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Parti Niçois/Partit Nissart - site officiel
29 avril 2010

DISSOLUTION DE LA BSN . Le coq gaulois veut détruire le particularisme niçois.

Parti_nicois_2_1

Communiqué du parti Niçois du 29 avril 2010 : « Comme il fallait s’y attendre, la BSN a été dissoute sous de fallacieux prétextes. Le décret de dissolution est une déclaration de guerre aux vrais Niçois, qui défendent leur drapeau. Le coq gaulois, les pattes sur un tas de fumier nauséabond, irrité et affolé que sa basse-cour prenne l’eau de tous côtés et que la révolte gronde, donne des coups d’ergots à tout ce qui bouge. Beaucoup de Niçois ne sont point encore lobotomisés par le système politique français, et lui résistent ; ils deviennent des cibles à abattre à tout prix. La gestion catastrophique des politiciens a conduit l’hexagone gaulois à la totale ruine, partout souffle un vent de rébellion. Les Niçois sont les premiers dans la ligne de mire car leur particularisme ancestral, et leur goût de la liberté inquiète le pouvoir parisien. Le mensonge sécuritaire, prétexte à la dissolution de la BSN ferait rire un cheval de bois, s’il n’était pas un pas de plus vers la dictature.

La sécurité des populations est le dernier souci des politiciens, et sert de prétexte à bâillonner les forces vives. Ce n’est pas par hasard, que sous la houlette du ministre-maire, Nice a été décrétée « laboratoire » de ce système attentatoire aux libertés de chacun. Depuis que l’on ne peut plus entrer à la mairie de Nice sans être enregistré (et donc fiché) à l’entrée, que des centaines de caméras ont été installées partout, que tout est surveillé, que les gardes à vues se multiplient pour des vétilles, que de dangereux flash-balls sont utilisés, depuis que les citoyens n’ont plus le droit que de se taire, et de lire une presse mensongère et vendue au pouvoir, la délinquance a-t-elle été résorbée ?  Les rues sont elles sûres ? Elles le sont moins que jamais. Il est notoire que tous les dispositifs répressifs ne pèsent pas sur les délinquants, dont beaucoup sont relâchés avant que leurs victimes ne soient sorties du fatras administratif qu’on leur impose, mais sur la population que l’on prétend protéger ; les citoyens subissent à la fois une délinquance croissante, une très importante restriction de leur liberté, et les dérives des détenteurs le l’autorité.

La dissolution du groupe de supporters niçois qui portait haut les couleurs de Nice, n’est pas une mesure sécuritaire, c’est une tentative de mettre à la botte les forces vives niçoises qui défendent leur identité. L’identité niçoise a toujours été la bête noire du pouvoir central. On l’a vu en 1860, quand Nice, envahie militairement, a perdu sa liberté après un scandaleux plébiscite truqué, on l’a vu en 1871 quand le pouvoir jacobin a répondu au vote des urnes par des fusiliers marins, des canons et des mitrailleuses. Aujourd’hui la répression prend d’autres formes ; depuis peu, sa brutalité suggère que l’on pourrait bien revenir aux anciennes méthodes coloniales.

Mais les Niçois sont toujours là, et ils sont toujours Niçois ; ils n’ont pas été formatés dans le moule jacobin, et aujourd’hui ils se rebiffent et n’acceptent pas la muselière que l’on veut leur imposer sous prétexte de sécurité. Qu’attendre du système en place ? Information dirigée, sondages truqués, charcutages électoraux, lois de circonstances, confiscation du pouvoir par le biais de l’argent et des médias... Les Niçois ne peuvent rien attendre du système politique français, sauf un complet asservissement, la ruine, et leur disparition programmée, en tant qu’entité particulière.

Il est grand temps de se rassembler, pour faire face à ces multiples agressions contre notre identité et nos intérêts. Les politiciens français n’ont plus de légitimité à Nice, si tant est qu’ils n’en aient jamais eu. Ne croyez pas que la gauche va vous sauver de la droite et que la droite va vous sauver de la gauche ; ces forces ne sont pas opposées, elles sont cousines et se partagent le pouvoir comme un bien de famille. Le parti Niçois a été fondé pour défendre les intérêts de Nice et des Niçois en dehors de la politique française. Rejoignez le, demain, il sera trop tard ».

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25 avril 2010

Dissoudre la BSN c’est attaquer Nice. Communiqué du Parti Niçois du 25 Avril 2010

Parti_nicois_2_1«  Nous constatons qu’après toutes les atteintes à l’identité niçoise qui vont crescendo depuis deux ans, le pouvoir jacobin persiste à vouloir dissoudre la BSN. La mauvaise foi est patente, car le dossier à charge, présenté comme accablant, est un désert peuplé de mirages. Il se résume à quelques faits interprétés, assaisonnés de suppositions, d’omissions, d’inexactitudes et de mensonges. Mais du « gazage » odieux à Monaco pas un mot. Les censeurs ont toujours des pudeurs coupables quand les malfaisants ne sont pas ceux que l’on dit. La « vérité » sur les supporters niçois forgée par les journaleux parisiens, pour vendre du papier et dénigrer Nice, semble être l’un des éléments majeurs de cette cabale préparée depuis longtemps. 150e anniversaire de l’annexion oblige, on veut en haut lieu, mettre un bon coup sur la nuque de l’identité niçoise, en frappant ceux qui la défendent. Le système emploie toujours la même méthode : à défaut de pouvoir phagocyter, on brise. Pour paraphraser une locution célèbre : « Ne pouvant le corrompre, ils l’ont assassiné ». Mais le dossier d’accusation est si peu étayé, qu’une dissolution serait un déni de droit. 

La charge perfide du pouvoir parisien contre les supporters niçois est très grave, car c’est Nice qui est attaquée à travers eux. Et celui qui avant les élections se proclamait « Niçois jusqu’au bout des ongles » est dans le camp des assaillants. Les vrais Niçois en ont plus qu’assez de voir que tout ce qui de près ou de loin ressemble à l’identité niçoise est systématiquement effacé, nié, voire piétiné. Il se pourrait bien que les festivités du 150e anniversaire de l’annexion, moment culminant du processus anti-niçois, ne se déroulent pas comme l’espèrent les ennemis de Nice, car si l’on peut détruire une structure humaine, nul ne dissoudra jamais notre amour pour Nice. Ils ont ouvert les hostilités contre l’identité niçoise, ils persistent et signent, plus arrogants que jamais : nous leur répondrons comme il convient. Préparons nous donc à « fêter » le 150e anniversaire comme il convient ».    

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11 avril 2010

11 avril 2010 - Communiqué du Parti Niçois/Partit Nissart :

Parti_nicois_2_1« Au moment où les politiciens locaux, suppôts du pouvoir jacobin, tentent de porter le coup de grâce à l'identité niçoise par des mesures on ne peut plus significatives comme le remplacement du moulage de la statue de  Charles-Félix devant la mairie par un pouce d’honneur de César, la quasi- disparition des drapeaux niçois en ville (lesquels auraient indisposé dit-on l’ex-ministre de la justice en visite à Nice), la disparition du blason de Nice sur la page d’accueil du site de la mairie, remplacé par celui de la Communauté urbaine, la suppression du mot d’accueil en niçois au standard téléphonique de la mairie, l’édification au Vieux-Nice d’un immense tas de ferraille qualifié de « monument du 150e anniversaire de l’annexion », dont le transport et l’installation coûteront très cher aux Niçois,  au moment enfin où le banc et l’arrière-banc des institutionnels persistent a diffuser ses mensonges au sujet de l’annexion de Nice et s’apprête  à célébrer en grandes pompes cette violation du Droit des Peuples à disposer d’eux-mêmes, la cause de Nice avance à grands pas depuis que notre président, M. Alain Roullier-Laurens et M. Jean de Pingon ont signé la Déclaration de Genève, adressée aux Puissances signataires du traité de Paix de 1947, et demandé à M. le Secrétaire général de l’O.N.U. de bien vouloir considérer que Nice et la Savoie sont des pays colonisés, en cette année qui doit marquer officiellement la fin de toute colonisation du fait des résolutions antérieurs votées par cette organisation. 

Un député de la majorité a déjà posé une question écrite au ministre de l’Intérieur, en ce qui concerne le statut de Nice et de la Savoie, qui compte tenu de l’abrogation du traité de Turin, risque de poser de très gros problèmes à l’Etat, tant dans ces territoires que sur le plan international.

Un Niçois travaillant en Savoie et poursuivi pour un délit de dépassement de vitesse intervenu à Nice, a fait valoir devant le tribunal d’Albertville que le traité d’annexion étant abrogé, le fonctionnaire idoine qui avait fixé cette limite de vitesse à Nice, n’avait aucun droit de le faire, et que de surcroît, pour la même raison, ledit tribunal siégeant en Savoie n’avait aucune légitimité pour le juger. Le tribunal d’Albertville s’est immédiatement déclaré incompétent pendant que des incidents éclataient dans la salle d’audience entre les souverainistes et les forces dites « de l’ordre ».

Le président du Parti Niçois tient à préciser que juridiquement, quand bien même l’autorité française, jusqu’à la décision internationale, réfuterait l’abrogation du traité de Turin, elle se trouverait néanmoins en total défaut de légitimité. En effet, dans le texte du traité de Turin, le roi de Sardaigne, déclare « qu’il cède ses droits à Napoléon III ». Ses droits sur Nice étaient ceux que lui conféraient la charte dédition de 1388. Or, comme le rappelle très justement Joseph André dans son ouvrage « Nice 1792 – 1824 » ce traité comportait d'importantes restrictions au pouvoir des souverains savoisiens  ; celle-ci notamment : « en aucune manière, ni pour des  raisons civiles ni pour des procès criminels les Niçois pouvaient êtres inquiétés par leurs propres tribunaux » ; « nisi causa dominium comitem tangeret» dans le texte. La France qui se prétend le pays des Droits de l’homme, et qui les viole souvent, s’honorera cette fois en les respectant dans un pays annexé illégalement.

Le Parti Niçois appelle les vrais Niçois a manifester dès à présent et par tous les moyens légaux, leur désapprobation des manifestations commémorant l’annexion scélérate de Nice ; il leur rappelle ou leur apprend  que conformément aux nouvelles dispositions législatives ils peuvent contester, le cas échéant, devant le tribunal où ils comparaissent [sauf la Cour d’assise] la constitutionnalité des lois auxquels ils sont soumis arbitrairement. A Nice, le droit des Peuples a été bafoué, le parti Niçois œuvrera avec les citoyens pour le rétablir  ». Fin de communiqué.

 

8 avril 2010

Jeudi 8 avril 2010 - Communiqué du bureau politique Parti Niçois – Partit Nissart –

Parti_nicois_2_« Suite à la Déclaration de Genève, signée le 24 mars 2010, par M. Alain Roullier-Laurens Président du Parti Niçois, et M. Jean de Pingon, qui a été adressée aux puissances signataires du Traité de Paix de 1947, l’abrogation du Traité du Turin, du fait du non-respect par la France des dispositions impératives du Traité de Paix de 1947, est déjà une affaire internationale. La question écrite d’un député UMP aux ministères concernés, passée au journal Officiel, le prouve amplement.

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Le combat pour la restauration des Droits de Nice et de la Savoie, entre dans une phase décisive. Nous demandons à toutes les Niçoises et à tous les Niçois, qui sont conscients que le destin de Nice est en jeu, de nous rejoindre. Le Parti Niçois a été fondé pour soutenir et promouvoir les Droits de Nice et rassembler les diverses sensibilités niçoises, hors de la politique française et autour de nos valeurs ancestrales. La société française se délite tous les jours davantage dans tous les domaines ; seule notre identité niçoise et la volonté de la défendre nous permettra d’initier le renouveau indispensable ; l’union est vitale, car le danger est  grand. Il est plus que temps de rejeter les partis français et leurs sous-produits locaux à qui l’on doit la situation actuelle ; les Niçois doivent s’unir hors de la politique française, verrouillée et servie par les médias. Nice doit être gérée par des Niçois, pour les Niçois et en fonction de ce que veulent les Niçois. Dans très peu de temps, le Parti Niçois, présentera ses lignes directrices, afin de préparer le grand changement dont Nice a un besoin plus qu’urgent ; depuis vingt ans, elle est l’otage des partis parisiens, qui l’étouffent, détruisent son identité, et nuisent aux intérêts des niçois. Le Parti Niçois réunira les énergies, les compétences et bonnes volonté, afin de mettre fin au saccage économique, moral, financier et culturel de notre Ville. »  

      

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