciens prédécesseurs se conformaient, en la matière, à la vox populi niçoise et n’avaient nul besoin d’effets d’annonce et d’inaugurations pour asseoir leur popularité.

« Cette lamentable affaire prouve aussi que celui qui se disait « Niçois jusqu’au bout des ongles » ignore totalement les us et coutumes populaires des niçois en matière de baptêmes de lieux et voies…. A Nice, il est nul besoin de baptême officiel pour attribuer un nom à un lieu. Pas un vrai Niçois n’ignore que sous le second empire, quand on imposa aux Niçois un square Masséna, les Niçois qui n’appréciaient vraiment pas celui qui avait envahi le Comté à la tête d’un bataillon ennemi, prirent l’habitude d’y conduire leurs chiens pour uriner et baptisèrent ce lieu malodorant « Lou coumun de Masséna » (le cabinet d’aisance Masséna, pour demeurer poli..). Le 4 septembre 1870, après avoir appris la chute de Napoléon III qu’ils détestaient (et que le maire actuel a tenté en vain de faire réhabiliter !!!) Les Niçois se sont soulevés, ils ont brisé les plaques de la place portant le nom du dictateur et l’ont rebaptisée eux-mêmes « Place Garibaldi » ; le préfet de l’époque acquiesça pour calmer la colère populaire. Plus récemment le stade Léo-Lagrange fut toujours, nommé « stade du Rai » par les Niçois. Le carrefour Durandy peut donc porter ce nom sans avoir eu le droit à une inauguration officielle… Mais cela, il faut être Niçois pour le savoir… Un chargé de communication, énarque venu de Paris, l’ignore. Malheureusement le maire de Nice l’ignore aussi, ou pire s’en moque totalement.

« Espérons donc que Sacha Sosno soit honoré comme il se doit et que les circonvolutions médiatico-politiques et autres faux-pas, ne ridiculisent plus celui qui, pour l’instant, représente Nice. Il est grand temps que le bon goût et l’à propos prévalent enfin à la mairie de Nice. Mais les prochaines élections municipales permettrons aux Niçois de régler eux-mêmes ce problème… et les autres.. »

 

Municipales a Nice - Sondage de l’UMP : Un éclat de rire homérique ! Communiqué du Parti Niçois/Partit Nissart du 03/12/2013

Parti_nicois_2_1« Nice a été secouée ce matin par un éclat de rire homérique, qui a dû filtrer même derrière les murs de la Mairie bunkérisée par M. Estrosi… « L’institut » de sondage qui, semble- t-il, n’a pu, ou su, qu’interroger une majorité écrasante d’encartés UMP, a donné des résultats tellement peu crédibles qu’ils confinent au ridicule. L’information a été relayée par le quotidien Nice-Matin, qui mérite maintenant le sobriquet « d’Estrosi-Matin », lequel courrait en ville depuis quelques années, ce qui le décrédibilisera plus encore aux yeux des Niçois libres.

« Tout porte à croire que l’UMP est terrorisée de voir la levée de boucliers contre son représentant à Nice, M. Christian Estrosi. Personne n’imagine que le pouvoir municipal sera rassuré par ce « sondage » qui va à contre-courant de ce qui se dit en ville. Il y a même de fortes probabilités que les Niçois furieux d’être pris pour des imbéciles, mettent un point d’honneur à le faire mentir… Ainsi, ledit sondage aura tué politiquement celui qu’il était tenté sauver…

« Celui qui a mené durant bientôt six ans une politique de paillettes et de bulles de savon, ne conjurera certainement pas le mécontentement des Niçois par ce nouvel effet d’annonce qui prête à rire. L’on sent monter au loin une grande vague populaire niçoise, comme Nice en a connu quand il a fallu faire bloc pour éloigner les politiciens dont elle ne voulait plus.

« Pour l’heure, des sondages Niçois ont été mis en place dans la presse libre sur Internet, et nous appelons tous nos adhérents et sympathisants à engager immédiatement dans leur entourage une grande campagne d’inscription sur les listes électorales. Pas une voix ne doit manquer, pour sauver Nice d’un déclin définitif. Mobilisons-nous et regroupons-nous autour de notre drapeau, seule valeur sûre, en ces temps calamiteux. Issa Nissa !!!... »

 

Communiqué de M. Roullier-Laurens, Président du Parti Niçois suite au sondage paru aujourd’hui dans Nice-Matin - 3 décembre 2013

Parti_nicois_2_1« Le sondage politique relatif aux municipales, paru dans le quotidien Nice-Matin, à défaut de convaincre, a provoqué un éclat de rire homérique dans les cercles bien informés de la Ville. Il rappelle étrangement celui qui était paru en 2008, donnant M. Estrosi, triomphant au premier tour. En démocratie, ce ne sont pas les sondages de circonstance qui décident de l’avenir politique, ce sont les urnes. Les Niçoises et les Niçois apprécieront cet effet d’annonce à sa juste valeur, et en tirerons les conséquences ; elles risquent d’être cruelles pour certains, car une fiction qui nie la réalité et les aspirations majoritaires d’un peuple, est une arme à double tranchant. »